| Joseph Fr. Michaud - 1829 - 484 pages
...« Les nôtres » parcouraient les rues , les places , les toîts des maisons , se » rassasiant de carnage comme une lionne à qui on a enlevé » ses...taillaient en pièces et mettaient à mort les » enfans, les jeunes gens, et les vieillards courbés sous le » poids des années ; ils n'épargnaient personne... | |
| Joseph Fr. Michaud - 1829 - 500 pages
...« Les nôtres » parcouraient les rues , les places , les toîts des maisons , se » rassasiant de carnage comme une lionne à qui on a enlevé » ses...ils taillaient en pièces et mettaient à mort les » cnfaus, les jeunes gens, et les vieillards courbés sous le » poids des années; ils n'épargnaient... | |
| 1848 - 1410 pages
...le. Moine : « Les nôtres parcouraient les rues, les places, les toits des maisons, se rassasiant de carnage comme une. lionne à qui on a enlevé ses...ils taillaient en pièces et mettaient à mort les enfants, les jeunes gens, et les vieillards courbes sous le poids des années ; ils n'épargnaient... | |
| Louis Désiré Véron - 1840 - 704 pages
...places publiques, les toits des maisons, se rassasiant de carnage comme une lionne à qui on aurait pris ses petits; ils taillaient en pièces et mettaient à mort les enfans, les jeunes gens, les vieillards courbés sous le poids des années; ils n'épargnaient personne, et,... | |
| Ault-Dumesnil (M. d', Edouard) - 1852 - 626 pages
...le Moim . parcouraient les rues, les places, les toits des maisons, se rassasiant de carnage connue une lionne à qui on a enlevé ses petits; ils taillaient en pièces et mettaient à mort les enfants, les jeunes gens et les vieillards courbés souslepoidsdes annèes;ils n'épargnaient personne,... | |
| Ault-Dumesnil (M. d', Edouard) - 1852 - 632 pages
...Moino, parcouraient les rues, les places, les toits dos maisons, se rassasiant de carnage comme uno lionne à qui on a enlevé ses petits; ils taillaient en pièces et mettaient à mort les enfants, les jeunes gens et les vieillards courbés sous le poids des années; ils n'épargnaient personne,... | |
| Michel Vion - 1853 - 548 pages
...nôtres, dit Robert-le-moine, parcouraient les rues, les places, les toits des maisons, se rassasiant de carnage, comme une lionne à qui on a enlevé ses...ils taillaient en pièces et mettaient à mort les enfants, les jeunes gens, et les vieillards courbés sous le poids des années ; ils n'épargnaient... | |
| |