La liberté, Volume 2L. Hachette, 1859 - 571 pages |
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... assez peu de savoir que les corporations d'arts et métiers , abolies en 1791 , et dont on attribue ordinairement la fondation à saint Louis , remontent beaucoup plus haut , et qu'on leur trouve des analogues jusque dans la société ...
... assez peu de savoir que les corporations d'arts et métiers , abolies en 1791 , et dont on attribue ordinairement la fondation à saint Louis , remontent beaucoup plus haut , et qu'on leur trouve des analogues jusque dans la société ...
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... assez forts pour revendiquer cette conséquence extrême du principe en vertu duquel ils régnaient . En France , ils pouvaient ` prendre des libertés avec le travail , qui est la source de la propriété , et n'en pouvaient pas prendre avec ...
... assez forts pour revendiquer cette conséquence extrême du principe en vertu duquel ils régnaient . En France , ils pouvaient ` prendre des libertés avec le travail , qui est la source de la propriété , et n'en pouvaient pas prendre avec ...
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... assez intelligible que , dans une société ainsi conçue , toute so- lidarité fût détruite entre la propriété et le travail . C'est avec la véritable propriété , et non pas avec la propriété féodale , que le droit de travailler se confond ...
... assez intelligible que , dans une société ainsi conçue , toute so- lidarité fût détruite entre la propriété et le travail . C'est avec la véritable propriété , et non pas avec la propriété féodale , que le droit de travailler se confond ...
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... assez tard ( en 1680 ) de servir des viandes cuites aux consommateurs , et , dans ce cas , ils furent astreints à les acheter toutes préparées chez un rôtisseur . Une or- donnance de 1670 voulait que toute marchandise fabri- quée contre ...
... assez tard ( en 1680 ) de servir des viandes cuites aux consommateurs , et , dans ce cas , ils furent astreints à les acheter toutes préparées chez un rôtisseur . Une or- donnance de 1670 voulait que toute marchandise fabri- quée contre ...
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... assez pour que les services d'un ouvrier consommé sous le nom d'apprenti devinssent une source d'importants bénéfices pour le maître . L'apprentissage de l'ouvrier tréfileur d'archal ne durait pas moins de douze ans 1 . Il était donc ...
... assez pour que les services d'un ouvrier consommé sous le nom d'apprenti devinssent une source d'importants bénéfices pour le maître . L'apprentissage de l'ouvrier tréfileur d'archal ne durait pas moins de douze ans 1 . Il était donc ...
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Expressions et termes fréquents
absolu administration affaires agents Anne Dubourg Aristote assez besoin budget c'est-à-dire catholicisme catholique censure centralisation chef chose citoyens civile clergé commerce commune compagnies concordat condamné conseil d'État conséquent corporations corps créer déclaration décret Dieu dire doctrine ecclésias Église esprits évêques fonctionnaires fond force François Ier général gouvernement hommes humaine institutions intérêts juges Jules Simon justice l'administration l'Assemblée constituante l'association l'autorité l'Église l'esprit l'État l'impôt l'industrie l'intolérance laisser législatif Léon X liberté de penser liberté des cultes liberté philosophique liberté religieuse libre livres lois Louis XIV magistrats maître matière ment mille ministre monde monopole Montesquieu morale n'était Napoléon Ier nécessaire nombre ouvriers pables pape parlement pays peuple philosophie police politique pouvoir pouvoir législatif préfet presse principe privilége propriété protestants public publique qu'un raison réforme régime règlements religion reste Révolution rien s'il sent sera seul siècle société sorte Spinoza surveillance tion toyens travail tribunaux Turgot vérité Voilà
Fréquemment cités
Page 35 - Dieu en donnant à l'homme des besoins , en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait, du droit de travailler, la propriété de tout homme ; et cette propriété est la première, la. plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.
Page 304 - Paul ne peut en rien être altéré ou ébranlé : « que toute personne soit soumise aux puissances supérieures, car il n'ya point de puissance qui ne vienne de Dieu, et c'est lui qui ordonne celles qui sont sur la terre : celui donc qui s'oppose aux puissances résiste à l'ordre de Dieu.
Page 237 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Page 304 - ... l'Église de France n'approuve pas l'opinion de ceux qui donnent atteinte à ces décrets, ou qui les affaiblissent, en disant que leur autorité n'est pas bien établie, qu'ils ne sont point approuvés, ou qu'ils ne regardent que le temps du schisme.
Page 267 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 336 - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.
Page 267 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 328 - L'Assemblée nationale, considérant qu'elle n'a et ne peut avoir aucun pouvoir à exercer sur les consciences, et sur les opinions religieuses; que la majesté de la religion et le respect profond qui lui est dû ne permettent point qu'elle devienne un sujet de délibération ; considérant que l'attachement de l'Assemblée nationale au culte catholique, apostolique et romain ne saurait être mis...
Page 331 - ... de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse qui lui est confié, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi , et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 223 - Je suppose trois défmitions, ou plutôt trois faits : l'un, que « le gouvernement républicain est celui où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple, a la souveraine puissance; !e monarchique, celui où un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies ; au lieu que, dans le despotique, un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices ». Voilà ce que j'appelle la nature de chaque gouvernement.