La liberté, Volume 2L. Hachette, 1859 - 571 pages |
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... chose que si on nous avait vendu le droit de vivre ; et il a fallu tous les progrès de la rai- son pour qu'on s'aperçût enfin que cela . n'avait pas le sens commun . Le droit de travailler étant la source du droit de pro- priété et se ...
... chose que si on nous avait vendu le droit de vivre ; et il a fallu tous les progrès de la rai- son pour qu'on s'aperçût enfin que cela . n'avait pas le sens commun . Le droit de travailler étant la source du droit de pro- priété et se ...
Page 7
... choses appartiennent à tous , et que personne ne peut dire qu'une chose est sienne si affirmative- ment , qu'un autre ne se la puisse attribuer avec le même droit ( car là où tout est commun , il n'y a rien de propre ) , il s'ensuit que ...
... choses appartiennent à tous , et que personne ne peut dire qu'une chose est sienne si affirmative- ment , qu'un autre ne se la puisse attribuer avec le même droit ( car là où tout est commun , il n'y a rien de propre ) , il s'ensuit que ...
Page 9
... chose que leur pécule . Le roi et les nobles gouvernaient , guerroyaient , rendaient la jus- tice : : « Le noble juge et combat . » Le menu peuple tra- vaillait pour l'autre race , pour la race victorieuse : c'était la corvée ; et on ...
... chose que leur pécule . Le roi et les nobles gouvernaient , guerroyaient , rendaient la jus- tice : : « Le noble juge et combat . » Le menu peuple tra- vaillait pour l'autre race , pour la race victorieuse : c'était la corvée ; et on ...
Page 20
... choses pour cela d'abord de l'argent . Il y avait un droit à payer à la communauté , quelquefois un droit à la ville , toujours un droit au Trésor ; sans compter les redevances particulières à certaines corporations , fondées Dieu sait ...
... choses pour cela d'abord de l'argent . Il y avait un droit à payer à la communauté , quelquefois un droit à la ville , toujours un droit au Trésor ; sans compter les redevances particulières à certaines corporations , fondées Dieu sait ...
Page 29
... chose que l'excuse , la sauvegarde et la cause de ces abus . Comment pourrait- elle en être le remède ? Je vous dénonce les assassins du peuple , et vous répondez : laissez - les faire ! » ( Séance de la Convention , 2 dé- cembre 1792 ...
... chose que l'excuse , la sauvegarde et la cause de ces abus . Comment pourrait- elle en être le remède ? Je vous dénonce les assassins du peuple , et vous répondez : laissez - les faire ! » ( Séance de la Convention , 2 dé- cembre 1792 ...
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Expressions et termes fréquents
absolu administration affaires agents Anne Dubourg Aristote assez besoin budget c'est-à-dire catholicisme catholique censure centralisation chef chose citoyens civile clergé commerce commune compagnies concordat condamné conseil d'État conséquent corporations corps créer déclaration décret Dieu dire doctrine ecclésias Église esprits évêques fonctionnaires fond force François Ier général gouvernement hommes humaine institutions intérêts juges Jules Simon justice l'administration l'Assemblée constituante l'association l'autorité l'Église l'esprit l'État l'impôt l'industrie l'intolérance laisser législatif Léon X liberté de penser liberté des cultes liberté philosophique liberté religieuse libre livres lois Louis XIV magistrats maître matière ment mille ministre monde monopole Montesquieu morale n'était Napoléon Ier nécessaire nombre ouvriers pables pape parlement pays peuple philosophie police politique pouvoir pouvoir législatif préfet presse principe privilége propriété protestants public publique qu'un raison réforme régime règlements religion reste Révolution rien s'il sent sera seul siècle société sorte Spinoza surveillance tion toyens travail tribunaux Turgot vérité Voilà
Fréquemment cités
Page 35 - Dieu en donnant à l'homme des besoins , en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait, du droit de travailler, la propriété de tout homme ; et cette propriété est la première, la. plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.
Page 304 - Paul ne peut en rien être altéré ou ébranlé : « que toute personne soit soumise aux puissances supérieures, car il n'ya point de puissance qui ne vienne de Dieu, et c'est lui qui ordonne celles qui sont sur la terre : celui donc qui s'oppose aux puissances résiste à l'ordre de Dieu.
Page 237 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Page 304 - ... l'Église de France n'approuve pas l'opinion de ceux qui donnent atteinte à ces décrets, ou qui les affaiblissent, en disant que leur autorité n'est pas bien établie, qu'ils ne sont point approuvés, ou qu'ils ne regardent que le temps du schisme.
Page 267 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 336 - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.
Page 267 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 328 - L'Assemblée nationale, considérant qu'elle n'a et ne peut avoir aucun pouvoir à exercer sur les consciences, et sur les opinions religieuses; que la majesté de la religion et le respect profond qui lui est dû ne permettent point qu'elle devienne un sujet de délibération ; considérant que l'attachement de l'Assemblée nationale au culte catholique, apostolique et romain ne saurait être mis...
Page 331 - ... de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse qui lui est confié, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi , et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 223 - Je suppose trois défmitions, ou plutôt trois faits : l'un, que « le gouvernement républicain est celui où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple, a la souveraine puissance; !e monarchique, celui où un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies ; au lieu que, dans le despotique, un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices ». Voilà ce que j'appelle la nature de chaque gouvernement.