le pacha de Damas. —Trahison de Mchammad. Mohammad s'empare du gouvernement, ombat AlyBey, le met à mort. Expédition de Mohammad contre le chaik Daher.-Il s'empare de Jaffa t d'Acre. Il meurt dans cette dernière ville.- Mourad-Bey ramène l'armée en Égypte, où il dispute et partage l'autorité avec Ibrahim-Bey. - État de l'Égy te depuis cette époque jusqu'à nos jours. — Importance de cette conquête. NOTE CINQUIÈME. Sur l'amiral Sydney-Smith. Pages 425 à 430. Sydney-Smith prend part à la bataille d'Aboikyr. Il se trouve au fort de la mêlée ; il se 'embarque et protége la retraite de l'aile droite des Jurcs dans le fort d'Aboukyr. Sa captivité en France avant ses campagnesd'Égypte. Son évasion de la tour du Tempb. Inscription remarquable qu'il traça sur les murs de sa prison. NOTE SIXIÈME. Sur le service des États-Majors d'arme. Pages 450 à 447. Différence de service de l'état-major, et de celui des différentes armes et des corps à talent. — L'objet des spéculations et des travaux de l'état-major n'est rien moins que la science de la guerre. Pourquoi on révoqué en doute la nécessité de la théorie. — C'est aux étude d'une longue paix qu'on a dû les sujets nom→ breux qui se sont distingués dans la guerre. - Origine et útilié de l'organisation des états-majors. - Anciennesfonctions des officiers majors dans les armées allemandes et anglaises. C'est aux Français qu'est due laformation régulière des états-majors. Premièreformation: trois états-majors différens; leurs attributions. Comment ils furent composés. - Sort des oficiers à la paix. Première formation d'un corps l'état-major-général permanent après la guerre d'Amérique. Services utiles des officiers de ce corpset des ingénieurs-géographes. - Dépôt des cartes et plns de la guerre. La théorie de l'art de la guere ne saurait remplacer l'expérience ni le génie ; mais il n'en faut pas conclure qu'elle soit inutile. Tousles grands capitaines ont étudié les campagnes de ceux qui les avaient précédés. A quel but doivent endre les efforts d'un bon officier d'état-major. -Anéliorations qu'a produites dans le service des états-majors le nouveau système de guerre. portance du poste de chef de l'état-major d'une armée Services qu'ont rendus ces officiers, tant ceux des armées françaises que des armées autrichiennes. Travail intérieur du bureau et d'opération ou d'ac Im 1 tion sur le terrain. Division de ce travail en huit sections différentes. NOTE SEPTIÈME. Sur quelques rapprochemens historiques torchant Préambule. l'Italie moderne. Pages 447 à 469. - L'esprit des Gibelins et des Gulfes n'a pas cessé d'exister. Cette opinion, bizarre en apparence, peut être justifiée par un aperçu des grands résultats de l'histoire d'Italie. - Époque où commence l'histoire moderne. Alaric. - Odoare. -Réflexions de Machiavel sur cette époque, depuis Honorius jusqu'à Théodoric. — Origine et cause de l'autorité des papes. - Époque de Justinien. — les Lombards en Italie. Ils font la paix avec l'empire d'Orient. -La politique des papes se développe. -Ils appellent les rois de France. - Charlemagne. Malheurs de l'Italie sous ses successeurs. - Les papes appellent Bérenger. — Les Othons. — L'empe→ reur et le Pape unis contre les Romains. Trois intérêts à distinguer pour bien entendre les événemens de cette époque. La fondation du royaume de Naples est l'époque où l'audace des pontifes se montra dans toute son énergie. goire VII. Gibelins et Guelfes.-Quel était l'esprit Henri IV et Gré de ces factions. La raison n'a que la plus petite influence sur les actions des hommes. - Deux puissances substituées à celle de l'ancienne Rome. Mot de Voluire. Pourquoi le parti Guelfe était popuPourquoi l'Empire ne fut pas tout laire et Italie. entier Gibelin. Les Italiens ont toujours traité le étrangers de barbares. Frédéric Barberousse. - par Faut que l'ambition et le dépit font commettre à Céletin III. La maison de Souabe règne à Naples. -Trbain IV y appelle Charles d'Anjou. - Guelfes et Cibelins en Toscane. Les Gibelins dominent en Lonbardie. L'Italie est morcelée et déchirée ces factions. Le véritable esprit des Guelfes se découre à l'occasion des conquêtes d'un roi de Bohême. quele Pape favorisait. - Concessions de Benoît XII. -L'empereur l'imite. — Réflexions générales. Caises des malheurs de l'Italie et de sa faiblesse. Pourquoi elle n'a pas pu se régénérer comme les monarchies qui se sont formées des autres débris de l'enpire romain. - Guerres et invasions des étranger en Italie jusqu'à la réforme de Luther. flexion sur la puissance temporelle des papes. Charles-Quint. Les seizième et dix-septième siècles peu importans dans l'histoire de l'Italie. Guerre de lasuccession d'Espagne. Cessation de l'influence des papes. Ré NOTE HUITIEME. Quelques détails sur la bataille de Novi. Page 469. En prenant le commandement de l'armée d'Italie, Joubert reçoit l'ordre du Directoire d'attaquer les Alliés. Il assemble un conseil de guerre. L'avis unanime est d'attendre l'arrivée de l'armée de Chmpionnet. -Nouvelle injonction du Directoire de livrer bataille. Joubert fait ses dipoque Pendant sitions, Souwarow se décide de son côté à attaquer les Français. Description topographique des ervirons de Novi. Position respective des deux armées avant la bataille. Évaluation de leur foce. — Ordre du jour de Souwarow, la veille de la ɔataille. Reproche adressé à Souwarow par les généraux autrichiens. - Mouvement du général Milas favorisé par l'acharnement des Russes, sur la psition de Novi. Surprise du château de Pasturaza, par 400 Autrichiens. Encombrement de l'artillerie française; elle tombe au pouvoir de l'ennemi.— Importance du poste de Pasturana. FIN DE LA TABLE DES NOTES ET DU TOME II. DE LA VILLE LYON |