CosetteW.R. Jenkins, 1890 |
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... ment amoureux , vocalisait éperdument dans un grand .arbre . Le passant se courba et considéra dans la pierre à gauche , au bas du pied - droit de la porte , une assez large excavation circulaire ressemblant à l'alvéole d'une sphère ...
... ment amoureux , vocalisait éperdument dans un grand .arbre . Le passant se courba et considéra dans la pierre à gauche , au bas du pied - droit de la porte , une assez large excavation circulaire ressemblant à l'alvéole d'une sphère ...
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... ment de ténèbres . Tout autour du puits , le bas des murs disparaît dans les orties . Ce puits n'a point pour devanture la large dalle bleue qui sert de tablier à tous les puits de la Belgique . La dalle bleue y est remplacée par une ...
... ment de ténèbres . Tout autour du puits , le bas des murs disparaît dans les orties . Ce puits n'a point pour devanture la large dalle bleue qui sert de tablier à tous les puits de la Belgique . La dalle bleue y est remplacée par une ...
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... ment de Brunswick détruits , Duplat tué , Blackmann tué , les gardes anglaises mutilées , vingt bataillons français , sur les quarante du corps de Reille , décimés , trois mille hommes , dans cette seule masure de Hougomont , sabrés ...
... ment de Brunswick détruits , Duplat tué , Blackmann tué , les gardes anglaises mutilées , vingt bataillons français , sur les quarante du corps de Reille , décimés , trois mille hommes , dans cette seule masure de Hougomont , sabrés ...
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... ment à trois heures . La géométrie trompe ; l'ouragan seul est vrai . C'est ce qui donne à Folard le droit de contredire Polybe . Ajoutons qu'il y a toujours un certain instant où la bataille dégénère en combat , se particularise , et s ...
... ment à trois heures . La géométrie trompe ; l'ouragan seul est vrai . C'est ce qui donne à Folard le droit de contredire Polybe . Ajoutons qu'il y a toujours un certain instant où la bataille dégénère en combat , se particularise , et s ...
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... ment tournait mal . Wellington criait à ses anciens compagnons de Talavera , de Vittoria et de Salamanque : Boys ( garçons ) ! est - ce qu'on peut songer à lâcher pied ? Pensez à la vieille Angleterre ! Vers quatre heures , la ligne ...
... ment tournait mal . Wellington criait à ses anciens compagnons de Talavera , de Vittoria et de Salamanque : Boys ( garçons ) ! est - ce qu'on peut songer à lâcher pied ? Pensez à la vieille Angleterre ! Vers quatre heures , la ligne ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
allait anglaise Aumarais avaient Azelma bataille bataille de Waterloo bière biscaïen Blücher bois bonhomme Boulatruelle Braine-l'Alleud bruit C'était çà carrés cents chevaux chose cloître clouer coin corbillard Cosette côté coup couvent cria cuirassiers derrière devant Dieu dire enfant Éponine est-ce eût faisait Fauchelevent femme fenêtre filles forçat fossoyeur gauche Genappe grille Haie-Sainte heures homme Hougomont jardin Javert Jean Valjean jour l'autre l'enfant l'homme l'ombre laissa Louis XVIII madame main maison ment mères vocales monsieur Mont-Saint-Jean Montfer Montfermeil mort n'avait n'était Napoléon nardier noir nuit passer père Fauchelevent Père Fauvent père Madeleine père Mestienne Petit-Picpus petite rue Picpus pieds Plancenoit plateau poche pont d'Austerlitz porte poupée prieure prit Qu'est-ce quatre redingote regarda religieuses répondit reprit reste révérende mère rien rouliers rue Droit-Mur rue Polonceau s'était sabre saint seau semblait sentait seul sœur soir sorte terre tête Thénardier tombé venait vieille vieux voix voyageur Waterloo Wellington yeux
Fréquemment cités
Page 132 - I/ inconcevable s'ébauche à quelques pas de vous avec une netteté spectrale. On voit flotter, dans l'espace ou dans son propre cerveau, on ne sait quoi de vague et d'insaisissable comme les rêves des fleurs endormies. Il ya des attitudes farouches sur l'horizon. On aspire les effluves du grand vide noir. On a peur et envie de regarder derrière soi.
