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et qui lui fournit tout ce qui Assaire pour l'établissement de sa **Elle ne prospéra pas. Müller n'aesprit d'ordre qu'il faut pour d'un semblable établissement; il trouva dans les habitudes des 2. dans leurs préjugés de grands au succès de sa nouvelle clari'avait soumise à l'examen d'une [ɔn qui en fit faire l'essai par Lepar ses principaux élèves; ceuxlonnèrent pas la peine d'étudier ¿nouvelle qui exigeait de l'exerla rejetèrent. Le rapport de la on fourmille d'erreurs. Müller en présentant son instrument t destiné à jouer dans tous les qu'il dispensait de l'usage de clalifférentes pour l'orchestre; on › rapport, qu'il serait fâcheux de aux clarinettes en ut, en si et en nt chacune une qualité de son

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et que ces anciens instrumens tage de pouvoir être tirés lorsque les a fait monter, tandis que la son du mécanisme de la clariMüller ne permet pas d'employer

comme si ce n'était pas une sité acoustique que ce tirage qui proportions entre les diverses tube, et comme si le tirage ne s être fait à l'emboîture du bec.

pas un mot dans ce rapport sur tionnement de la justesse et de le sonorité dans la clarinette de dont la supériorité sous ces rapincontestable, quoiqu'il reste aucoup d'imperfections dans cet ut. La seule critique raisonnable été permis de faire, est que la ité des trous et l'attirail de tant liminue la sonorité du tube; mais ngea pas. On regrette de voir de ms comme ceux de Méhul et de i placés au bas d'un semblable

ion des artistes du Conservatoire à ruine de la fabrique de Müller;

TOME VI.

toutefois il ne se laissa pas ébranler, et soutint la bonté de sa clarinette dont il jouait lui-même en artiste d'un talent distingué. Une circonstance heureuse vint enfin mettre au jour les avantages du nouvel instrument: Gambaro,entré au théâtre italien de Paris, en 1816, comme première clarinette, l'adopta, et la manière dont il s'en servit dans les solos fit taire toutes les objections. Berr, devenu seconde clarinette au même théâtre, puis-première après le départ de Gambaro, l'avait aussi adoptée: ces deux artistes entraînèrent les autres. Cependant ce n'est que depuis quatre ou cinq ans que l'usage en est devenu général, dans les musiques de régimens en Belgique et en France.

:

En 1820, Müller s'éloigna de Paris où il n'avait point d'existence assurée, et retourna en Russie. En 1823, il reparat en Allemagne, et sembla vouloir se fixer quelque temps à Cassel, puis alla à Berlin, où il était en 1825. L'année suivante il voyagea en Suis e, puis en Angleterre, et enfin retourna a Paris après la révolution de juillet 1830. I habite maintenant en cette ville. M. le Dr Schilling a été mal informné lorsqu'il a dit dans son Lexique universel de musique que Müller a accepté en 1826 la place de professeur de clarinette au Conservatoire il n'a jamais eu d'emploi dans cette école. En 1826 Lefebvre occupait cette place, et ce fut Berr qui lui succéda. Müller se distinguait, dans le beau temps de son talent, par une bonne qualité de son, une manière élégante de phraser et beaucoup de chaleur dans l'exccution. Il a publié de sa composition : 1o Symphonic concertante pour 2 clarinettes, op. 23, Leipsick, Hofmeister. 2o Concertos pour clarinette, no 1 (en ré mineur). Bonn, Simrock; no 2 (en mi bémol) Paris, Jouve; no 3 (en si bémol), Offenbach, André; no 4 (en la mineur), Paris, Dufaut et Dubois; no 5 (en mi bémol), ibid.; no 6 (en sol mineur), ibid. 3o Divertissement pour clarinette et orchestre, ibid. 4o Grand solo, idem, ibid.

55

5o Duos pour clarinette et piano, Amster-
dam, op. 15. Hanovre, Bachmann, et sur
des airs du Barbier de Séville de Rossini.
Brunswick, Spehr. 6o Quatuors pour cla-
rinette, violon alto et basse, no 1 (en si
bémol), Offenbach, André; no 2 (en mi
mineur), ibid.; no 3, Paris, Gambaro.
7° Plusieurs fantaisies et airs variés pour
clarinette et piano. So Méthode pour la
nouvelle clarinette à 13 clefs, et pour la
clarinette alto. Paris, Gambaro. Il y a
plusieurs éditions allemandes de cette mé-
thode.

MULLER (ELISE), fille du docteur Guil-
Jaume Chrétien, est née a Brême en 1782.
Elève de son père, elle s'est fait remar-
quer par son talent d'exécution sur le
piano, particulièrement dans les œuvres
de Beethoven. On a gravé de sa composi-
tion: 1o Chant de remerciment de Arndt,
à quatre voix avec accompagnement de
piano, Bonn, Simrock. 2o 6 chants à voix
seule, avec accompagnement de piano.
Leipsick, Hofmeister.

