Poésies militaires de l'antiquité, ou Callinus et Tyrtée: texte grec, traduction polyglotte, prolégomènes et commentaires

Couverture
J. P. Meline, 1835 - 338 pages
 

Autres éditions - Tout afficher

Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 222 - Caledonian ! on wi' me ! By oppression's woes and pains ! By your sons in servile chains ! We will drain our dearest veins, But they shall be — shall be free ! Lay the proud usurpers low ! Tyrants fall in every foe ! Liberty's in every blow ! Forward ! let us do, or die ! NB I have borrowed the last stan2a from the common stall edition of Wallace.
Page 222 - Wha will be a traitor knave? Wha can fill a coward's grave? Wha sae base as be a slave? Let him turn and flee! Wha for Scotland's king and law Freedom's sword will...
Page 260 - A mesure qu'on massacroit ces malheureux [c'est-à-dire les sei« gneurs protestants qu'on trouvait au Louvre ou aux environs], on jetoit leurs « corps devant le château sous les yeux du Roi, de la Reine et de toute la Cour ' ; « et les dames venoient en foule, avec encore plus d'impudence que de curiosité, « considérer ces cadavres nuds, sans qu'il parût qu'un si horrible spectacle leur
Page 281 - D'une contraire ardeur son ardeur est suivie ; Et comme notre esprit jusqu'au dernier soupir Toujours vers quelque objet pousse quelque désir, II se ramène en soi n'ayant plus où se prendre, Et, monté sur le faîte, il aspire à descendre.
Page 185 - Koomt! moedig met het schild ter heirspitse ingebroken! 't Getal ontzette u niet nog breidle uw' heldenmoed! Koomt! in een' dood gerukt, den luister onzer dagen! 't Verachtlijk licht gehaat, dat ons deez' dag verwijt! Gij kent den dollen Mars en zijn geduchte slagen , Gij , 't krijschend stormgeweld en 't schokken van den strijd, Vliegt heen ! stort tusschen 't heir van vluchtende en vervolger, Vliegt, jongelingen!
Page 189 - Verheerlijkt door zijn dood zijn' vader , volk en stad. En toont een eedle borst met wond op wond doorregen , Maar wonden , die hij elk eene overwinning schat ! Hij wordt van oude en jeugd beschreid , naar 't graf gedragen ; Heel 't vaderland in rouw vraagt hem terug van 't lot ; Zijn asch , zijn dierbaar kroost , de laatste van zijn magen , Wordt onder 't volk vereerd gelijk zijn overschot. Gewis , zijn roem , zijn naam is nimmer uit te delgen , Maar wordt door aarde en zee en eeuwen uitgebreid...
Page 189 - Hij wordt van oude en jeugd beschreid , naar 't graf gedragen ; Heel 't vaderland in rouw vraagt hem terug van 't lot ; Zijn asch , zijn dierbaar kroost , de laatste van zijn magen , Wordt onder 't volk vereerd gelijk zijn overschot. Gewis , zijn roem , zijn naam is nimmer uit te delgen , Maar wordt door aarde en zee en eeuwen uitgebreid , Die , pal staande in 't geweer voor vaderland en telgen , Door 't woedend krijgsgeweld te vroeg wordt afgeweid. Of zoo hem de ijzren slaap des ster flots blijft...
Page 323 - Il croyait que rien n'a plus de pouvoir et de force pour rendre un peuple heureux et sage que les principes qui sont gravés dans les mœurs et dans les esprits des citoyens. Ils sont d'autant plus fermes et plus inébranlables, qu'ils ont pour lien la volonté, toujours plus forte que la nécessité, quand elle est la suite de l'éducation, qui fait pour les jeunes gens l'office de législateur. Quant aux contrats moins importants, et qui, ne regardant que des objets d'intérêt, changent souvent...
Page 326 - Platon, la principale cause de la sagesse du gouvernement et du salut de l'état. Il avait flotté jusqu'alors dans une agitation continuelle, poussé tantôt par les rois vers la tyrannie, et tantôt par le peuple vers la démocratie. Le sénat, placé entre ces deux forces opposées, fut comme...
Page 145 - Songez-y , nul n'échappe aux Parques dévorantes, Nul , fût-il né du sang de nos dieux éternels ! Tel fuyait au seul bruit des flèches résonnantes, Qui rencontra la mort aux foyers paternels. Mais celui-là, des siens, dans la nuit de la tombe, L'amour et les regrets ne l'accompagnent pas ; De l'autre, peuple, grands, tous pleurent le trépas : La patrie est en deuil quand le brave succombe. Vivant, il est l'égal des demi-dieux ; II apparaît à tous les yeux Comme la tour qui couvre une ville...

Informations bibliographiques