Nouvelles études sur la littérature grecque moderne |
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... bibliothèque d'Apellicon de Téos . Lucullus était assez instruit pour écrire en grec l'histoire de la guerre des Marses ( 3 ) . Jules César , Asinius Pollion , Auguste , firent une large place aux écrits des Grecs dans les bibliothèques ...
... bibliothèque d'Apellicon de Téos . Lucullus était assez instruit pour écrire en grec l'histoire de la guerre des Marses ( 3 ) . Jules César , Asinius Pollion , Auguste , firent une large place aux écrits des Grecs dans les bibliothèques ...
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... bibliothèque à laquelle il consacra beau- coup de travail et de soin . Les égarements de sa jeu- nesse sont connus par la grande et sévère pénitence qu'il s'imposa lui - même . Il ne lui suffit pas de vivre en chrétien mortifié dans ...
... bibliothèque à laquelle il consacra beau- coup de travail et de soin . Les égarements de sa jeu- nesse sont connus par la grande et sévère pénitence qu'il s'imposa lui - même . Il ne lui suffit pas de vivre en chrétien mortifié dans ...
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... bibliothèque de Pamphile - le - Mar- tyr à Césarée . C'est là que Saint Jérôme le vit ( 1 ) . Dans le troisième siècle , Saint Lucien , prêtre d'An- tioche , avait essayé de restituer le texte vulgaire ( xový ) . des Septante , en ...
... bibliothèque de Pamphile - le - Mar- tyr à Césarée . C'est là que Saint Jérôme le vit ( 1 ) . Dans le troisième siècle , Saint Lucien , prêtre d'An- tioche , avait essayé de restituer le texte vulgaire ( xový ) . des Septante , en ...
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... bibliothèque . Mais nous voudrions savoir , par des textes précis , s'il y avait dans quelqu'une de nos grandes villes , à Trèves , à Bordeaux , une biblio- thèque entretenue aux frais des empereurs ou des cités comme à Constantinople ...
... bibliothèque . Mais nous voudrions savoir , par des textes précis , s'il y avait dans quelqu'une de nos grandes villes , à Trèves , à Bordeaux , une biblio- thèque entretenue aux frais des empereurs ou des cités comme à Constantinople ...
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... bibliothèque de Berne , publié par Sinner , on lisait également : Cle- mentis scoti de partibus orationis . » Ces indications de- meuraient toujours vagues , heureusement Sinner avait publié quelques phrases du manuscrit . M. Hauréau a ...
... bibliothèque de Berne , publié par Sinner , on lisait également : Cle- mentis scoti de partibus orationis . » Ces indications de- meuraient toujours vagues , heureusement Sinner avait publié quelques phrases du manuscrit . M. Hauréau a ...
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Términos y frases comunes
Alexandre Arabes Arétusa Aristote Aristotelis Arodaphnousa Athènes avaient Basiliadis bibliothèque Boèce C'était Cassiodore chants chrétiens cite Clerc connaissance Constantinople Cornaro Cramer d'Alexandre d'Arétusa d'Aristote Dieu Digénis disciple écoles écrits empereurs Érotocritos esprit études grecques évêque femme fille Gaule Græca græce Græcis græco grec Grèce moderne hellénique Héraclès Hist hommes Ibid instruit Jacques de Vitry Jean Jofroi de Waterford Jourdain l'auteur l'église l'empereur l'hellénisme l'histoire l'Occident l'Orient langue grecque latin Léon Lérins lettres lingua litt littérature livres Luitprand maître manuscrit manuscrits Martin Crusius ment monastère Moralisation moyen âge ouvrages Ozanam pape parle passer père peuple philosophe Phrosyne Physiologus Platon poëme poëte prince Pseudo-Callisthène quæ quam quod reine Roger Bacon Romains Rome Saint Basile Saint Jérôme Sathas savant science Scot texte tion traduction trouve Turcs Venise version Vierge voit XIIIe siècle ἀπὸ δὲ εἰς ἐν καὶ κὴ μὲ νὰ περὶ τὰ τὴν τῆς τὸ τὸν τοῦ τῶν
Pasajes populares
Página 594 - Sur tous mes frères morts se faisant un passage; Et de sang tout couvert échauffant le carnage Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans la flamme étouffés sous le fer expirants.
Página 414 - Elles ne sont pas seulement morales, elles donnent encore d'autres connaissances : les propriétés des animaux et leurs divers caractères y sont exprimés ; par conséquent les nôtres aussi, puisque nous sommes l'abrégé de ce qu'il ya de bon et de mauvais dans les créatures irraisonnables.
Página 411 - C'est aux dépens des pauvres qu'elle satisfait les yeux des riches! » Et plus loin : « Que signifient dans nos cloîtres cette ridicule monstruosité , cette élégance merveilleusement difforme , ces difformités élégantes, étalées aux yeux des Frères, pour les troubler sans doute dans leurs prières , ou les distraire dans leurs lectures ? Que nous veulent ces singes immondes, ces lions furieux, ces monstrueux centaures, ces semihommes , ces tigres à la peau mouchetée , ces soldats qui...
Página 377 - Como dize Aristótiles, cosa es verdadera, el mundo por dos cosas trabaja: la primera por aver mantenencia; la otra cosa era por aver juntamiento con fenbra plazentera.
Página 587 - La fin de l'art est l'expression de la beauté morale à l'aide de la beauté physique. Celle-ci n'est pour lui qu'un symbole de celle-là.
Página 563 - ... honneurs. Ce que fit la philosophie pour conserver l'état de la Grèce n'est pas croyable. Plus ces peuples étaient libres, plus il était nécessaire d'y établir par de bonnes raisons les règles des mœurs, et celles de la société.
Página 594 - Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage ; Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des [mourants, Dans la flamme étouffés, sous...
Página 174 - De quibusdam locis ad nos refertur, non magistros, neque curam inveniri pro studio litterarum. Idcirco in universis episcopiis, subjectisque plebibus, et aliis locis in quibus necessitas occurrerit, omnino cura et diligentia habeatur, ut magistri et doctores constituantur : qui studia litterarum, liberaliumque artium ac sancta habentes dogmata, assidue doceant...
Página 563 - Grèce de ces beaux préceptes. Il y eut des extravagants qui prirent le nom de philosophes, mais ceux qui étaient suivis étaient ceux qui enseignaient à sacrifier l'intérêt particulier, et même la vie, à l'intérêt général et au salut de l'État; et c'était la maxime la plus commune des philosophes, qu'il fallait ou se retirer des affaires publiques, ou n'y regarder que le bien public.
Página 94 - ... filios liberalibus artibus erudire, et ingenia Britannorum studiis Gallorum anteferre, ut qui modo linguam Romanam abnuebant, eloquentiam concupiscerent. inde etiam habitus nostri honor et frequens toga. paulatimque discessum ad delenimenta vitiorum, porticus et balnea et conviviorum elegantiam. idque apud imperitos humanitas vocabatur, cum pars servitutis esset.