MULLER (FRÉdéric), né le 10 décem-
bre 1786 à Orlamünda, petite ville du
duché de Saxe-Altenbourg, commença dès
son enfance l'étude de la musique sous la
direction de son père, musicien de la ville.
Il n'était âgé que de seize ans lorsqu'il fut
attaché à la chapelle du prince de Schwartz-
bourg-Rudolstadt, où il reçut des leçons
de composition de H. Chr. Koch. Ayant
appris de son père à jouer de plusieurs in-
strumens, il fut d'abord employé dans la
chapelle du prince comme violoncelliste,
puis comme clarinettiste, et enfin comme
chef de pupitre au second violon, avec le
titre de musicien de la cour; cependant la
clarinette resta toujours son instrument
de prédilection. En 1816 le prince lui
confia le soin de former une nouvelle
musique militaire; l'intelligence qu'il
montra dans l'organisation de ce corps
en fit donner la direction, ainsi que celle
de l'harmonie de la cour, avec le titre de
musicien de la chambre. En 1831 il suc-
céda à Eberwein dans la direction de la

lui

chapelle; mais il n'eut de
titre de maître de chapelle
On connait de la compositis
tiste: 1o Symphonie concerta
rinette et cor, Leipsick, Bret-
tel. 2o Deuxième, idem, ».
3o Danses pour l'orchestre...
Rudolstadt, Müller. 4o Pr
nie, liv. 1 et 2, Leipsick, I
Hærtel. 5° Musique militar
Whistling. 6° Concertos pour.
op. 10 (en mi bémol), et é
bémol), Leipsick, Breitk
7° Concertinos idem, op. 2
8 Romance variée pour cha
chestre, op. 9, ibid. 9o Pot-
op. 21, ibid. 10° Thème va
tuor, ibid. 11o Études per
liv. 1 et 2, op. 33, ibid. l.
rié pour basson et orchestre.c
sick, Breitkopf et Hærtel. I.
pour 4 cors, ibid. 14o Sixt
cors. Mayence, Schott. 15o)
pour piano et clarinette, e
stadt, Müller.

MULLER (D.), composi
sur qui je n'ai d'autres reuse
les titres de ses ouvrages;
1° 3 Lieder beim Grabe Jes
sur la tombe de Jésus), a
lons, 2 clarinettes, 2 cors, be
op. 14, Augsbourg, Lotter..
nies à 3 et 4 voix, orgue, el
2 cors et trombone ad libitan..
ibid. 3o Messe (en re) à 5ca47
lons et orgue, avec instrum
Lbitum, ibid. 4o Requiema!
lons et orgue obligés, 20
ibid. 5° Vêpres allemandes
et orgue, ibid. 6o Vespera
ruralibus accomodatæ a ca
basso, 2 viol. 2 cornibus ve!
et organo, ibid. 7o Quelque ́
variations pour le piano. 8o |
Vierge à 2 ou 3 voix, avec 2
gue obligé, et instrument à
tum, op. 12, ibid. 9° Dixite
à 4 voix, orchestre et org

rg, Gombart. 10o Pange lingua
: de basse et orgue, op. 23, ibid.
Deus amor meus, graduel à 4
lon solo, 2 violons, alto, basse,
1., et instruments à vent, op. 34,
Falter. 12° Tantum ergo à 3 ou
orchestre et orgue, op. 37. Augs-
Kranzfelder. 13° Messe à 3 ou 4
chestre et orgue, op. 39, ibid.
Age lingua à 4 voix et orgue, op.
sbourg, Gombart.

ER (JOSEPH), docteur et direc.
gymnase à Glatz, précédemment
r du gymnase à Conitz, dans la
Occidentale, actuellement vivant,
ur d'un livre qui a pour titre :
en beim Gesangunterricht für
der Gymnasien entworfen
our l'étude du chant à l'usage des
es gymnases). Berlin, Hirschwald,
1-4o de 75 pages.

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LER (GUILLAUME-ADOLPHE), chan-
'église de la ville, à Borna, près
sick, et professeur de l'école des
est né à Dresde en 1793. Il s'est
naître avantageusement par les
s suivans: 1o Musikalisches Blu-
behen (Petite corbeille de fleurs
es), recueil de pièces faciles pour
2 petits volumes divisés en deux
Meissen, Gœdsche. 2° Musika-
Blumenkranz (Couronne de fleurs
es), recueil de pièces faciles pour
›, ibid. 3o Musikalisches Frucht-
Corbeille de fruits musicaux), idem,
> Erste Lehrmeister im Klavier
Fortepianospiel (l'Instituteur pri-
u piano), pièces faciles à 3, 4 et 2
à l'usage des commençans, ibid.
Lehrmeister im Orgelspiel beim
ichen Gottesdienste (Le maître
art de jouer de l'orgue pour l'office
op. 22, ibid. 6° Six chorals arran-
c préludes et des conclusions pour

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ibid. 7° Fantaisie et fugue pour
, op. 57, Leipsick, Breitkopf et
So Conclusions pour l'orgue, op.
edlinbourg, Bassc. 9° Conclusions

à 4 mains pour l'orgue, ibid. 10o 25 Mé-
lodies chorales avec la basse chiffrée, ar-
rangées avec trois harmonies différentes
pour chacune. Meissen, Goedsche. 11° Die
Orgel ihre, Einrichtung und Beschaffen-
heit, sowohl als das zweekmæssige Spiel
derselben. Ein unenbehrlichen Hand-
buch für Cantoren, Organisten, Schul-
lehrer, Seminaristen und alle Freunde
des Orgelspiels (l'orgue, sa disposition,
sa qualité, ainsi que la manière de le bien
jouer). Meissen, Goedsche, in-8°, 1822;
2e édition, ibid., 1823, 88 pages in-8";
3o idem., ibid. in-8o de 108 pages.

