| François Antoine Jean Mazure - 1805 - 96 pages
...languissant , et 5) les plaisirs mesmes qui s'offrent à moy , au lieu » de me consoler , me redoublent le regret de sa » perte. Nous étions à moitié...tout ; il me semble » que je lui dérobe sa part. » 11 avait trente ans lorsqu'il perdit son ami. Son père , dont il parle toujours avec une tendre... | |
| Marie Jacques Joseph Victorin Fabre - 1812 - 104 pages
...languissant. Les plaisirs qui s'offrent à moi , au lieu de me consoler, me rendent plus amer le regcet de sa perte : nous étions à moitié de tout ; il me semble que je lui dérobe sa part ». Il n'est action ni pensée où son ami ne lui manque. Rien n'affaiblit ses regrets qu'il se plaît... | |
| Étienne de Jouy - 1814 - 424 pages
...lui , parce que c'etait moi — Les plaisirs » mêmes , au lieu de me consoler , me redou» blent le regret de sa perte; nous étions .à » moitié de tout , il me semble que je lui dé» robe sa part. » Ces quatre lignes contiennent la définition , l'éloge et le code de l'amitié... | |
| Etienne de Jouy - 1815 - 496 pages
...parce que c'était moi — Les plaisirs mêmes , » au lieu de me consoler , me redoublent le re» gret de sa perte; nous étions à moitié de tout, » il me semble que je lui dérobe sa part. » Ces quatre lignes contiennent la définition, l'éloge et le code de l'amitié véritable. Voyons... | |
| Étienne de Jouy - 1815 - 744 pages
...parce que c'était moi Les plaisirs mêmes , » au lieu de me consoler, me redoublent le re» gret de sa perte; nous étions à moitié de tout; » il me semble que je lui dérobe sa part. « Ces quatre lignes contiennent la définition , l'éloge et le code de l'amitié véritable. Voyons... | |
| Étienne de Jouy - 1823 - 450 pages
...c'était lui, «parceque c'était moi Les plaisirs mêmes, au «lieu de me consoler, me redoublent le regret de « sa perte ; nous étions à moitié...tout, il me semble « que je lui dérobe sa part. » Ces quatre lignes contiennent la définition, l'éloge et le code de l'amitié véritable. Voyons... | |
| 1824 - 634 pages
...heureusement. Montaigne , donnant une larme à la mémoire de la Boétie , sécrie : Les plaisirs me redoublent le regret de sa perte. Nous étions à moitié de tout , il me semble que je lui dérobe sa part. M. SaintProsper dit: «En amitié on ne donne pas, on partage. » II emprunte aussi des pensées à... | |
| 1824 - 822 pages
...» dit-il, avec une simplicité touchante, qui rappelle les paroles de Montaigne sur La Boëtie : « Nous étions à moitié de tout; il me semble que je lui dérobe sa part. » Ailleurs, ( t. I, préf. xx ), il donne à son frère, M. Amaury Duval, un témoignage d'affection... | |
| 1824 - 840 pages
...dit-il, avec une simplicité touchante, qui rappelle les paroles de Montaigne sur La Boëlie : •< Noui étions à moitié de tout; il me semble que je lui dérobe sa part. » Ailleurs, ( t. I , préf. \\ ), il donne à son frère, M. Amnury Ducal, un témoignage d'affection... | |
| Villemain (M.) - 1825 - 458 pages
...incurable blessure ; il ne fait plus que traîner languissant : il n'a plus de goût aux plaisirs. Ils me redoublent, dit-il , le regret de sa perte. Nous étions...qui n'a plus pour objet qu'un souvenir ! Quelle est Fame détachée d'elle-même qui se plaît à prolonger son affliction pour honorer la mémoire de... | |
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