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ADDITIONS ET CORRECTIONS

P. 3, n. 1, l. 7.

Au lieu de « Revista de Archivos, X (1904) », lire
Aux documents apocry-

« Revista de Archivos, 3a época, X (1904) ».
phes cités, joindre la prétendue lettre du roi Silo à Cixila, archevêque
de Tolède; cf. M. Godoy Alcántara, Historia crítica de los falsos cro-
nicones (Madrid, 1868, in-8o), pp. 38-42 et G. Cirot, Mariana histo-
rien, pp. 62-63.

P. 24, l. 16.
P. 28, n. 3, ).

P. 46, 1. 5.

--

2.

-

Au lieu de « Quintialubel », lire « Quinitia Lubel ». Après « 1786 », ajouter « pp. 415-432 ». Pour caractériser la Chronique léonaise, M. Santos Coco, Crónica Silense, p. xxxvi, emploie, lui aussi, le mot « centon ». P. 92, n. 1, 1. 4. Au lieu de « étant du 6 mai 899 », lire « étant, sous réserves, du 6 mai 899 ».

P. 99, n. 2, l. 5. - Après « Liber Chronicorum », ajouter « (cf. G. Cirot, dans Bulletin Hispanique, XVIII, p. 145, n. 2)».

P. 102, n. 4 et n. 5, dernière ligne; p. 105, n. 3, l. 3 ; p. 106, note, Au lieu de « Études », lire « Étude ».

1. 2.

--

P. 105, n. 3. Au sujet des rapports entre Oviedo et Compostelle, peut-être eût-il été bon de rappeler, du moins à titre d'indication, que l'église de Compostelle fut érigée en métropole par Calixte II, le 27 février 1120 (Jaffé-Wattenbach, Reg. pont. rom., no 6823). P. 109, note, l. 7 et n. 2, 1. 3. - Noweyri : cf. éd. Gaspar Remiro, II, trad. p. 31.

P. 110, n. 1, l. 7.

Noweyri: cf. éd. Gaspar Remiro, II, trad. p. 31. P. III, n. I. C'est à dessein que nous avons négligé : 1o le ch. 71 du Pseudo-Isidore de Beja (Mommsen, Chron. minora, II, p. 353), que le P. Tailhan, Anonyme de Cordoue, p. 25, n. 5 (cf. p. 41, n. 3) et pp. 189-190, s'est efforcé d'interpréter; 2o un passage du Codex de Meyá (texte dans M. Oliver y Hurtado, Discursos, p. 43), lequel montre, en termes très généraux, les Chrétiens capitulant après sept années de combat; 3o un texte arabe du XIe siècle (Dozy, Recherches, 23

REVUE HISPANIQUE.

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3e éd., I, pp. 73 et suiv.), lequel mentionne également des capitulations et arrangements entre Chrétiens et Infidèles.

P. 111, n. 3, l. 2. - Noweyri: cf. éd. Gaspar Remiro, II, trad. p. 29. P. 111, n. 4, dernière ligne. Après Ibn el Athir... », ajouter cf. Noweyri, trad. de Slane, loc. cit., p. 351 et éd. Gaspar Remiro, II, trad. p. 30.

P. 114, l. 2. M. Saavedra, Pelayo, p. 15, texte et n. 1, veut que Munuza ait été un simple collecteur d'impôts; c'est une pure hypothèse que n'autorisent ni le témoignage de Lucas de Tuy, p. 72, lequel se borne à qualifier Munuza de praefectus, ni, à plus forte raison, le témoignage du Chr. Albeldense, ch. 50, bien que ces deux textes soient invoqués par M. Saavedra à l'appui de son opinion.

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Pp. 148-149. M. Gómez-Moreno, Iglesias mozárabes, p. 71, écrit incidemment : « una vez que el señorío godo en Asturias pudo «< consolidarse, gracias a pactos con los musulmanes probablemente ». P. 155, n. 1, dernière ligne. Pour le passage de Noweyri qui a pu influencer Dozy, se reporter, non pas à la traduction de M. Gaspar Remiro, loc. cit. (Alphonse II se serait posté en un rio), mais à celle de Gayangos, Mohammedan dynasties, II, p. 426 (où on lit: in a deep valley). P. 160, n. 1, avant-dernière ligne. Au lieu de « se retrouve,

lire « est correctement imprimé ».

