J'allai le jour suivant flatter un financier. Mercredi, je courus à la pièce nouvelle : Tout le monde était pour, et moi je fus contre elle. La satire embellit les plus simples propos, Et l'admiration est le style des sots. Jeudi, j'eus de l'humeur,... Mercure de France - Página 3091813Vista completa - Acerca de este libro
| Desmahis - 1763 - 234 páginas
...Jeudi j'eus de l'humeur, je me boudai moi-même ; Le lendemain j'étois d'une folie extrême , Florife s'empara de moi pour tout le jour ; Hier à tout Paris j'ai fait voir une vefte D'un goût divin , l'habit le plus gai , le plus leftc , Où la Boutray,Paflau raviflenttour... | |
| 1813 - 640 páginas
...courus à la pif'ce nouvelle, Tout le monfle était pour, et moi je fus contre elle ; La satire embellit les plus simples propos Et l'admiration est le style..., Florise s'empara de moi pour tout le jour. Hier , è tout Paris , j'ai fait voir une vesle D'un goût divin , l'habit le plus gai. le plus lesta ,... | |
| 1813 - 742 páginas
...à la pir ce nouvelle. Tout le monde «'tait pour , et moi je fus contre elle ; La satire embellit- les plus simples propos Et l'admiration est le style des sots. Jeudi j'eus de l'humeur, je me bondaû moi-même; Le lendemain . je fus d'une folie extrême , Florise s'empara de moi pour tout le... | |
| Capelle (M., Pierre Adolphe) - 1819 - 492 páginas
...courus a la pièce nouvelle ; Tout le monde était pour, et moi je fus contre elle : La satire embellit les plus simples propos , Et l'admiration est le style des sots. , Jeudi , j'eus de l'humeur, je me boudai moi-même ; Le lendemain, je fus d'une folie extrême ; Florise s'empara de moi pour tout le... | |
| Pierre Marie Michel Lepeintre-Desroches - 1822 - 694 páginas
...me bondai moi-même ; . * Fumeux cuisiuier. Le lendemain, j'étais d'une folie extrême , rioii.sc s'empara de moi pour tout le jour ; Hier , à tout...fait voir une veste D'un goût divin , l'habit le plu» gai , le plus lcste, Oà la Boutray, Passau ravissent tour-à-tour, lit j'arrive aujourd'hui... | |
| 1822 - 360 páginas
...courus à la pièce nouvelle , Tout le monde était pour, et moi, je fus contre elle ; La satire embelht les plus simples propos , Et l'admiration est le style des sots : Jeudi , j'eus de l'humeur, je me boudai moi-même ; » J''ojieux cuismirr. Le lendemain, j'étais d'une folie extrême , Florise s'empara... | |
| Bernard-Joseph Saurin - 1825 - 502 páginas
...l'admiration est le style des sots. Jeudi j'eus de l'humeur, je me boudai moi-im" mi! ; Le lendemain j'étais d'une folie extrême , Florise s'empara de moi pour...fait voir une veste D'un goût divin , l'habit le plu» gai, le plus leste , Où la Boutrai, Passait , ravissent tour à tour; Et j'arrive aujourd'hui... | |
| 1824 - 472 páginas
...à la pièce nouvelle. Tout le monde était pour , et moi , je fus contre elle. La satire embellit les plus simples propos , Et l'admiration est le style des sots. Jeudi j'eus de l'humeur , je me boudai moi-même. Le lendemain je fus d'une folie extrême ; Florise s'empara de moi pour tout le jour.... | |
| Bernard-Joseph Saurin - 1825 - 498 páginas
...courus à la pièce nouvelle : Tout le monde était pour, et moi je fus contre elle ; La satire embellit les plus simples propos, Et l'admiration est le style des sots. Jeudi j'eus de l'humeur, je me boudai moi- mcnir ; Le lendemain j'étais d'une folie extrême , Florise s'empara de moi pour tout... | |
| Chapsal (M., Charles Pierre) - 1845 - 372 páginas
...courus à la pièce nouvelle : Tout le monde était pour, et moi je fus contre elle. La satire embellit les plus simples propos, Et l'admiration est le style des sots. Jeudi, j'eus de l'humeur, je me boudai moi-même. Le lendemain je fus d'une folie extrême, Florise s'empara de moi pour tout le jour.... | |
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