La liberté, Volume 2L. Hachette, 1859 - 571 pages |
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... culté et puissance d'octroyer des congés et permissions pour le transport des grains hors le royaume est de droit royal et du domaine de la couronne , incommunicable à quelques personnes que ce soit . Un arrêt du parlement de Paris , du ...
... culté et puissance d'octroyer des congés et permissions pour le transport des grains hors le royaume est de droit royal et du domaine de la couronne , incommunicable à quelques personnes que ce soit . Un arrêt du parlement de Paris , du ...
Page 141
... culté des sciences de Paris ne professent que six mois sur douze , et ne font que deux leçons par semaine , ce qui , en défalquant les congés et les maladies , ne donne pas plus de quarante ou cinquante leçons par an . On dira qu'il ne ...
... culté des sciences de Paris ne professent que six mois sur douze , et ne font que deux leçons par semaine , ce qui , en défalquant les congés et les maladies , ne donne pas plus de quarante ou cinquante leçons par an . On dira qu'il ne ...
Page 148
... cultes compte quarante mille huit cents prêtres catholiques , employés au service des paroisses . Les finances ont neuf mille employés pour les contribu- tions directes , trois mille six cents pour l'enregistrement et le timbre , trois ...
... cultes compte quarante mille huit cents prêtres catholiques , employés au service des paroisses . Les finances ont neuf mille employés pour les contribu- tions directes , trois mille six cents pour l'enregistrement et le timbre , trois ...
Page 150
... cultés dans la voie que cette volonté lui trace . Toute son semblées primaires de leur canton . » Le nombre des citoyens inscrits sur les listes électorales n'allait pas à dix millions en 1849 ; en 1851 ( après la loi du 31 mai ) il ne ...
... cultés dans la voie que cette volonté lui trace . Toute son semblées primaires de leur canton . » Le nombre des citoyens inscrits sur les listes électorales n'allait pas à dix millions en 1849 ; en 1851 ( après la loi du 31 mai ) il ne ...
Page 157
... cultés , la tendance presque universelle parmi nous d'am- nistier le succès et de juger les choses et les hommes par l'événement . Dans un monde où la liberté individuelle a si peu de part , il se forme une morale de convention qui n ...
... cultés , la tendance presque universelle parmi nous d'am- nistier le succès et de juger les choses et les hommes par l'événement . Dans un monde où la liberté individuelle a si peu de part , il se forme une morale de convention qui n ...
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Expressions et termes fréquents
absolu administration affaires agents Anne Dubourg Aristote assez besoin budget c'est-à-dire catholicisme catholique censure centralisation chef chose citoyens civile clergé commerce commune compagnies concordat condamné conseil d'État conséquent corporations corps créer déclaration décret Dieu dire doctrine ecclésias Église esprits évêques fonctionnaires fond force François Ier général gouvernement hommes humaine institutions intérêts juges Jules Simon justice l'administration l'Assemblée constituante l'association l'autorité l'Église l'esprit l'État l'impôt l'industrie l'intolérance laisser législatif Léon X liberté de penser liberté des cultes liberté philosophique liberté religieuse libre livres lois Louis XIV magistrats maître matière ment mille ministre monde monopole Montesquieu morale n'était Napoléon Ier nécessaire nombre ouvriers pables pape parlement pays peuple philosophie police politique pouvoir pouvoir législatif préfet presse principe privilége propriété protestants public publique qu'un raison réforme régime règlements religion reste Révolution rien s'il sent sera seul siècle société sorte Spinoza surveillance tion toyens travail tribunaux Turgot vérité Voilà
Fréquemment cités
Page 35 - Dieu en donnant à l'homme des besoins , en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait, du droit de travailler, la propriété de tout homme ; et cette propriété est la première, la. plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.
Page 304 - Paul ne peut en rien être altéré ou ébranlé : « que toute personne soit soumise aux puissances supérieures, car il n'ya point de puissance qui ne vienne de Dieu, et c'est lui qui ordonne celles qui sont sur la terre : celui donc qui s'oppose aux puissances résiste à l'ordre de Dieu.
Page 237 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Page 304 - ... l'Église de France n'approuve pas l'opinion de ceux qui donnent atteinte à ces décrets, ou qui les affaiblissent, en disant que leur autorité n'est pas bien établie, qu'ils ne sont point approuvés, ou qu'ils ne regardent que le temps du schisme.
Page 267 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 336 - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.
Page 267 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 328 - L'Assemblée nationale, considérant qu'elle n'a et ne peut avoir aucun pouvoir à exercer sur les consciences, et sur les opinions religieuses; que la majesté de la religion et le respect profond qui lui est dû ne permettent point qu'elle devienne un sujet de délibération ; considérant que l'attachement de l'Assemblée nationale au culte catholique, apostolique et romain ne saurait être mis...
Page 331 - ... de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse qui lui est confié, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi , et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 223 - Je suppose trois défmitions, ou plutôt trois faits : l'un, que « le gouvernement républicain est celui où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple, a la souveraine puissance; !e monarchique, celui où un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies ; au lieu que, dans le despotique, un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices ». Voilà ce que j'appelle la nature de chaque gouvernement.