El renacimiento: periódico literario, Volumen 1

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F. Díaz de León y Santiago White, 1869
 

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Página 144 - Gardez de cette nuit, gardez, belle nature, Au moins le souvenir! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux ! Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés...
Página 142 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés...
Página 143 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur? Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus ? Éternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous des jours que vous engloutissez?
Página 142 - Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes, Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés, Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes Sur ses pieds adorés.
Página 143 - Assez de malheureux ici-bas vous implorent: Coulez, coulez pour eux; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ; Oubliez les heureux.
Página 353 - ... el bosque colosal, y plácido murmuras al pie de las palmeras que esbeltas se retratan en tu onda de cristal. En este Edén divino, que esconde aquí la costa, el sol ya no penetra con rayo abrasador; su luz, cayendo tibia, los árboles no agosta, y en tu enramada espesa se tiñe de verdor.
Página 238 - Señor Malinche, ya yo he hecho lo que estaba obligado en defensa de mi ciudad y vasallos, y no puedo más; y pues vengo por fuerza y preso ante tu persona y poder, toma luego ese puñal que traes en la cinta y mátame luego con él".
Página 353 - Y en tu enramada espesa se tiñe de verdor. Aquí sólo se escuchan murmullos mil suaves, El blando son que forman tus linfas al correr, La planta cuando crece, y el canto de las aves, Y el aura que suspira, las ramas al mecer.
Página 353 - Tú corre blandamente bajo la fresca sombra que el mangle con sus ramas espesas te formó: y duerman tus remansos en la mullida alfombra que alegre primavera de flores matizó.
Página 354 - ... oscurecer, del ave te saludan los últimos cantares que lleva de los vientos el vuelo postrimer. La noche viene tibia; se cuelga ya brillando la blanca luna en medio de un cielo de zafir, y todo allá en los bosques se encoge y va callando, y todo en tus- riberas empieza ya a dormir.

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