Pp. 170-171. Comparer Gómez-Moreno, op. cit., pp. x-xшII. P. 185, n. 5. La correction indiquée avait déjà été proposée par M. Fagnan, dans sa traduction d'Ibn el-Athîr, Annales, p. 45, n.1. P. 191, n. 3, l. 14-16. S'appuyant sur le passage de Sampiro, lequel nous paraît sans valeur, comparé au témoignage du Chron. Albeldense, M. Gómez-Moreno, op. cit., p. 98, estime que Coïmbre, sorte de république indépendante, « amenazada por enemigos, obtuvo el auxilio de « Alfonso el Magno ».

Pp. 195-196. Au sujet de la première campagne d'El-Mondhir, ou de celle de 878, nous avons négligé volontairement le témoignage du Moine de Silos, ch. 40. Cf. ci-dessus, p. 43.

P. 196, n. 2, avant-dernière ligne. L'emplacement de Lancia correspond à Villasabariego, part. jud. de Leon (Gómez-Moreno, op. cit., p. 143, n. 1).

P. 202, l. 11. C'est le « castrum Beccaria » du Chron. Albeldense, ch. 72, que nous identifions avec Viguera (part. jud. de Logroño). P. 204, n. 2, 1. 2. La Chronique léonaise, liv. II, ch. 58, porte: non sua voluntate, au lieu de sua voluntate.

P. 207, l. 1. Parmi les localités peuplées à la fin du Ixe siècle, nous aurions dû citer Cardeña (899) ; cf. Annales Compostellani (Esp. Sagr., XXIII, 2e éd., p. 319): « Era DCCCCXXXVII Fuit Cardeña populata. » Voir aussi Cron. I de Cardeña (ibid., p. 371).

P. 210, n. 4, l. 9-10. · — « Grañon en Alava » ne peut être que Grañon, part. jud. de Santo Domingo de la Calzada, prov. de Logroño.

P. 219, n. 2, 1. 4.

Après « Cornellana », ajouter « ayunt. de Salas,

part. jud. de Belmonte, prov. d'Oviedo ». P. 222, 1. II et suiv. · M. Gómez-Moreno, op. cit., p. 71, déclare que les premiers rois des Asturies «< se contentèrent du titre de prince » ; cette opinion ne repose que sur l'inscription de San Juan de Santianes (cf. p. 261, n. 3) : « Silo princeps fecit.» M. Gómez-Moreno, op. cit., p. 135, note, signale, d'autre part, que le titre d'empereur fut appliqué à Alphonse III (cf. une charte de 950). Mais, afin d'éviter toute confusion, il importe de remarquer que le roi lui-même n'a jamais pris ce titre.

P. 223, n. 1, 1. 2. Rappelons que le P. Tailhan, Bibliothèques, p. 271, n. 5, proposait de lire : « quam in palatio Oveto constituit »>, au lieu de « quam palatio in Oveto cuncta statuit. »

P. 227, n. 2, dernière ligne. —— Après « escr. xv », ajouter « fol. 437 v438 r».

P. 231, n. 4.

On possède l'original du diplôme d'Ordoño II, 12 avril 920; cf. García Villada, Catalogo de los códices y documentos de León, p. 120, no 810. Il n'y a donc pas à faire usage d'un acte, plus ou moins suspect, d'Alphonse IV (929), et dont parle, d'ailleurs pour le combattre, M. Gómez-Moreno, op. cit., p. 137, n. I.

P. 236, n. 3.

Ribera ».

Au lieu de « Grajal de la Ribera », lire « Grajal de

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P. 238, n. 1, l. 6. M. Gómez-Moreno, op. cit., p. 77, se demande si l'emplacement de Boides ne correspondrait pas à celui de l'église (ou du monastère) de San Salvador de Val de Dios, près de Villaviciosa. M. Somoza, Gijón, II, pp. 577-578, s'était posé la même question.

P. 243, n. 3, avant-dernière ligne. - Sur Hermenegildo Perez, cf. p. 173, n. 3.

'P. 244, n. 1, l. 5. P. 246, n. 1, 1. 2.

Sur le comte Hermenegildo, cf. p. 191, n. 3. Après « Ibn el-Athîr..., » ajouter « cf. Noweyri, éd. Gaspar Remiro, I, trad. pp. 39-40 ».

