Revue des pyrénées: France méridionale-Espagne, Volumen 4

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Julien Sacaze, Felix Garrigou
E. Privat., 1892

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Página 363 - Oh ! oh ! je n'y prenais pas garde : Tandis que, sans songer à mal , je vous regarde , Votre œil en tapinois me dérobe mon cœur ; Au voleur ! au voleur ! au voleur ! au voleur ! CATHOS.
Página 468 - ... violente, ils ne gardent plus ni lois ni mesures, et qu'ils ôtent les égards et la crainte aux hommes, en faisant que les maux qu'ils souffrent leur...
Página 449 - ... voir en son fils un illustre ignorant, me mit ce livre entre les mains, encore que je ne fusse à peine plus un enfant de mamelle.
Página 596 - Canigou reçut sur le front une teinte rosé qui, se mariant à la blancheur des neiges, produisit une nuance d'une inexprimable douceur. Cette bande lumineuse s'agrandissant par l'élévation progressive du soleil, le pic supérieur semblait croître à mesure qu'il s'éclairait. Bientôt, le mont tout entier fut inondé de lumière et de pourpre; alors toutes ses formes, cachées dans l'obscurité, se dessinèrent...
Página 309 - ... hochets!... Nous nous sommes trompés de temps en naissant et en mourant pour la liberté du monde, poursuivit-il, nous nous sommes crus à Rome, et nous étions à Paris ! Mais les révolutions sont comme ces crises qui blanchissent en une nuit la tête d'un homme : elles mûrissent vite les peuples. Le sang de nos veines est assez chaud pour féconder le sol de la république. N'emportons pas avec nous l'avenir, et laissons l'espérance au peuple en échange de la mort qu'il va nous donner...
Página 596 - Roussillonnais, à la veste courte, au bonnet flottant, au visage court et vif, conduisait au galop quatre chevaux de Cerdagne, qui nous emportaient tout autour du Canigou. Entraînés par ce mouvement rapide, nous voyions se succéder tour à tour les têtes de ce mont superbe qui, placé à l'entrée des Pyrénées, les. annonce d'une manière si imposante.
Página 115 - ... ...je vous prie bien fort pour l'amitié que je vous porte, de vous despoiller de toute affection, & considérer un peu de près combien de veillées, nuictées, & lucubrations il m'a faillu passer pour bien regarder, ruminer, recoler, lire, relire, feuilleter...
Página 596 - ... supérieur semblait croître à mesure qu'il s'éclairait. Bientôt le mont tout entier fut inondé de lumière et de pourpre; alors toutes ses formes, cachées dans l'obscurité, se dessinèrent à la fois, toutes ses saillies ressortirent, toutes ses profondeurs semblèrent s'enfoncer encore, et il parut acquérir une réalité qu'il n'avait pas. Le froid, le vent, la rapidité de la course ajoutaient à l'effet de ce grand- spectacle ; le mouvement surtout le rendait enivrant.
Página 529 - France , entre les deux couronnes , en l'an 1659 ; ou l'on voit les conférences entre les deux premiers ministres, avec un journal de ce qui s'y est passé de plus remarquable ; aussi un recueil de diverses matières concernant le sieur duc de Lorraine. Cologne , Pierre de ta Place, 1665, in-12. v.
Página 67 - Dans les récréations qui avaient lieu dans un très vaste clos où se trouvaient un beau jardin, des prairies, des vignes, des bosquets, les jeunes filles me couronnaient, m'enguirlandaient de fleurs; puis, me plaçant sur un petit brancard couvert de roses, elles me portaient à tour de rôle en chantant. — D'autres fois je jouais aux barres avec elles, ayant le privilège de toujours prendre sans jamais être pris. Elles me lisaient des histoires, me chantaient des chansons; enfin c'était...

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