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V. 120. Y consent, Le veut.

V. 121. Enfin, Auffi.

Sc. IV. v. 13. De courage, Du courage.

Sc. V. v. 25. 26. & 27. étoient ainsi :

Vous les verriez toujours, l'un à l'autre contraire,
Détruire aveuglément ce qu'auroit fait un frère ;
L'un fur l'autre toujours, &c.
v. 34. D'horribles, De grands.
Les v. 39. & 40. étoient ainfi :

Et qu'en vous éloignant du Trône où vous tendez,
Elle rend pour jamais vos defsseins avortés.
V. 41. Leur trépas, Mes enfans.

Les v. 57. & 58. étoient ainfi :

Tant que pour ennemi le Roi n'aura qu'un frère,
Sa perfonne, Créon,me fera toujours chère.
v. 66. Lui, Vous.

v. 99. Refpects, Devoirs.

▼. 101. Le Roi m'appelle ailleurs, il faut que j'obéiffe.

Vous favez que le Roi m'appelle à son service. Sc. VI. v. 6. Promptement, Au plus vite.

ACTE I I.

Sc. I. v. I. Quoi! vous me refusez? Eh quoi! vous me plaignez?

v. 33. L'avois bien cru, Prévoyois bien.

Le v. 44. étoit fuivi de ceux-ci qui font retranchés.
Lorfqu'on fe fent preffé d'une main inconnue

On la craint fans réferve, on hait fans retenue; Dans tous fes mouvemens le cœur n'eft pas contraint,

Et fe fent foulager de hair ce qu'il craint.
Mais voyant attaqué mon pays & mon frère,
La main qui l'attaquoit ne m'étoit pas moins chère
Mon cœur qui ne voyoit que mes frères & vous
Ne haifoit perfonne, & je vous craignois tous.
Le v. 64. étoit fuivi de ceux-ci qui font retranchés
Je le chéris toujours encore qu'il m'oublie.

HEMO N.

Non, non, fon amitié ne s'eft point affoiblie,
Il vous chérit encor; mais fes yeux ont appris
Que mon amour pour vous est bien d'un autre prix.
Quoique fon amitié furpasse l'ordinaire,

Il voit combien l'amant l'emporte fur le frère,
Et qu'auprès de l'amour dont je reffens l'ardeur;
La plus forte amitié n'eft au plus que tiédeur.

ANTIGONE.

Mais enfin, ft fur lui j'avois le moindre empire. Sc. II. v. 13. Sentir, Subir.

v. 20. Plainte, Plaintes.

v. 21. Ma crainte, Mes craintes.

Le v. 52. étoit fuivi de ceux-ci qui font retranchés. Auffi, quand jufqu'à vous j'ofai porter ma flamme, Vos yeux feuls imprimoient la terreur dans mon

ame,

Et je craignois bien plus d'offenfer vos appas ↳

Que le courroux des Dieux que je n'offenfois pas.

ANTIGONE.

Autant que votre amour, votre erreur eft extrémer Et vous les offenfez beaucoup plus que moi-même. Quelque rigueur pour vous qui parût en mesyeux; Hélas! ils approuvaient ce qui fáchoit les Dieux. Sc. II. v. 6. Après tout, En ce point.

Sc. III. v. 5. Répandre tant, Tant répandre.

V. 62. Il n'aime, il ne fe plaît, Et fon cœur n'aime plus,

v. 73. L'injufte, Le lache.

v. 80. Ainfi, Enfin.

v. 82. Plus, Moins.

v. 99. Quoi, ce jour, Ce jour-cis

v. 106. Cruel, Tyran.

Sc. IV. v. 2. Créon & les Thébains, par l'ordre de leur Roi,

Et les Thébains conduits par Créon & leur Roi.
V. 14. La force m'abandonne

manque..

ACTE IH

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Le courage me

'Sc. I. v. 12. Si toutefois on peut l'être avec, Si pourtant on peut P'être avecque.

Sc. II. v. 16. Vous-même dans, Lorfque dedans Sc. III. v. 8. Un Héros pour l'Etat, Pour l'Etat & pour nous.

9. Courois, fortoise

Au lieu des vers 11. 12. & 13. il y avoit ceux-ci ? Je leur criois d'attendre & d'arrêter leurs pas, Mais loin de s'arrêter, ils ne m'entendoient pas. Ils ont couru tous deux, &c.

Sc. III. v. 20. Très, Trop.

V. 35. &, il..

Après le vers 60. étoient ceux-ci qui ont été re

tranchés.

Ce font eux dont la main fufpend la barbarie
De deux camps animés d'une égale furie;
Et fi de tant de fang ils n'étoient point lasses,
A leur brûlante rage ils les auroient laiffés,
v. 70. Mais, hélas! combien cher, Mais combien

cherement.

Après le vers 78. étoient ceux-ci qui font retran chés,

En vain tous les mortels s'épuiferoient le flanc, Ils fe veulent baigner dedans leur propre fang; Tous deux voulant regner, il faut que l'un périsse, L'un a pour lui le Peuple, & l'autre la Justice. Sc. IV. v. 3. D'Argos, des Grees.

v. 9. L'héroïque, Le funeste.

7. 10. De tous les combattans, Des Thébains &
des Grecs.

7. 44. Laiffez couler, Faites fervir.

1bid. Mêler, Joindre.

v. dern. Et ne veut revenir, Et ne reviendra pass

Sc..V. Les v. 3. 4. & 5. étoient ainfi :

On ne dit pas pour quoi, mais il s'engage auffi
De vous attendre au camp, ou de venir ici.

CREON.

Sans doute qu'il eft las d'une guerre fi lente..
v. 15. S'offre, Offre..

v. 24. Voyez-le dans, Et voyez-le eR.

Sc. VI. v. 10. Créon même, Créon, de voir que ce grand cœur.

Sc. VI. Le vers 20. étoit fuivi de ceux-ci qui font re

tranchés,

Et j'abandonnerois, avec bien moins de peine. Le foin de mon falut que celui de ma haine ; Jaffurerois ma gloire en courant au trépas: Mais on la perd, Attale, en ne fe vengeant pas.. v. 31. Je Brûle de me voir, Tout mon fang me conduit.

v. 38. Le Trône, L'Empire..

v. 40. L'y mis, Attale, Le mis au Trône-
v. 44. Vont-ils fe vair? S'embrassent-ils ?
V. 71. Contre, Pout,

ACTE IV.

Sc, I. v. 5. Je connois Polinice & fon, Je fai que Pos linice eft d'une.

18. Que dis-je ? Nous l'étions avant notre nai

fance.

Et déja nous l'étions avecque violence.

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