Petite bibliothèque des théatres, contenant un recueil des meilleures pieces du théatre françois, tragique, comique, lyrique & bouffon, depuis Porigine des spectacles en France, jusqu'à nos jours, Volumen 28Au Bureau de la Petite bibliotheque des théatres, 1786 |
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... yeux , depuis six mois , étoient ouverts aux larmes , Et le sommeil les ferme en de telles alarmes ! Puisse plutôt la mort les fermer pour jamais , Et m'empêcher de voir le plus noir des forfaits ! Mais en sont - ils aux mains ? OLYMPE ...
... yeux , depuis six mois , étoient ouverts aux larmes , Et le sommeil les ferme en de telles alarmes ! Puisse plutôt la mort les fermer pour jamais , Et m'empêcher de voir le plus noir des forfaits ! Mais en sont - ils aux mains ? OLYMPE ...
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... yeux ne s'est point présenté . D'Argiens seulement une troupe hardic M'a voulu de nos murs disputer la sortie . J'ai fait mordre la poudre à ces audacieux , Et leur sang est celui qui paroît à vos yeux . JOCASTE . Mais que prétendiez ...
... yeux ne s'est point présenté . D'Argiens seulement une troupe hardic M'a voulu de nos murs disputer la sortie . J'ai fait mordre la poudre à ces audacieux , Et leur sang est celui qui paroît à vos yeux . JOCASTE . Mais que prétendiez ...
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CRÉON . Je sais ce qui le rend innocent à vos yeux . ANTIGONE . Et je sais quel sujet vous le rend odieux . CRÉON . L'amour a d'autres yeux que lc commun des hommes . JOCA TE > Vous abusez , Créon , de l'état où nous sommes : Tout vous ...
CRÉON . Je sais ce qui le rend innocent à vos yeux . ANTIGONE . Et je sais quel sujet vous le rend odieux . CRÉON . L'amour a d'autres yeux que lc commun des hommes . JOCA TE > Vous abusez , Créon , de l'état où nous sommes : Tout vous ...
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... yeux , De l'état de son sort interroge ses Dicux . Puis - je leur demander , sans être téméraire , S'ils ont toujours pour moi leur douceur ordinaire ? Souffrent - ils sans courroux mon ardente amitié ? Et du mal qu'ils ont fait ont ...
... yeux , De l'état de son sort interroge ses Dicux . Puis - je leur demander , sans être téméraire , S'ils ont toujours pour moi leur douceur ordinaire ? Souffrent - ils sans courroux mon ardente amitié ? Et du mal qu'ils ont fait ont ...
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... yeux . Sur - tout depuis deux ans ce noble soin m'inspire ; Je ne fais point de pas qui ne tende à l'Empire . Des Princes mes neveux j'entretiens la fureur , Et mon ambition autorisc la leur . D'Étéocle d'abord j'appuyai l'injustice ...
... yeux . Sur - tout depuis deux ans ce noble soin m'inspire ; Je ne fais point de pas qui ne tende à l'Empire . Des Princes mes neveux j'entretiens la fureur , Et mon ambition autorisc la leur . D'Étéocle d'abord j'appuyai l'injustice ...
Términos y frases comunes
acte aime Alexandre Allez amour Andromaque ANTIGONE arrêter assez avoit AXIANE beau bientôt Boileau bras cæur charmes cher chercher Ciel combat coups cour courage couronne courroux craint CRÉON crime cruel d'Alexandre déja demander Dieux dire donner douleur doute enfin ennemis étoit fers fils force frere fureur garde gloire Grecs guerre haine Hélas Hémon HERMIONE Héros homme j'ai JOCASTE jour l'amour l'autre l'un laisse livres loin Louis m'en Madame main maître malheureux mille mort mourir n'en OLYMPE ORESTE paix parler passé perd pere peuple peut-être Piece pieds place pleurs Polynice porte Porus premier premiere Prince Princesse PYLADE Pyrrhus qu'à qu'un Racine rang regards régner rend rendre reste rien Rois s'il sais sang sauver SCENE Seigneur sera seul soins songe sort soupirs sujet Taxile tems Théatre tomber Tragédie trépas trône trouve vainqueur venger venir veut veux victoire vient Voilà voyant yeux
Pasajes populares
Página 36 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix, et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux . Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Página 61 - Seigneur, dans cet aveu dépouillé d'artifice, J'aime à voir que du moins vous vous rendiez justice, Et que, voulant bien rompre un nœud si solennel. Vous vous abandonniez au crime en criminel. Est-il juste, après tout, qu'un conquérant s'abaisse...
Página 47 - Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle; Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage...
Página 14 - Peut-on haïr sans cesse? et punit-on toujours? J'ai fait des malheureux, sans doute ; et la Phrygie Cent fois de votre sang a vu ma main rougie ; Mais que vos yeux sur moi se sont bien exercés ! Qu'ils m'ont vendu bien cher les pleurs qu'ils ont versés ! De combien de remords m'ont-ils rendu la proie ! Je souffre tous les maux que j'ai faits devant Troie : Vaincu, chargé de fers, de regrets consumé, Brûlé de plus de feux que je n'en allumai.
Página 30 - C'est Hector, disait-elle en l'embrassant toujours; « Voilà ses yeux, sa bouche, et déjà son audace; « C'est lui-même : c'est toi , cher époux , que j'embrasse.
Página 66 - Où suis-je? qu'ai-je fait? que dois-je faire encore? Quel transport me saisit? quel chagrin me dévore? Errante et sans dessein , je cours dans ce palais. Ah! ne puis-je savoir si j'aime ou si je hais?
Página xiii - Andromaque, et qu'il voulût épouser une captive à quelque prix que ce fût; et j'avoue qu'il n'est pas assez résigné à la volonté de sa maîtresse, et que Céladon a mieux connu que lui le parfait amour. Mais que faire? Pyrrhus n'avait pas lu nos romans ; il était violent de son naturel ; et tous les héros ne sont pas faits pour être des Céladons.
Página 12 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur , pleurer un moment avec lui : Je ne l'ai point encore embrassé d'aujourd'hui ! PYRRHUS.
Página 63 - Je ne t'ai point aimé, cruel! Qu'ai-je donc fait? J'ai dédaigné pour toi les vœux de tous nos princes ; Je t'ai cherché moi-même au fond de tes provinces; J'y suis encor, malgré tes infidélités, Et malgré tous mes Grecs, honteux de mes bontés...
Página 40 - N'est-ce point à vos yeux un spectacle assez doux Que la veuve d'Hector pleurant à vos genoux ? Je ne viens point ici , par de jalouses larmes, Vous envier un cœur qui se rend à vos charmes.