P. 251, n. 2. Aux documents cités, ajouter ceux que nous avons indiqués, sous réserves, p. 255, n. 2.

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P. 253, l. 3. —D'après M. Gómez-Moreno, op. cit., p. 134, Alphonse III aurait même promulgué « un edicto de repoblación, hacia el año 876 ». Sans insister sur la date, remarquons que le document produit, ibid., n. 7, est loin d'être probant ; dans une charte de 912, on lit : « Iulianus (presbiter) exivi ad terras populandas per heditum regis donni « Adefonsi principis et comitum Savaricum. » Il serait, apparemment, bien téméraire de donner au mot heditum un sens par trop précis. P. 256, texte et n. 2. San Salvador de Val de Dios fut-il, à l'origine, un monastère ou une église ? « La afirmación de que fué monasterio es gratuita », dit M. Gómez-Moreno, op. cit., p. 77. Cet établissement fut-il édifié par Alphonse III, comme on a coutume de le dire,

ou remonte-t-il beaucoup plus haut ? Voir, avec précaution, l'article de M. José F. Menéndez, Apuntes y datos que permiten asegurar no fué Alfonso III el Magno el fundador de la basilica del Salvador de Valde-Dios en Asturias, y de cómo la fecha de erección del citado templo es anterior al siglo IX, dans Revista de Archivos, 3a época, XLI (1920), PP. 539-549.

P. 258, n. I. Les monastères énumérés auraient dû être cités dans l'ordre suivant : San Martin de Ferran, San Martin de Flabio, San Roman de Dondisla, San Félix de Oca, Orbañanos y Obarenes, San Vicente de Acosta, San Esteban de Salcedo.

P. 259, l. 6.

Il n'est pas sûr que San Miguel de Escalada soit une filiation de Sahagun, comme nous l'avons admis; cf. Gómez-Moreno, op. cit., p. 143.

P. 259, dernière ligne.

Pour le monastère de San Cosme y San Damian, M. Gómez-Moreno, op. cit., p. 107, n. 5, rejette l'hypothèse d'une origine mozarabe.

P. 259, n. I. Moreno, op. cit.,

P. 260, n. 5.

-

Sur les fondations de saint Froilan, cf. Gómezpp. 210 et 211.

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Sur les caractères de l'architecture asturienne, voir le très suggestif aperçu de M. Gómez-Moreno, op. cit., pp. 72-75. Comparer Gómez-Moreno, op. cit., p. 77: « El centro

P. 267, l. 6.

-

« del reino declinaba más y más hacia sur. »

P. 270, n. I.

Sur les premiers pèlerinages à Compostelle, consulter, faute de mieux, J. Villaamil y Castro, La peregrinación á Santiago de Galicia, dans Revista crítica de historia y literatura españolas, portuguesas é hispano-americanas, II (1897), pp. 106 et suiv.

P. 279, n. 2. — M. Ch. U. Clark, Collectanea hispanica (Paris, 1920, in-8°), p. 31, no 513, estime, lui aussi, qu'il faut lire « era DCCCL », au lieu de « era DCCCCL ».

P. 285, n. 2, 1. 3. Au lieu de « Compendio, III », lire « Compendio cronológico de la historia de España, III (Madrid, 1796, pet. in-8°) ». P. 292, 1. 9. Nous avons dit ci-dessus, p. 44, n. 2, que nous ne « connaissons avec certitude que cinq fils » d'Alphonse III: en effet, l'existence de Bermude n'est attestée que par une souscription unique, apposée au bas d'un diplôme du 25 juillet 893 (Cat., no 48). Cf. Fernández de Béthencourt, Historia genealógica... de la monarquía española, I, p. 217, où ce diplôme est daté, par erreur, de 890.

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P. 295, n. 1, l. 6. Cf., pour mémoire, Noweyri, trad. de Slane, loc. cit., p. 350 et éd. Gaspar Remiro, I, trad. p. 29.

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Pp. 297, n. 2 et 308, n. 2. Cf., pour mémoire, Noweyri, trad. de Slane, loc. cit., p. 351 et éd. Gaspar Remiro, I, trad. p. 31.

P. 306, n. 3. Madoz, Diccionario geográfico-estadístico-histórico de España, porte: « Segoyuela de los Cornejos », tandis que le Diccionario geográfico postal de España (Madrid, 1880, in-4o), porte : « Segoviela de los Conejos. » Nous ignorons quelle est la forme correcte,

P. 347, n. I.

M. Gómez-Moreno, op. cit., p. 263, pense presque comme le P. Serrano, en ce qui concerne l'indépendance des comtes de Castille.

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P. 348, n. I. Au lieu de « p. 255, n. 2 », lire « p. 83, n. 1, p. 255, « note et ibid., n. 2 ».

P. 351, 1. 1. — Supprimer le point d'interrogation après « 853 ».

L. BARRAU-DIHIGO.

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