Page 218 - Tant qu'on va et vient dans le pays natal, on s'imagine que ces rues vous sont indifférentes, que ces fenêtres, ces toits et ces portes ne vous sont de rien, que ces murs vous sont étrangers, que ces arbres sont les premiers arbres venus, que ces maisons où l'on n'entre pas vous sont inutiles, que ces pavés où l'on marche sont des pierres. Plus tard, quand on n'y est plus, on s'aperçoit que ces rues...
Page 218 - ... peut-être, et dont on a gardé l'image, prennent un charme douloureux, vous reviennent avec la mélancolie d'une apparition, vous font la terre sainte visible, et sont, pour ainsi dire, la forme même de la France; et on les aime et on les évoque tels qu'ils sont, tels qu'ils étaient, et l'on s'y obstine, et l'on n'y veut rien changer, car on tient à la figure de la patrie comme au visage de sa mère.
Page 58 - C'est la journée du destin. La force au-dessus de l'homme a donné ce jour-là. De là, le pli épouvanté des têtes ; de là, toutes ces grandes âmes rendant leur épée. Ceux qui avaient vaincu l'Europe sont tombés terrassés, n'ayant plus rien à dire ni à faire, sentant dans l'ombre une présence terrible. Hoc erat infatis.
Page 16 - L'armée anglaise était en haut, l'armée française en bas. Esquisser ici l'aspect de Napoléon à cheval, sa lunette à la main, sur la hauteur de Rossomme, à l'aube du 13 juin 1815, cela est presque de trop. Avant qu'on le montre, tout le monde l'a vu.
Page 157 - ... remue, elle crie, elle est chaude. Vois-tu, ma sœur, jouons avec. Ce serait ma petite fille. Je serais une dame. Je viendrais te voir et tu la regarderais. Peu à peu tu verrais ses moustaches, et cela t'étonnerait. Et puis tu verrais ses oreilles, et puis tu verrais sa queue, et cela t'étonnerait. Et tu me dirais : Ah! mon Dieu! et je te dirais : Oui, madame, c'est une petite fille que j'ai comme ça. Les petites filles sont comme ça à présent.
Page 39 - ... là-dessus les cuirasses, comme les écailles sur l'hydre. Ces récits semblent d'un autre âge. Quelque chose de pareil à cette vision apparaissait sans doute dans les vieilles épopées orphiques racontant les hommes-chevaux, les antiques hippanthropes, ces titans à face humaine et à poitrail équestre dont le galop escalada l'Olympe, horribles, invulnérables, sublimes ; dieux et bêtes.
Page 131 - De grands branchages s'y dressaient affreusement. Des buissons chétifs et difformes sifflaient dans les clairières. Les hautes herbes fourmillaient sous la bise comme des anguilles. Les ronces se tordaient comme de longs bras armés de griffes cherchant à prendre des proies.
Page 62 - L'homme qui a gagné la bataille de Waterloo, ce n'est pas Napoléon en déroute, ce n'est pas Wellington pliant à quatre heures, désespéré à cinq, ce n'est pas Blùcher qui ne s'est point battu; l'homme qui a gagné la bataille de Waterloo, c'est Cambronne. Foudroyer d'un tel mot le tonnerre qui vous tue, c'est vaincre. Faire cette réponse à la catastrophe, dire...
Page 290 - Jean, d'où venez-vous? Je viens d'Ave Salus. Vous n'avez pas vu le bon Dieu, si est? Il est dans l'arbre de la Croix, les pieds pendans, les mains clouans, un petit chapeau d'épine blanche sur la tête. Qui la dira trois fois au soir, trois fois au matin, gagnera le Paradis à la fin.