Œuvres, Volumen 1 |
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Página 4
J O C A S T E. Ah , mon fiIs, · Quelles traces de sang vois-je sur vos habits ? Est-
ce le sang d'un frère, ou n'est-ce point du vôtre * - E T E O C L E. Non , Madame,
ce n'est ni de l'un ni de l'autre, Dans son Camp jusqu'ici Polinice arrêté, Pour ...
J O C A S T E. Ah , mon fiIs, · Quelles traces de sang vois-je sur vos habits ? Est-
ce le sang d'un frère, ou n'est-ce point du vôtre * - E T E O C L E. Non , Madame,
ce n'est ni de l'un ni de l'autre, Dans son Camp jusqu'ici Polinice arrêté, Pour ...
Página 21
Thébains , pour n'avoir plus de guerres, Il faut , par un ordre fatal, Que le dernier
du Sang Royal, * Par son trépas ensanglante vos terres. A N T I G O N E. O Dieux
! que vous a fait ce sang infortuné ? Et pourquoi tout entier l'avez-vous ...
Thébains , pour n'avoir plus de guerres, Il faut , par un ordre fatal, Que le dernier
du Sang Royal, * Par son trépas ensanglante vos terres. A N T I G O N E. O Dieux
! que vous a fait ce sang infortuné ? Et pourquoi tout entier l'avez-vous ...
Página 27
Seulement quelques jours souffrez que l'on vous voie ; | Et donnez-nous le tems
de chercher quelque voie Qui puisse vous remettre au rang de vos ayeux, Sans
que vous répandiez un sang si précieux. Pouvez-vous refuser cette grace légère
...
Seulement quelques jours souffrez que l'on vous voie ; | Et donnez-nous le tems
de chercher quelque voie Qui puisse vous remettre au rang de vos ayeux, Sans
que vous répandiez un sang si précieux. Pouvez-vous refuser cette grace légère
...
Página 33
L'honneur de notre sang, l'espoir de nos provinces, Ménécée, en un mot, digne
frère d'Hémon, Et très-indigne aussi d'être fils de Créon, De l'amour du pays
montrant son ame atteinte, Au milieu des deux camps s'est avancé sans crainte :
Et ...
L'honneur de notre sang, l'espoir de nos provinces, Ménécée, en un mot, digne
frère d'Hémon, Et très-indigne aussi d'être fils de Créon, De l'amour du pays
montrant son ame atteinte, Au milieu des deux camps s'est avancé sans crainte :
Et ...
Página 38
Dois-je verser mon sang, ou répandre le vôtre ? Et dois-je perdre un fils pour en
venger un autre ? Seigneur, mon sang m'est cher, le vôtre m'est sacré, Serai-je
sacrilége ou bien dénaturé ? Souillerai-je ma main d'un sang que je révère ?
Dois-je verser mon sang, ou répandre le vôtre ? Et dois-je perdre un fils pour en
venger un autre ? Seigneur, mon sang m'est cher, le vôtre m'est sacré, Serai-je
sacrilége ou bien dénaturé ? Souillerai-je ma main d'un sang que je révère ?
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Términos y frases comunes
A N T I G O N Andromaque aſſez auſſi B R I T A N N I C U Britannicus Burrhus C H I C A N E A C H I C A N E A U C R E O C'eſt Céſar courroux D A N D I deſſein eſt H E R M I O N I N T I M I N T I M É J O C A S T J U N I L A C O M T E S S laiſſe Madame Monſieur N A R C I S S n'eſt Narciſſe Néron O R E S T P E T I T-J E A P Y R R H U Porus Princeſſe Pyrrhus reſte S C E N E I s'eſt ſais ſang ſans Seigneur ſeul ſeule ſœur ſoin ſoins ſoit ſont ſort ſoupirs ſous ſuis ſujet ſur Taxile
Pasajes populares
Página 228 - Chère épouse, dit-il en essuyant mes larmes, J'ignore quel succès le sort garde à mes armes ; Je te laisse mon fils pour gage de ma foi : S'il me perd, je prétends qu'il me retrouve en toi Si d'un heureux hymen la mémoire t'est chère, Montre au fils à quel point tu chérissois le père.
Página 243 - Je ne t'ai point aimé, cruel ? Qu'ai-je donc fait ? J'ai dédaigné pour toi les vœux de tous nos princes, Je t'ai cherché moi-même au fond de tes provinces ; J'y suis encor, malgré tes infidélités, Et malgré tous mes Grecs honteux de mes bontés.
Página 385 - Vous n'aurez point pour moi de langages secrets ; J'entendrai des regards que vous croirez muets ; Et sa perte sera l'infaillible salaire D'un geste ou d'un soupir échappé pour lui plaire.
Página 194 - Non, non, d'un ennemi respecter la misère, Sauver des malheureux, rendre un fils à sa mère, De cent peuples pour lui combattre la rigueur, Sans me faire payer son salut de mon cœur, Malgré moi, s'il le faut, lui donner un asile : Seigneur, voilà des soins dignes du fils d'Achille.
Página 375 - J'aimais jusqu'à ses pleurs que je faisais couler. Quelquefois, mais trop tard, je lui demandais grâce ; j'employais les soupirs, et même la menace. Voilà comme occupé de mon nouvel amour, Mes yeux sans se fermer ont attendu le jour. Mais je m'en fais peut-être une trop belle image.
Página 232 - Fais connaître à mon fils les héros de sa race ; Autant que tu pourras conduis-le sur leur trace : Dis-lui par quels exploits leurs noms ont éclaté, Plutôt ce qu'ils ont fait que ce qu'ils ont été : Parle-lui tous les jours des vertus de son père; Et quelquefois aussi parle-lui de sa mère.
Página 215 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux, Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Página 187 - Avant que tous les Grecs vous parlent par ma voix , Souffrez que j'ose ici me flatter de leur choix , Et qu'à vos yeux , seigneur, je montre quelque joie , De voir le fils d'Achille et le vainqueur de Troie. Oui , comme ses exploits...
Página 244 - Vous ne répondez point! Perfide, je le voi, Tu comptes les moments que tu perds avec moi ! Ton cœur, impatient de revoir ta Troyenne , Ne souffre qu'à regret qu'une autre t'entretienne. Tu lui parles du cœur, tu la cherches des yeux...
Página 242 - Est-il juste, après tout, qu'un conquérant s'abaisse Sous la servile loi de garder sa promesse? Non, non, la perfidie a de quoi vous tenter; Et vous ne me cherchez que pour vous en vanter. Quoi? sans que ni serment ni devoir vous retienne, Rechercher une Grecque, amant d'une Troyenne?