Histoire de la littérature allemande, Volumen 2A. Franck, 1870 - 320 páginas |
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Pasajes populares
Página 71 - L'homme reconnaît son séjour et le trouve embelli. La verdure a pris durant la nuit une vigueur nouvelle; le jour naissant qui l'éclaire, les premiers rayons qui la dorent, la montrent couverte d'un brillant réseau de rosée, qui réfléchit à l'œil la lumière et les couleurs. Les oiseaux en chœur se réunissent et saluent de concert le père de la vie...
Página 321 - J'ai parcouru les mondes, je me suis élevé audessus des soleils, et là aussi il n'est point de Dieu ; je suis descendu jusqu'aux dernières limites de l'univers, j'ai regardé dans l'abîme et je me suis écrié : — Père, où es-tu...
Página 321 - Au bout de la voûte de l'église était le cadran de l'éternité ; » on n'y voyait ni chiffres ni aiguilles , mais une main noire en » faisait le tour avec lenteur , et les morts s'efforçaient d'y lire le » temps. » Alors descendit des hauts lieux sur l'autel une figure rayon...
Página 71 - L'incendie augmente, l'orient parait tout en flammes : à leur éclat on attend l'astre longtemps avant qu'il se montre ; à chaque instant on croit le voir paraître ; on le voit enfin. Un point brillant part comme un éclair et remplit aussitôt tout l'espace ; le voile des ténèbres s'efface et tombe. L'homme...
Página 199 - Noch einmal sattelt mir den Hippogryphen, ihr Musen, Zum Ritt ins alte romantische Land! Wie lieblich um meinen entfesselten Busen Der holde Wahnsinn spielt! Wer schlang das magische Band Um meine Stirne? Wer treibt von meinen Augen den Nebel, Der auf der Vorwelt Wundern liegt? Ich seh, in buntem Gewühl, bald siegend, bald besiegt, Des Ritters gutes Schwert, der Heiden blinkende Säbel.
Página 87 - ... qu'il a fait pour la conquérir; « car ce n'est point par la possession, mais par la recherche de la « vérité que l'homme grandit ses forces et qu'il se perfectionne.
Página 38 - L'homme superbe est renversé. Ses propres flèches l'ont percé. UNE AUTRE. J'ai vu l'impie adoré sur la terre. Pareil au cèdre, il cachait dans les deux Son front audacieux. II semblait à son gré gouverner le tonnerre, Foulait aux pieds ses ennemis vaincus.
Página 322 - ... sur l'autel, et dirent: - Jésus, n'avons-nous pas de père? - et il répondit, avec un torrent de larmes: - Nous sommes tous orphelins, moi et vous nous n'avons point de père. - A ces mots, le temple et les enfants s'abîmèrent, et tout l'édifice du monde 20 s'écroula devant moi dans son immensité.
Página 529 - Mon enfant, qu'as-tu à cacher ton visage avec tant d'inquiétude? — Papa, ne vois-tu pas le roi des Aulnes?... le roi des Aulnes, avec sa couronne et sa queue? — Rien, mon fils, qu'une ligne de brouillard. » - ( — « Viens, charmant enfant, viens avec moi... A quels beaux jeux nous jouerons ensemble ; il ya de bien jolies fleurs sur les bords du ruisseau, et, chez ma mère, des habits tout brodés...
Página 435 - Oiseau qui, sur les rochers de la mer, chantes ta. destinée lamentable; alcyon dont les doux accents, compris des sages mortels, pleurent sans cesse un époux chéri , je mêle mes gémissements aux tiens ; oiseau plaintif comme toi, mais...