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trouve dans Jean-Albert Fabricius, Supplement. ad biblioth. latin., page 340. Autres sur le mariage du roi, au Mercure de France d'octobre 1725, p. 3. Autres qui sont inscrits sur les murs du couvent des Capucins de Dijon, et qui sont de La Monnoye pour la plus grande partie. Autres en forme de placet, au Mercure de France de mai 1726, page 959. Sonnet en bouts-rimés, qui remporta le prix proposé par le sieur Mignon, maître de la musique du roi. Il est à la tête du Recueil de ces sonnets imprimé à Paris, chez Quinet, 1683, in-12. 4° Epigramme latine au devant du livre du cardinal Noris, De epochis Syro-Macedonum. Autres au nombre de neuf, avec la traduction en vers français, au devant du Commentaire de Taisand sur la Coutume de Bourgogne. Autres au devant du tome 1 de la Critique du P. Pagi sur les Annales de Baronius. Autres au devant du poème latin du R. P. Oudin, intitulé: Somnia. Autres pour mettre au bas du portrait de M. le président Bouhier, au devant du Corpus juris canonici de Gibert, imprimé à Genève en 1735, in-fol. Autres sur les deux Glossaires de Du Cange, dans Morhosius, Polyhistor., lib. 4, cap. 8. Autres sur le marché nouveau établi par le cardinal de Bissy dans l'ancien préau de la foire de StGermain, au Mercure de France d'avril 1727. Autres pour mettre à la tête du livre du prétendu

Brenno Vulcanius, intitulé: Bibliotheca Vulcani. (Voy. la Bibliothèque de l'Europe, tome 1, page 463, 1728.) Autres à la louange de Piscopia Cornara, insérées dans le Tumulus P. Petiti, imprimé en 1687, p. 8. Autres au sieur Martin, inséré au Supplément de Moréri, qui parut en 1735, à l'article de La Monnoye.

5o Vers funèbres français, latins et en d'autres langues. Epitaphium P. Petiti, inséré au Tumulus P. Petiti, imprimé en 1687, et au Dict. de Moréri, à l'article de Petit. Musarum Tumulus, etc., au Recueil de pièces sur la mort de l'abbé Boisot, in-4; Dijon, Ressayre, 1694, et en la Continuation des Mém. de littérat., tome IV, part. I, page 25. Epitaphes de Lantin, conseiller au Parlement de Dijon, en vers grecs, latins, italiens et français, avec son éloge au Journal des savants de 1695, page 248 de l'édition in-12. Funus santolinum, etc., parmi les pièces sur la mort de Santeuil, in-4o; Dijon, 1698, et dans le Santoliana, part. II, page 41. Annæ Fabræ Tumulus, au Journal de Trévoux de janvier 1721, page 120. Traduction en vers latins d'une épitaphe grecque de Michel de Montaigne, au devant des Essais de ce dernier, édition de 1725, p. LII. 6o Traduction en vers français de la Glose espagnole de sainte Thérèse, qui commence: Muero porque no muero, imprimée dans la Vie de l'abbé Fevret, par le P. Bourée,

en 1694, page 71, et au Journal de Trévoux de septembre 1702, page 88, avec un éloge du traducteur; et encore dans la Vie de cette sainte, par Villefore, in-4°, 1712, avec une préface de La Monnoye sur cette glose. On dit que ces vers ont été mis en musique à Paris en 1698. Autre traduction de la prose rimée de saint Bernard : Jesu, dulcis memoria, etc., imprimée avec celle de la Glose de sainte Thérèse; à Lyon, in-12, Barbier. Autres de dix-neuf hymnes latines sur le Cœur de Jésus, imprimées avec l'Office du sacré Cœur de Jésus par le P. Bourée, in-8°; Lyon, Certe, 1700. Autre de l'épigramme de Roscius, rapportée par Cicéron au premier de ses dialogues sur la Nature des Dieux. L'abbé d'Olivet a inséré cette version dans sa traduction de ces dialogues, tome I, page 296 de l'édition de 1732. Le même, en sa traduction des Tusculanes de Cicéron, tome I, page 230, édit. de 1737, a reconnu que la plupart des vers qui se trouvent traduits dans la seconde Tusculane sont de La Monnoye. -7° Autres poésies diverses non encore imprimées. Il y en avait, dit Papillon, un nombre prodigieux, soit en latin. ou en français, soit même en grec et en italien. <<< Ses amis en ont beaucoup, ajoute-t-il, et surtout M. le président Bouhier et le R. P. Oudin, jésuite. Mais le recueil complet en doit être chez M. Glucq de Saint-Port.»-8° Inscription latine,

en prose, gravée sur un marbre qui fut posé à Dijon, en 1705, en la place Saint-Etienne, contre un mur attenant le lieu où était anciennement l'église paroissiale de Saint-Médard. Autre inscription pareille, gravée sur un marbre qu'on voit en l'église de St-Etienne de la même ville, pour servir de mausolée à Claude Fyot, abbé de cette église. 9° Règles de la poésie française (manuscrit de 4 pages in-4°). -10° Remarques critiques sur la traduction d'Anacréon par l'abbé Regnier-Desmarais et sur ses observations sur ce poète. Il y en avait une copie dans la bibliothèque du président Bouhier. 11° Traduction de la seconde Tusculane de Cicéron. Elle était en original dans la même bibliothèque.-12° Remarques, additions et corrections sur les Bibliothèques françaises de La Croix du Maine et de Du Verdier. Elles étaient en état d'être imprimées au temps de la mort de l'auteur, et le manuscrit en était passé, avec ses autres livres, dans la bibliothèque de M. Glucq de Saint-Port. 13° Remarques sur les Vies des jurisconsultes par P. Taisard. De La Monnoye les avait faites sur le manuscrit de l'auteur et afin qu'il corrigeât les fantes en grand nombre qui s'y trouvaient, avant qu'il les donnât à l'imprimeur. Elles formaient quatre petits cahiers in-4°, remplis d'une infinité de recherches savantes et curieuses. 140 Remarques sur la

zet, 1708, 2 vol. in-12. — 14° Traduction en vers français de trois pièces latines, l'une sur le vin de Bourgogne, l'autre sur le vin de Champagne, et la troisième sur le cidre. A Paris et à Dijon. 15° Hymni in officium S. Benigni ; in-4o, Langres, Personne. Il y avait déjà eu quatre de ces hymnes imprimées avec la traduction en vers français de la façon du même auteur, dans l'Office du même saint, à Dijon, chez Defay, en 1709, in-8°. 16° Observations sur le Cymbalum mundi, de Bonaventure des Périers; in-12, Cologne, Gaillard, 1711. Ces Observations se trouvent à la fin des Contes et Nouvelles du même des Périers, en 2 vol. in-12. Elles ne sont pas toutes de M. de La Monnoye. Les siennes sont distinguées par les lettres A, B, C, etc. Mais il s'est plaint qu'on les avait mutilées et défigurées. Les autres sont d'un inconnu qui les a distinguées par cette marque: §.

17° Traduction en vers français d'une Ode latine du sieur Bénigne Grenant sur le vin de Bourgogne; in-12, Paris, Etienne, 1712, et Dijon, Defay, la même année. 18° Traduction en vers français des vers latins faits par Guérin, professeur en rhétorique au collége de Beauvais, à la louange de M. de Mesmes, premier président du Parlement de Paris; in-4°, Paris, Etienne, 1712, et depuis insérée au Recueil des Poésies de La Monnoye. 19° Dis

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