Oeuvres posthumes de Fréderic II, roi de Prusse..: Histoire de mon tempschez Voss et fils et Decker et fils., 1788 |
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admiration affaires Anglois arrivé assez assuré auroit Autrichiens avez avoient avoit Berlin bonheur bontés de V. M. Breslau choses Colberg connoissance crainte crois d'écrire à V. M. d'envoyer à V. M. dernière lettre Dieu digne dire Éguilles ennemis envoyé étoient étoit foible François gens gloire Grange guerre Helvétius heureux homme j'ai eu l'honneur J'ai l'honneur j'aurois j'avois j'en j'espère j'étois jésuites jours l'académie l'Europe l'hon l'honneur d'écrire l'honneur de m'écrire Leipsic lettre que V. M. long-temps m'a fait l'honneur m'avoit m'en m'envoyer Magdebourg malheur ment mieux mille mois Mr de Catt Mr de Guibert n'ai n'étoit ouvrage paix parler paroît pense persuadé philosophie plaisir Potsdam pourroit prends la liberté prince profond respect Prusse Puisieux raison Rathenow reconnoissance rendre rien Russes s'il sais Sans-Souci santé Schweidnitz sentimens sera seroit seul Sire sujet Sussmilch talens Timée de Locres tion V. M. veut vérité voeux Voilà vois Voltaire voudrois
Pasajes populares
Página 93 - ... il me semble que si on voulait s'entendre , on éviterait bien des disputes à ce sujet. L'homme est libre, en ce sens que, dans les actions non machinales , il se détermine de lui-même...
Página 110 - ... nous. Si les pierres savaient qu'elles tombent, et si elles y avaient du plaisir, elles croiraient tomber librement parce qu'elles tomberaient de leur plein gré. Mais je...
Página 111 - Une société considérable de philosophes et de gens de lettres, du nombre desquels je suis, ont résolu, sire, d'ériger à M. de Voltaire une statue, comme à celui de tous nos écrivains à qui la philosophie et les lettres sont le plus redevables.
Página 83 - Cordelier qu'il est, fera une grande sottise de casser ainsi son régiment des gardes, par complaisance pour les princes catholiques. Il me semble que ce traité ressemble à celui des loups avec les brebis, dont la première condition fut que celles-ci livrassent leurs chiens; on sait comment elles s'en trouvèrent.
Página 229 - France et le roi d'Espagne. Comme notre roi a le cœur droit et vertueux , on ne craint pour lui ni la séduction des flatteurs , ni celle des fripons ; on ne craint que celle des hypocrites qui pourraient prendre le masque de la vertu ; mais heureusement ces hypocrites ont si maladroitement montré ce qu'ils sont par la conduite scandaleuse qu'ils ont eue dans la maladie du feu roi , qu'on est persuadé que le jeune prince les a bien connus, et ne tombera pas dans leurs filets. Rien n'égale l'indignation...
Página 233 - ... du beau portrait que vous avez eu la bonté d'y joindre? Je le porterai sur moi sans cesse, et la nuit je le mettrai au chevet de mon lit, à l'endroit où les dévots placent leur crucifix et leur bénitier.
Página 215 - J'ai été obligé d'abandonner La Mettrie; c'est un enfant perdu qu'il m'a fallu sacrifier dans le combat. Mais, s'il est devenu une victime...
Página 111 - ... la vérité; si cette vérité est simple , et surtout si elle va droit à son cœur, comme la religion que je propose de lui prêcher, il me paraît infaillible qu'il la saisira, et qu'il n'en voudra plus d'autre. Malheureusement nous sommes encore bien loin de cette heureuse révolution des esprits. Je viens enfin, sire, à ce prince tant loué pendant sa vie, peut-être trop déchiré après sa mort, mais auquel il me semble pourtant qu'on commence à rendre ce qui lui est dû, sans humeur...
Página 161 - Française ; mais combien de peine il faudra que je me donne pour ne pas dire ma pensée ! heureux même si , en la cachant, je puis au moins la laisser entrevoir ! Je suis avec le plus profond respect, la plus vive reconnaissance et la plus immuable admiration , etc.
Página 241 - OIRE, je viens de recevoir le nouveau présent dont votre majesté a bien voulu m'honorer , et je ne perds pas un moment pour lui en témoigner ma vive reconnaissance ; ce buste de M. de Voltaire, sire, m'est encore plus cher par la main auguste et chérie de qui je le tiens , que par l'ancien et illustre ami dont il me retrace si bien l'image. La ressemblance est parfaite, et la finesse de l'exécution ne laisse rien à désirer. L'inscription immortalis est...