La liberté, Volume 2L. Hachette, 1859 - 571 pages |
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... tion 2 ; et l'édit de Colbert ne fit que régulariser l'exé- cution des édits précédents , et ajouter de nouvelles com- munautés aux corporations déjà existantes . 1. Décembre 1581. 2. Avril 1597 . - 3. Mars 1673 . L'institution des ...
... tion 2 ; et l'édit de Colbert ne fit que régulariser l'exé- cution des édits précédents , et ajouter de nouvelles com- munautés aux corporations déjà existantes . 1. Décembre 1581. 2. Avril 1597 . - 3. Mars 1673 . L'institution des ...
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... tion à cette classe d'hommes qui , n'ayant de propriété que leur tra- vail et leur industrie , ont d'autant plus le besoin et le droit d'em - ployer dans toute leur étendue les seules ressources qu'ils aient pour subsister . Nous avons ...
... tion à cette classe d'hommes qui , n'ayant de propriété que leur tra- vail et leur industrie , ont d'autant plus le besoin et le droit d'em - ployer dans toute leur étendue les seules ressources qu'ils aient pour subsister . Nous avons ...
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... tion fût claire , fùt unique . La noblesse avait sa tradition , et le parlement , et les états , et le menu peuple lui- même autant de difficultés et d'ennemis pour les théo- riciens . Le roi disait bien qu'il ne devait son royaume qu'à ...
... tion fût claire , fùt unique . La noblesse avait sa tradition , et le parlement , et les états , et le menu peuple lui- même autant de difficultés et d'ennemis pour les théo- riciens . Le roi disait bien qu'il ne devait son royaume qu'à ...
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... tion des grains ; mais le contrôleur général Laverdy , au- teur de ces deux arrêts , créa une ferme particulière des blés pour l'approvisionnement de Paris , tournant ainsi la liberté au profit du monopole , ou plutôt détruisant la ...
... tion des grains ; mais le contrôleur général Laverdy , au- teur de ces deux arrêts , créa une ferme particulière des blés pour l'approvisionnement de Paris , tournant ainsi la liberté au profit du monopole , ou plutôt détruisant la ...
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... tion du grain soit sévèrement prohibée , ainsi que sa circulation d'une province à une autre . » Douze cahiers faisaient des demandes analogues . Quinze réclamaient la formation de greniers d'abon- dance . 3. Dupont de Nemours expose ...
... tion du grain soit sévèrement prohibée , ainsi que sa circulation d'une province à une autre . » Douze cahiers faisaient des demandes analogues . Quinze réclamaient la formation de greniers d'abon- dance . 3. Dupont de Nemours expose ...
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Expressions et termes fréquents
absolu administration affaires agents Anne Dubourg Aristote assez besoin budget c'est-à-dire catholicisme catholique censure centralisation chef chose citoyens civile clergé commerce commune compagnies concordat condamné conseil d'État conséquent corporations corps créer déclaration décret Dieu dire doctrine ecclésias Église esprits évêques fonctionnaires fond force François Ier général gouvernement hommes humaine institutions intérêts juges Jules Simon justice l'administration l'Assemblée constituante l'association l'autorité l'Église l'esprit l'État l'impôt l'industrie l'intolérance laisser législatif Léon X liberté de penser liberté des cultes liberté philosophique liberté religieuse libre livres lois Louis XIV magistrats maître matière ment mille ministre monde monopole Montesquieu morale n'était Napoléon Ier nécessaire nombre ouvriers pables pape parlement pays peuple philosophie police politique pouvoir pouvoir législatif préfet presse principe privilége propriété protestants public publique qu'un raison réforme régime règlements religion reste Révolution rien s'il sent sera seul siècle société sorte Spinoza surveillance tion toyens travail tribunaux Turgot vérité Voilà
Fréquemment cités
Page 35 - Dieu en donnant à l'homme des besoins , en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait, du droit de travailler, la propriété de tout homme ; et cette propriété est la première, la. plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.
Page 304 - Paul ne peut en rien être altéré ou ébranlé : « que toute personne soit soumise aux puissances supérieures, car il n'ya point de puissance qui ne vienne de Dieu, et c'est lui qui ordonne celles qui sont sur la terre : celui donc qui s'oppose aux puissances résiste à l'ordre de Dieu.
Page 237 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Page 304 - ... l'Église de France n'approuve pas l'opinion de ceux qui donnent atteinte à ces décrets, ou qui les affaiblissent, en disant que leur autorité n'est pas bien établie, qu'ils ne sont point approuvés, ou qu'ils ne regardent que le temps du schisme.
Page 267 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 336 - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.
Page 267 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 328 - L'Assemblée nationale, considérant qu'elle n'a et ne peut avoir aucun pouvoir à exercer sur les consciences, et sur les opinions religieuses; que la majesté de la religion et le respect profond qui lui est dû ne permettent point qu'elle devienne un sujet de délibération ; considérant que l'attachement de l'Assemblée nationale au culte catholique, apostolique et romain ne saurait être mis...
Page 331 - ... de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse qui lui est confié, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi , et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 223 - Je suppose trois défmitions, ou plutôt trois faits : l'un, que « le gouvernement républicain est celui où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple, a la souveraine puissance; !e monarchique, celui où un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies ; au lieu que, dans le despotique, un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices ». Voilà ce que j'appelle la nature de chaque gouvernement.