Tendances dominantes. Faits qui avaient prévalu au V⚫ siècle.-Causes de liberté dans l'Église à cette époque. --De l'élection des évêques.-Des conciles.-Comparaison de la société religieuse et de la société civile. De la vie des chefs de ces deux sociétés.-Lettres de Sidoine Apollinaire. Objet de la leçon. d'une société ? QUATRIÈME LEÇON. Page 137. Que faut-il entendre par l'état moral Influence réciproque de l'état social sur l'état moral, et de l'état moral sur l'état social. Au IVe siècle, la société civile gauloise possède seule des institutions favorables au développement intellectuel. Des écoles gauloises.-De la situation légale des professeurs. La société religieuse n'a d'autre moyen de développement et d'influence que ses idées.-Cependant l'une languit et l'autre prospère.-Décadence des écoles civiles.―Activité de la société chrétienne. Saint Jérôme, saint Augustin et saint Paulin de Nole. - Leur correspondance avec la Gaule.-Fondation et caractère des monastères dans la Gaule.-Causes de la différence de l'état moral des sociétés.Tableau comparatif de la littérature civile et de la littérature chrétienne aux IV• et Ve siècles. Inégalité de la liberté d'esprit dans les deux sociétés. Nécessité que la religion prêtât son appui aux études et aux lettres. - CINQUIÈME LEÇON. Page 175. Des principales questions débattues en Gaule au Ve siècle. -Du pélagianisme.-De la méthode à suivre dans son histoire. Des faits moraux qui ont donné lieu à cette controverse 1° De la liberté humaine; 2° de l'impuissance de la liberté et de la nécessité d'un secours extérieur; 3° de l'influence des circonstances extérieures sur la liberté ; 4° des changemens moraux qui surviennent dans l'âme humaine sans que l'homme les attribue à sa volonté. Des questions qui naissent naturellement de ces faits. - Du point de vue spécial sous lequel on a dû les considérer dans l'église chrétienne au Ve siècle.— Histoire du pelagianisme à Rome, en Afrique, en Orient et dans la Gaule. — Pélage. Célestius. Saint AuHistoire du semi-pélagianisme. — Cassien. gustin. Fauste. destinatiens. Saint Prosper d'Aquitaine. Des pré- controverse. SIXIÈME LEÇON. Page 217. Objet de la leçon.-Caractère général de la littérature du moyen âge. De la transition de la philosophie payenne à la théologie chrétienne.—De la question de la nature de l'âme dans l'église chrétienne. La plupart des anciens Pères se prononcent pour le système de la matérialité.Efforts pour en sortir. -Marche analogue des idées dans la philosophie payenne. — Commencemens du système de la spiritualité. - Saint Augustin, Némésius, Mamert Claudien. - Fauste, évêque de Riez.- Mamert Ses argumens pour la matérialité de l'âme. Claudien lui répond. - Considération de Mamert Clau dien dans la Gaule. — Analyse et citation de son Traité de la Nature de l'Ame.-Du dialogue d'Evagre entre le chrétien Zachée et le philosophe Apollonius. Des effets de l'invasion des Barbares sur l'état moral de la Gaule. Objet de la leçon. SEPTIÈME LEÇON. civilisation moderne. social des Germains. Page 249. De l'élément germanique dans la Des monumens de l'ancien état 1 Des historiens romains et grecs; 2o des lois barbares; 3° des traditions nationales. -Ils se rapportent à des époques fort diverses. On les a souvent employés pêle-mêle. Erreur qui en résulte. De l'ouvrage de Tacite sur les mœurs des Germains. Des opinions des écrivains allemands mo-, dernes sur l'ancienne société germanique. Quel genre de vie y prévalait, la vie errante ou la vie sédentaire ? - Des institutions. De l'état moral. Comparaison — entre l'état des tribus germaines et celui d'autres peuplades. Fausseté de la plupart des tableaux de la vie barbare.-Principaux caractères de la véritable influence des Germains sur la civilisation moderne. HUITIÈME LEÇON. Page 289. Objet de la leçon. Description de l'état de la Gaule dans la dernière moitié du VI. siècle. — Véritable caractère des invasions germaniques.-Cause d'erreur à ce sujet. Dissolution de la société romaine: 1° dans les campagnes; 2° dans les villes, quoique à un moindre degré. - Dissolution de la société germaine : 1o de la peuplade ou tribu; 2° de la bande guerrière.-Elémens du nouvel état social.—1° De la royauté naissante ; — 2o de la féo toire de la rédaction de cette loi. salique. De l'ouvrage de M. Wiarda sur l'histoire et l'explication de la loi salique. Préfaces jointes aux manuscrits. Valeur des traditions nationales sur l'ori- gine et la rédaction de la loi salique. De ses disposi- tions. Elle est essentiellement un Code pénal. -1° De l'énumération et de la définition des délits dans la loi Objet de la leçon. Le caractère transitoire de la loi salique se retrouve-t-il dans les lois des Ripuaires, des Bourguignons et des Visigoths ? 1° De la loi des Ri- puaires. Des Francs-Ripuaires.-Histoire de la rédac- tion de leur loi. Son contenu. - En quoi elle diffère de la loi salique. -2° De la loi des Bourguignons.- resse plus l'histoire d'Espague que l'histoire de France. De l'histoire du droit romain dans le moyen âge, par M. de Savigny. Mérites et lacunes de cet ouvrage. droit romain chez les Visigoths. - Breviarium Aniani, recueilli par ordre d'Alaric. - Histoire et contenu de ce recueil. -2° Du droit romain chez les Bourguignons. Papiani responsum. Histoire et contenu de cette Objet de la leçon.—- De l'état de l'Église en Gaule du VI' siècle au milieu du VIII. — Analogie de l'état primitif de la société religieuse et de la société civile. - De l'u- nité de l'Église, ou de la société spirituelle. - Des deux élémens ou conditions de la société spirituelle: 1o Unité de la vérité, c'est-à-dire de la raison absolue; 2°Liberté des esprits, c'est-à-dire de la raison individuelle. De l'état de ces deux idées dans l'Église chrétienne du VI au VIII° siècle. —Elle adopte l'une et méconnaît l'autre. -De l'unité de l'Église dans la législation.-Conciles généraux. Différence entre l'Église d'Orient et l'Église d'Occident, quant à la poursuite des hérétiques. Des rapports de l'Église avec l'État du VI au VIIIe siècle : 1o Dans l'Empire d'Orient; 2o Dans l'Occident, et spé- cialement dans la Gaule-Franque. Intervention du FIN DE LA TABLE. |