Oeuvres complètes de Thomas, Volumen 1A. Belin, 1819 |
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... romain . « Quelle belle invention , dit le comte de Guibert , que tout le caractère dramatique donné à cet éloge ! comme c'est en effet tantôt Apollonius qu'on croit entendre , tantôt un écrit de Marc- Aurèle qu'on croit lire ! Quelle ...
... romain . « Quelle belle invention , dit le comte de Guibert , que tout le caractère dramatique donné à cet éloge ! comme c'est en effet tantôt Apollonius qu'on croit entendre , tantôt un écrit de Marc- Aurèle qu'on croit lire ! Quelle ...
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... Romains pâlissent , Apollonius se tait et se voile le visage . >> La pompe funèbre reprend sa marche , et Rome sent en un moment » que Marc - Aurèle tout entier est descendu dans la tombe . >> Thomas avait voulu peindre un philosophe ...
... Romains pâlissent , Apollonius se tait et se voile le visage . >> La pompe funèbre reprend sa marche , et Rome sent en un moment » que Marc - Aurèle tout entier est descendu dans la tombe . >> Thomas avait voulu peindre un philosophe ...
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... à la » >> nature . >> Il est difficile sans doute de parler de Dieu avec plus de gran- deur . Nous avons des hymnes des Romains , ou du moins quelques morceaux dans leurs poëtes , qui nous en donnent une SUR LES ÉLOGES . 9.
... à la » >> nature . >> Il est difficile sans doute de parler de Dieu avec plus de gran- deur . Nous avons des hymnes des Romains , ou du moins quelques morceaux dans leurs poëtes , qui nous en donnent une SUR LES ÉLOGES . 9.
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... Romains ; enfin , chez tous les peuples celtiques , la même insti- tution régna plusieurs siècles . Les druides étaient les philosophes et les prêtres de la nation ; les bardes étaient les chantres et les panégyristes des héros . On les ...
... Romains ; enfin , chez tous les peuples celtiques , la même insti- tution régna plusieurs siècles . Les druides étaient les philosophes et les prêtres de la nation ; les bardes étaient les chantres et les panégyristes des héros . On les ...
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... Romains . Tant qu'il vécut , ces monumens restèrent ; mais à sa mort on les vendit , et une collection qui avait coûté tant de soins , se trouva encore dispersée . Un pareil trait nous donne l'idée d'un siècle et des barbares au milieu ...
... Romains . Tant qu'il vécut , ces monumens restèrent ; mais à sa mort on les vendit , et une collection qui avait coûté tant de soins , se trouva encore dispersée . Un pareil trait nous donne l'idée d'un siècle et des barbares au milieu ...
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Términos y frases comunes
âme arts Athènes avaient barbares bataille beauté besoin Bossuet c'était caractère célèbre choses Cicéron citoyens Colbert combat commença comte de Saxe courage crimes d'Aguesseau d'être Démosthène Descartes Dieu discours donner Duguay-Trouin élevé éloges éloquence empereur enfans enfin ennemis espèce esprit faiblesse femmes force foule François Ier funèbre général génie genre gloire goût gouvernement grandeur Grecs guerre Henri Henri IV héros hommes idées jamais l'âme l'art l'éloge l'éloquence l'empire l'esprit l'Etat l'Europe l'homme l'honneur l'orateur l'univers langue lettres lois Louis XIV lui-même madame madame Geoffrin madame Necker maître malheureux Marc-Aurèle mérite ministre mœurs monde mort mouvemens n'était nation nature objets orateur ouvrages panégyriques parler partout passions patrie Paul Jove pensée père peuple peut-être philosophie Platon poëtes politique presque prince qu'un quelquefois règne rien rois Romains Rome sang sensible sentimens sentiment seul siècle Socrate souvent spectacle Sully talens Thémiste Thomas toyens Trajan trône trouve tyrans vaisseaux vérité vertueux vertus victoires
Pasajes populares
Página 185 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux...
Página 185 - ... de la France, mais aujourd'hui obscurcies et couvertes de votre douleur comme d'un nuage ; venez voir le peu qui nous reste d'une si auguste naissance, de tant de grandeur, de tant de gloire. Jetez les yeux de toutes parts : voilà tout ce qu'a pu faire la magnificence et la piété...
Página 185 - ... fragiles images d'une douleur que le temps emporte avec tout le reste ; des colonnes qui semblent vouloir porter jusqu'au ciel le magnifique témoignage de notre néant; et rien enfin ne manque dans tous ces honneurs que celui à qui on les rend.
Página 184 - O nuit désastreuse ! ô nuit effroyable où retentit tout à coup, comme un éclat de tonnerre, cette étonnante nouvelle : MADAME se meurt ! MADAME est morte ! Qui de nous ne se sentit frappé à ce coup, comme si quelque tragique accident avait désolé sa famille?
Página 184 - ... encore ce reste tel quel va-t-il disparaître, cette ombre de gloire va s'évanouir, et nous Talions voir dépouillée même de cette triste décoration. Elle va descendre, à ces sombres lieux, à ces demeures souterraines, pour y dormir dans la poussière avec les grands de la terre...
Página 184 - Job; avec ces rois et ces princes anéantis, parmi lesquels à peine peut-on la placer, tant les rangs y sont pressés, tant la mort est prompte à remplir ces places.
Página 604 - Pour mériter son cœur, pour plaire à ses beaux yeux J'ai fait la guerre aux rois ; je l'aurais faite aux dieux.
Página 192 - ... de réputation ; c'est l'éloge funèbre de Turenne, de cet homme si célèbre, si regretté par nos aïeux , et dont nous ne prononçons pas encore le nom sans respect ; qui, dans le siècle le plus fécond en grands hommes, n'eut point de supérieur, et ne compta qu'un rival ; qui fut aussi simple qu'il était...
Página 204 - ... d'un philosophe , qui cherche à étendre la carrière des arts, et à y transporter, par de nouvelles imitations , de nouvelles beautés. Mais il se distingua surtout dans cette partie de l'esprit philosophique , utile lors même qu'il se trompe , qui analyse les principes du goût , n'admire rien sur parole, et avant d'adopter une opinion, même de deux mille ans , cherche toujours à s'en rendre compte.
Página 42 - ÉPOQUE devant moi les grands hommes : Je veux les voir et converser avec eux, disait un jeune Prince plein d'imagination et d'enthousiasme , à une pythonisse célèbre qui passait dans l'Orient pour évoquer les morts. Un sage qui n'était pas loin de là, et qui passait sa vie dans la retraite, approcha, et lui dit : Je vais exécuter ce que tu demandes : tiens, prends ce livre; parcours avec attention les caractères qui le composent; à mesure que lu /iras, tu verras s'élever autour de toi...