Histoire de France, Volume 2

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IX
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Page 227 - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie ; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait assez reconnaître.
Page 227 - C'est ce droit des gens qui fait que, parmi nous, la victoire laisse aux peuples vaincus ces grandes choses , la vie , la liberté , les lois , les biens, et toujours la religion, lorsqu'on ne s'aveugle pas soi-même.
Page 175 - ... convertie à la foi catholique, libre d'hérésie; lorsqu'elle était encore sous une croyance barbare , avec l'inspiration de Dieu, recherchant la clef de la science ; selon la nature de ses qualités, désirant la justice, gardant la piété ; la loi salique fut dictée par. les chefs de cette nation , qui en ce temps commandaient chez elle.
Page 41 - Ils relevaient et rattachaient sur le sommet du front leurs cheveux d'un blond roux, qui formaient une espèce d'aigrette et retombaient par derrière en queue de cheval. Leur visage était entièrement rasé, à l'exception de deux longues moustaches qui leur tombaient de chaque côté de la bouche. Ils portaient des habits de toile serrés au corps et sur les membres avec un large ceinturon auquel pendait l'épée. Leur arme favorite était une hache à un ou deux tranchants, dont le fer était...
Page 40 - C'est au nom de Chlodio que se rattachèrent, dans les temps postérieurs, tous les souvenirs de la conquête. On lui attribuait à la fois l'honneur d'être entré le premier sur le territoire des Gaules et celui d'avoir porté jusqu'au bord de la Somme la domination des Franks.
Page 229 - ... fréquenter les écoles publiques ; mais la plupart des professeurs étaient encore païens , ou indifférents en matière religieuse , et, dans leur indifférence, assez malveillants pour la religion nouvelle. Ils attiraient donc fort peu les chrétiens. Les sciences qu'ils enseignaient, la grammaire et la rhétorique , païennes d'origine, dominées par le vieil esprit païen, n'avaient d'ailleurs que peu d'intérêt pour le christianisme. Enfin, ce fut longtemps dans les classes inférieures...
Page 74 - Ils firent mourir plus de deux cents jeunes filles «d'une mort cruelle : les unes furent attachées par « les bras au cou des chevaux qui , pressés d'un ai«guillon acéré, les mirent en pièces; les autres «furent étendues sur les ornières des chemins, et «clouées en terre avec des pieux: des charrettes «chargées passèrent sur elles; leurs os furent bri« sés, et on les donna en pâture aux corbeaux et aux
Page 88 - Khilpérik et nièce de Gondebald , roi de Bourgogne. Le Gaulois Aurélien, déguisé en mendiant, portant sur son dos une besace au bout d'un bâton , est chargé du message : il devait remettre à Khlothilde un anneau que lui envoyait Khlovigh , afin qu'elle eût foi dans les paroles du messager.
Page 183 - ... siècle , leur nom devient beaucoup plus rare : on voit bien encore des ducs , des comtes , auxquels est confié le gouvernement des provinces; les rois barbares s'efforcent d'hériter de l'administration romaine , de garder les mêmes employés, de faire couler leur pouvoir dans les mêmes canaux ; mais ils n'y réussissent que fort...
Page 39 - C'étaient les plus occidentales, celles qui habitaient les dunes voisines de l'embouchure du Rhin. De ce côté, la frontière romaine n'était garantie par aucun obstacle naturel; les forteresses étaient bien moins nombreuses que vers le cours du...

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