Les avantures de Télémaque, fils d'UlysseNourse & Vaillant, 1756 - 386 páginas |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 67
Página i
... EDITION . Revue éxactement fur toutes les précédentes , corrigée avec foin , et Enrichie de Figures en taille - douce . A LONDRES , Chez NOURSE & VAILLANT . MDCCLVI . ds خداوت در Tappan Prest , Ansor . 1-17-1933 APPROBATION.
... EDITION . Revue éxactement fur toutes les précédentes , corrigée avec foin , et Enrichie de Figures en taille - douce . A LONDRES , Chez NOURSE & VAILLANT . MDCCLVI . ds خداوت در Tappan Prest , Ansor . 1-17-1933 APPROBATION.
Página xvi
... font non feulement dignes d'elle , mais infini- ment aimables pour l'homme . Tout infpire la con fiance & l'amour ; une piété douce , une adoration- noble noble & libre , dûe à la perfection abfolue de XVI DISCOURS SUR.
... font non feulement dignes d'elle , mais infini- ment aimables pour l'homme . Tout infpire la con fiance & l'amour ; une piété douce , une adoration- noble noble & libre , dûe à la perfection abfolue de XVI DISCOURS SUR.
Página xxv
... douce chaleur , qui n'incommode point . Tels font les dif- cours de Mentor fur la politique , & de Télémaque fur le fens des loix de Minos , & c . Ces idées pures rem- pliffent l'efprit de leur paifible lumiére . Là l'enthou- fafme & le ...
... douce chaleur , qui n'incommode point . Tels font les dif- cours de Mentor fur la politique , & de Télémaque fur le fens des loix de Minos , & c . Ces idées pures rem- pliffent l'efprit de leur paifible lumiére . Là l'enthou- fafme & le ...
Página 21
... douce force pour modérer toutes mes paffions , & pour arrêter l'impétuofité de ma jeuneffe . Je me fis aimer de tous les bergers du défert ; ma douceur , ma pa- tience , mon éxactitude appaiférent enfin le cruel Bu- tis , qui étoit on ...
... douce force pour modérer toutes mes paffions , & pour arrêter l'impétuofité de ma jeuneffe . Je me fis aimer de tous les bergers du défert ; ma douceur , ma pa- tience , mon éxactitude appaiférent enfin le cruel Bu- tis , qui étoit on ...
Página 22
... douce , fes paroles fimples & aimables . Jamais je n'ai vû un fi vénérable vieillard ; il s'appelloit Termofiris ; il étoit prêtre d'Apollon , qu'il fervoit dans un temple de marbre , que les rois d'Egypte avoient confacré au Dieu dans ...
... douce , fes paroles fimples & aimables . Jamais je n'ai vû un fi vénérable vieillard ; il s'appelloit Termofiris ; il étoit prêtre d'Apollon , qu'il fervoit dans un temple de marbre , que les rois d'Egypte avoient confacré au Dieu dans ...
Otras ediciones - Ver todo
Términos y frases comunes
Adrafte affez ainfi Antiope auffi Auffitôt AVANTURES avoient avoit befoin c'eft c'eſt c'étoit Calypfo caufe cher chofes confeils conferver Créte Crétois cruelle Dauniens Déeffe deffein déja Dieux difcours difoit difoit-il efpérance enfans enfuite ennemis eſt étoient étoit fage fageffe faifoit fang fans ceffe favoir fecours fecret femblable femble fentir fervir fes yeux feul fiége de Troye fils d'Ulyffe fimple foin foit fon cœur fon fils fon pére fonge font fouffrir fous fouvent fuis fuivant fujets fur la terre gloire Grecs guerre Hazaël Hippias hommes Idoménée ifle Ithaque jamais jeuneffe joye juftes Jupiter l'avoit l'ifle laiffe loix long-tems malheurs Mentor mer Mediterranée Minerve Minos n'eft Narbal néceffaire Neftor Neptune nymphes paffer paffions paix paroles peuples Phalante Phéniciens Philoclès Philoctete plaifir plaifirs plufieurs Pluton poëte Polydamas pouvoit prefque Protéfilas puiffance puiffe raifon refte richeffes rois Salente Télémaque tems Timocrate toûjours Ulyffe vaiffeau vertu vifage voifins voyoit
Pasajes populares
Página 90 - Quelle main inconnue vous a enlevé à tous les dangers qui menaçaient votre tête dans la ville de Tyr? Après tant de merveilles, ignorez-vous encore ce que les destinées vous ont préparé? Mais que dis-je? vous en êtes indigne. Pour moi, je pars, et je saurai bien sortir de cette île.
Página 98 - Vous cherchiez des prétextes pour ignorer la plaie de votre cœur ; vous cherchiez à me tromper et à vous flatter vous-même ; vous ne craigniez rien. Voyez le fruit de votre témérité : vous demandez maintenant la mort, et c'est l'unique espérance qui vous reste. La déesse troublée ressemble à une Furie infernale ; Eucharis brûle d'un feu plus cruel que toutes les douleurs...
Página 258 - ... arrachant ses cheveux; et j'en serai cause ! O chère ombre ! appellemoi sur les rives du Styx ; la lumière m'est odieuse : c'est toi seul, mon cher Hippias, que je veux revoir. Hippias ! Hippias ! ô mon cher Hippias ! je ne vis encore que pour rendre à tes cendres le dernier devoir.
Página 78 - Crétois s'écrièrent, parlant à Mentor : Dites-nous, ô le plus sage et le plus grand de tous les mortels, dites-nous donc qui est-ce que nous pouvons choisir pour notre roi : nous ne vous laisserons point aller que vous ne nous ayez appris le choix que nous devons faire.
Página 214 - C'est dans la fleur qu'il faut préparer les fruits : que le roi ne dédaigne donc pas de veiller et de faire veiller sur l'éducation qu'on donne aux enfants; qu'il tienne ferme...
Página 105 - ... nous restera ; et nous vous devrons à jamais la joie de revoir ce que nous avons de plus cher au monde.
Página 178 - D'ailleurs la liberté du commerce était entière: bien loin de le gêner par des impôts, on promettait une récompense à tous les marchands qui pourraient attirer à Salente le commerce de quelque nouvelle nation.
Página 274 - ... le sang de leurs citoyens, enfin leur cruauté, qui cherche chaque jour de nouvelles délices parmi les larmes et le désespoir de tant de malheureux.
Página 282 - Ne compte donc jamais , mon fils, sur le présent; mais soutiens-toi dans le sentier rude et âpre de la vertu par la vue de l'avenir. Prépare-toi, par des mœurs pures et par l'amour de la justice, une place dans l'heureux séjour de la paix. Tu reverras enfin bientôt ton père reprendre l'autorité dans Ithaque. Tu es né pour régner après lui : mais, hélas! ô mon fils, que la royauté est trompeuse ! Quand on la regarde de loin , on ne voit que grandeur, éclat et délices; mais de près,...
Página 280 - Je ne sais quoi de divin coule sans cesse au travers de leurs cœurs comme un torrent de la Divinité même qui s'unit à eux; ils voient, ils goûtent qu'ils sont heureux, et sentent qu'ils le seront toujours.