Esther. Athalie. Plan du premier acte d'Iphigénie en Tauride. Poésies diversesLefèvre, 1822 |
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Abner Acad Aman amour ASSUÉRUS Athalie avoient avoit ayant Baal beau beautés cantiques chante charmes cher CHOEUR choses ciel cieux cœur connoissance crainte d'Assuérus d'Athalie d'Esther David déja desirs devant devoit Dieu dieux Diogène disoit dit-il divin Éliacin ÉLISE enfant ennemis esprit Esprit saint Esséniens Esth Esther éternel étoient étoit faisoit falloit femme fille fils foible fureur gloire grace grand-prêtre heureux homme HYDASPE Iphigénie ISMAEL Israël ISRAELITE j'ai jamais Jéhu Jésus-Christ jeune Jézabel JOAD Joas Joram JOSABETH jour Juifs lévites long-temps Louis Racine mains Mardochée martyr Mathan méchants ment mortels n'étoit NABAL Note de Racine paix par-tout parle paroît père peuple pleurs poëte Polycarpe pouvoit prêtres prince prophètes quæ regis reine répliqua-t-il rien rois rois de Juda sacrés saint SALOMITH sang scène Seigneur seule Sion soin songe sorte temple terre tragédie trône vérité vois voix Voltaire vouloit yeux ZACHARIE
Pasajes populares
Página 152 - J'ai vu ce même Enfant dont je suis menacée, Tel qu'un songe effrayant l'a peint à ma pensée. Je l'ai vu. Son même air, son même habit de lin, Sa démarche, ses yeux, et tous ses traits enfin.
Página 211 - Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur ; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois , Maîtresses du vil peuple , obéissent aux rois ; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Página 194 - De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé; Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes * ? Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes...
Página 141 - Vous qui ne connaissez qu'une crainte servile, Ingrats, un Dieu si bon ne peut-il vous charmer? Est-il donc à vos cœurs, est-il si difficile Et si pénible de l'aimer? L'esclave craint le tyran qui l'outrage ; Mais des enfants l'amour est le partage.
Página 180 - Ami , peux-tu penser que d'un zèle frivole Je me laisse aveugler pour une vaine idole, Pour un fragile bois , que malgré mon secours Les vers sur son autel consument tous les jours?
Página 150 - Ma fille." En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Página 163 - Que vous dit cette loi ? JOAS. Que Dieu veut être aimé ; Qu'il venge tôt ou tard son saint nom blasphémé ; Qu'il est le défenseur de l'orphelin timide ; Qu'il résiste au superbe, et punit l'homicide.
Página 192 - En tes serments jurés au plus saint de leurs rois, En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée.
Página 354 - Mon Dieu , quelle guerre cruelle ! Je trouve deux hommes en moi : L'un veut que , plein d'amour pour toi , Mon cœur te soit toujours fidèle; L'autre, à tes volontés rebelle, Me révolte contre ta loi.
Página 124 - Je crains Dieu, dites-vous, sa vérité me touche ! Voici comme ce Dieu vous répond par ma bouche : « Du zèle de ma loi que sert de vous parer ? « Par de stériles vœux pensez-vous m'honorer ? «Quel fruit me revient-il de tous vos sacrifices? « Ai-je besoin du sang des boucs et des génisses ? « Le sang de vos rois crie, et n'est point écouté. « Rompez, rompez tout pacte avec l'impiété ; « Du milieu de mon peuple exterminez les crimes : « Et vous viendrez alors m'immoler vos victimes.