Les avantures de Télémaque, fils d'UlysseNourse & Vaillant, 1756 - 386 páginas |
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... peuples qui afpirent à être heureux . Ce poëme épique , quoiqu'en profe , met notre nation en état de n'avoir rien à envier de ce côté - là aux Grecs , & aux Romains . La fable qu'on y expofe ne Je termine point à amufer notre curiofité ...
... peuples qui afpirent à être heureux . Ce poëme épique , quoiqu'en profe , met notre nation en état de n'avoir rien à envier de ce côté - là aux Grecs , & aux Romains . La fable qu'on y expofe ne Je termine point à amufer notre curiofité ...
Página xxi
... peuple comme une grande famille . De cette belle & lumi- neufe idée naiffent ce que les politiques appellent les loix de ... peuples ; & que la véritable richeffe de l'état confifte à retrancher tous les faux befoins de la vie , pour fe ...
... peuple comme une grande famille . De cette belle & lumi- neufe idée naiffent ce que les politiques appellent les loix de ... peuples ; & que la véritable richeffe de l'état confifte à retrancher tous les faux befoins de la vie , pour fe ...
Página 8
... peuples , & faire voir en vous à toute la Gréce un roi auffi digne de régner , que le fut jamais Ulysse lui - même . Ces paroles étoient falutaires : mais je n'é- tois pas affez prudent pour les écouter ; je n'écoutai que ma paffion ...
... peuples , & faire voir en vous à toute la Gréce un roi auffi digne de régner , que le fut jamais Ulysse lui - même . Ces paroles étoient falutaires : mais je n'é- tois pas affez prudent pour les écouter ; je n'écoutai que ma paffion ...
Página 10
... peuple cruel , quand on fauroit que nous étions Grecs . On nous préfenta d'abord à Acefte , qui tenant fon fceptre d'or en main , jugeoit les peuples , & fe pré- paroit à un grand facrifice . Il nous demanda d'un ton févére quel étoit ...
... peuple cruel , quand on fauroit que nous étions Grecs . On nous préfenta d'abord à Acefte , qui tenant fon fceptre d'or en main , jugeoit les peuples , & fe pré- paroit à un grand facrifice . Il nous demanda d'un ton févére quel étoit ...
Página 11
... peuple applaudit à cet , te propofition , & on ne fongea plus qu'à nous immo- ler . Déja on nous menoit fur le ... peuples fous les armes , & ne perdez pas un moment pour retirer au dedans de vos murailles les riches troupeaux que ...
... peuple applaudit à cet , te propofition , & on ne fongea plus qu'à nous immo- ler . Déja on nous menoit fur le ... peuples fous les armes , & ne perdez pas un moment pour retirer au dedans de vos murailles les riches troupeaux que ...
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Términos y frases comunes
Adrafte affez ainfi Antiope auffi Auffitôt AVANTURES avoient avoit befoin c'eft c'eſt c'étoit Calypfo caufe cher chofes confeils conferver Créte Crétois cruelle Dauniens Déeffe deffein déja Dieux difcours difoit difoit-il efpérance enfans enfuite ennemis eſt étoient étoit fage fageffe faifoit fang fans ceffe favoir fecours fecret femblable femble fentir fervir fes yeux feul fiége de Troye fils d'Ulyffe fimple foin foit fon cœur fon fils fon pére fonge font fouffrir fous fouvent fuis fuivant fujets fur la terre gloire Grecs guerre Hazaël Hippias hommes Idoménée ifle Ithaque jamais jeuneffe joye juftes Jupiter l'avoit l'ifle laiffe loix long-tems malheurs Mentor mer Mediterranée Minerve Minos n'eft Narbal néceffaire Neftor Neptune nymphes paffer paffions paix paroles peuples Phalante Phéniciens Philoclès Philoctete plaifir plaifirs plufieurs Pluton poëte Polydamas pouvoit prefque Protéfilas puiffance puiffe raifon refte richeffes rois Salente Télémaque tems Timocrate toûjours Ulyffe vaiffeau vertu vifage voifins voyoit
Pasajes populares
Página 90 - Quelle main inconnue vous a enlevé à tous les dangers qui menaçaient votre tête dans la ville de Tyr? Après tant de merveilles, ignorez-vous encore ce que les destinées vous ont préparé? Mais que dis-je? vous en êtes indigne. Pour moi, je pars, et je saurai bien sortir de cette île.
Página 98 - Vous cherchiez des prétextes pour ignorer la plaie de votre cœur ; vous cherchiez à me tromper et à vous flatter vous-même ; vous ne craigniez rien. Voyez le fruit de votre témérité : vous demandez maintenant la mort, et c'est l'unique espérance qui vous reste. La déesse troublée ressemble à une Furie infernale ; Eucharis brûle d'un feu plus cruel que toutes les douleurs...
Página 258 - ... arrachant ses cheveux; et j'en serai cause ! O chère ombre ! appellemoi sur les rives du Styx ; la lumière m'est odieuse : c'est toi seul, mon cher Hippias, que je veux revoir. Hippias ! Hippias ! ô mon cher Hippias ! je ne vis encore que pour rendre à tes cendres le dernier devoir.
Página 78 - Crétois s'écrièrent, parlant à Mentor : Dites-nous, ô le plus sage et le plus grand de tous les mortels, dites-nous donc qui est-ce que nous pouvons choisir pour notre roi : nous ne vous laisserons point aller que vous ne nous ayez appris le choix que nous devons faire.
Página 214 - C'est dans la fleur qu'il faut préparer les fruits : que le roi ne dédaigne donc pas de veiller et de faire veiller sur l'éducation qu'on donne aux enfants; qu'il tienne ferme...
Página 105 - ... nous restera ; et nous vous devrons à jamais la joie de revoir ce que nous avons de plus cher au monde.
Página 178 - D'ailleurs la liberté du commerce était entière: bien loin de le gêner par des impôts, on promettait une récompense à tous les marchands qui pourraient attirer à Salente le commerce de quelque nouvelle nation.
Página 274 - ... le sang de leurs citoyens, enfin leur cruauté, qui cherche chaque jour de nouvelles délices parmi les larmes et le désespoir de tant de malheureux.
Página 282 - Ne compte donc jamais , mon fils, sur le présent; mais soutiens-toi dans le sentier rude et âpre de la vertu par la vue de l'avenir. Prépare-toi, par des mœurs pures et par l'amour de la justice, une place dans l'heureux séjour de la paix. Tu reverras enfin bientôt ton père reprendre l'autorité dans Ithaque. Tu es né pour régner après lui : mais, hélas! ô mon fils, que la royauté est trompeuse ! Quand on la regarde de loin , on ne voit que grandeur, éclat et délices; mais de près,...
Página 280 - Je ne sais quoi de divin coule sans cesse au travers de leurs cœurs comme un torrent de la Divinité même qui s'unit à eux; ils voient, ils goûtent qu'ils sont heureux, et sentent qu'ils le seront toujours.