La liberté, Volume 2L. Hachette, 1859 - 571 pages |
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... maître ; cependant , on chicanait de toutes ses forces cette souveraineté dans la pratique , et tout fier qu'il était de son droit , le roi reculait à chaque instant , il rusait , il temporisait , il mendiait même . Car Henri III , par ...
... maître ; cependant , on chicanait de toutes ses forces cette souveraineté dans la pratique , et tout fier qu'il était de son droit , le roi reculait à chaque instant , il rusait , il temporisait , il mendiait même . Car Henri III , par ...
Page 15
... maître charpentier du roi ; les parcheminiers , le rec- teur de l'Université . Les prud'hommes des fourbis- seurs étaient nommés par le prévôt des marchands ; ceux des peigniers par le prévôt de Paris ; ceux des poissonniers , par le maître ...
... maître charpentier du roi ; les parcheminiers , le rec- teur de l'Université . Les prud'hommes des fourbis- seurs étaient nommés par le prévôt des marchands ; ceux des peigniers par le prévôt de Paris ; ceux des poissonniers , par le maître ...
Page 16
... maître cordonnier payait dix sous au grand chambellan , six au chancelier , et trente - deux pour les bottes du roi ; les orfévres versaient pour chaque vente un de- nier dans la caisse de saint Éloi , et le produit de cet impôt servait ...
... maître cordonnier payait dix sous au grand chambellan , six au chancelier , et trente - deux pour les bottes du roi ; les orfévres versaient pour chaque vente un de- nier dans la caisse de saint Éloi , et le produit de cet impôt servait ...
Page 23
... maître . Quand on ne donnait pas d'argent on donnait son temps ; et c'est bien pour le pauvre qu'il est vrai de dire que le temps est de l'argent . L'apprentissage , dont la durée et les conditions étaient fixées par les statuts , était ...
... maître . Quand on ne donnait pas d'argent on donnait son temps ; et c'est bien pour le pauvre qu'il est vrai de dire que le temps est de l'argent . L'apprentissage , dont la durée et les conditions étaient fixées par les statuts , était ...
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Jules Simon. bénéfices pour le maître . L'apprentissage de l'ouvrier brodeur ne durait pas moins de huit ans ' . Qu ... maîtres ; car on n'était reçu que pour une profession et pour une ville ; on n'avait ni la ressource de s'expatrier ...
Jules Simon. bénéfices pour le maître . L'apprentissage de l'ouvrier brodeur ne durait pas moins de huit ans ' . Qu ... maîtres ; car on n'était reçu que pour une profession et pour une ville ; on n'avait ni la ressource de s'expatrier ...
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Expressions et termes fréquents
absolu administration affaires Anne Dubourg Aristote assez besoin budget capital catholicisme catholique censure centralisation chap chef chose citoyens civile clergé commerce commune compagnies concordat condamner conseil d'État conséquent constitution corporations corps créer décret Dieu dire doctrine Église esprits évêques fonctionnaires fond force François Ier général gouvernement Henri IV hommes humaine institutions intelli intérêts juges Jules Simon jurandes justice l'administration l'Assemblée l'association l'autorité l'Église l'esprit l'État l'impôt l'industrie l'intolérance laisser législation Léon X liberté de penser liberté des cultes liberté religieuse libre livre lois Louis XIV magistrats maître matière ment ministre monde morale Napoléon Ier nécessaire nombre non-seulement ouvriers pable pape parlement pays peuple philosophie police politique pouvoir exécutif pouvoir législatif préfet presse prêtres principe privilége progrès propriété protestantisme protestants public publique qu'un raison réforme règlements religion reste Révolution rien s'il science sent sera seul siècle société sorte Spinoza surveillance tion toyens travail tribunaux Turgot vérité Voilà
Fréquemment cités
Page 44 - Dieu en donnant à l'homme des besoins , en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait, du droit de travailler, la propriété de tout homme ; et cette propriété est la première, la. plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.
Page 308 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui; ainsi l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits; ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 413 - Touchés de tant de merveilles , épanchons nos cœurs sur la piété de Louis ; poussons jusqu'au ciel nos acclamations ; et disons à ce nouveau Constantin , à ce nouveau Théodose , à ce nouveau Marcien, à ce nouveau Charlemagne, ce que les six cent trente Pères dirent autrefois dans le concile de Chalcédoine • : « Vous « avez affermi la foi ; vous avez exterminé les hérétiques : c'est « le digne ouvrage de votre règne ; c'en est le propre caractère. * Par vous, l'hérésie n'est...
Page 308 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Page 429 - Avant que la cérémonie de la consécration commence, l'élu prêtera , en présence des officiers municipaux , du peuple et du clergé, le serment solennel de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse qui lui est confié, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi , et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 439 - Paul ne peut en rien être altéré ou ébranlé: que toute personne soit soumise aux puissances supérieures; car il n'ya point de puissance qui ne vienne de dieu, et c'est lui qui ordonne celles qui sont sur la terre; celui donc qui s'oppose aux puissances résiste à l'ordre de dieu.
Page 435 - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.
Page 396 - ... de France n'approuve pas l'opinion de ceux qui donnent atteinte à ces décrets, ou qui les affaiblissent, en disant que leur autorité n'est pas bien établie, qu'ils ne sont point approuvés, ou qu'ils ne regardent que le temps du schisme.
Page 413 - Vous aurez vu. sans doute, l'édit par lequel le roi révoque celui de Nantes. Rien n'est si beau que tout ce qu'il contient, et jamais aucun roi n'a fait et ne fera rien de plus mémorable
Page 290 - Je suppose trois défmitions, ou plutôt trois faits : l'un, que « le gouvernement républicain est celui où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple, a la souveraine puissance; !e monarchique, celui où un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies ; au lieu que, dans le despotique, un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices ». Voilà ce que j'appelle la nature de chaque gouvernement.