MULLER (CHARLES-FRÉDÉRIC), né le
17 novembre 1796, à Nimègue, de parens
allemands, se livra de bonne heure à l'é-
tude de la musique sous la direction de sa
mère, cantatrice distinguée de cette épo-
que. A l'âge de 16 ans il était déjà connu
dans plusieurs villes de l'Allemagne comme
un bon pianiste. Bientôt après il fut en-
gagé comme chef d'orchestre dans la troupe
dramatique de Loewe. Les événemens de
la guerre l'obligèrent, en 1813, à entrer
comme volontaire dans les bataillons qui
se levèrent spontanément en Allemagne.
La campagne terminée, il alla se fixer à
Berlin, où il recommença ses études mu-
sicales d'une manière plus sérieuse. Il y
trouva des moyens d'existence suffisants
dans les leçons qu'il donna, et parvint à
former de bons élèves. Vers 1818, il com-
mença à se livrer à la composition : ses
ouvrages, bien qu'ils ne soient pas consi-
dérés comme des compositions d'un ordre
élevé, ont cependant obtenu du succès.
Parmi les plus importans, on cite: 1o Grand
rondo capricioso pour violon et violoncelle,
op. 25. Berlin, Trautwein, 1° (bis) Trio
facile idem, op. 34, ibid. 2o Duo pour
piano et violon, sur des thêmes de Frey-
schütz, op. 35, Berlin, Lischke. 3° Des
fantaisies et rondos pour piano à quatre
mains, op. 18, 19, 23, 28, Berlin et Ha-
novre. 4o Sonate pour piano seul, op. 13.
Leipsick, Probst. 5o 6 idem, Leipsick,
Breitkopf et Hærtel. 6o Rondo brillant

5o Duos pour clarinette et piano, Amsterdam, op. 13. Hanovre, Bachmann, et sur des airs du Barbier de Séville de Rossini. Brunswick, Spehr. 6o Quatuors pour clarinette, violon alto et basse, no 1 (en si bémol), Offenbach, André; no 2 (en mi mineur), ibid.; no 3, Paris, Gambaro. 70 Plusieurs fantaisies et airs variés pour clarinette et piano. 8° Méthode pour la nouvelle clarinette à 13 clefs, et pour la clarinette alto. Paris, Gambaro. Il y a plusieurs éditions allemandes de cette méthode.

MULLER (ELISE), fille du docteur GuilJaume Chrétien, est née à Brême en 1782. Élève de son père, elle s'est fait rema quer par son talent d'exécution sur le piano, particulièrement dans les œuvres de Beethoven. On a gravé de sa composition: 1o Chant de remercîment de Arndt, à quatre voix avec accompagnement de piano, Bonn, Simrock. 2o 6 chants à voix seule, avec accompagnement de piano. Leipsick, Hofmeister.

MULLER (FRÉDÉRIC), né le 10 décembre 1786 à Orlamünda, petite ville du duché de Saxe-Altenbourg, commença dès son enfance l'étude de la musique sous la direction de son père, musicien de la ville. Il n'était âgé que de seize ans lorsqu'il fut attaché à la chapelle du prince de Schwartzbourg-Rudolstadt, où il reçut des leçons de composition de H. Chr. Koch. Ayant appris de son père à jouer de plusieurs instrumens, il fut d'abord employé dans la chapelle du prince comme violoncelliste, puis comme clarinettiste, et enfin comme chef de pupitre au second violon, avec le titre de musicien de la cour; cependant la clarinette resta toujours son instrument de prédilection. En 1816 le prince lui confia le soin de former une nouvelle musique militaire; l'intelligence qu'il montra dans l'organisation de ce corps lui en fit donner la direction, ainsi que celle de l'harmonie de la cour, avec le titre de musicien de la chambre. En 1831 il succéda à Eberwein dans la direction de la

chapelle; mais il n'eut définitivernent le titre de maître de chapelle qu'en 1855. On connaît de la composition de cet artiste: 1o Symphonie concertante pour clarinette et cor, Leipsick, Breitkopf et Hærtel. 2o Deuxième, idem, op. 31, ibid. 3o Danses pour l'orchestre, 4 recueils, Rudolstadt, Müller. 4° Pièces d'harmonie, liv. 1 et 2, Leipsick, Breitkopf e Hærtel. 5° Musique militaire, Leipsick, Whistling. 6° Concertos pour la clarinette, op. 10 (en mi bémol), et op. 11 (en s1 bémol), Leipsick, Breitkopf et Hærtel. 7° Concertinos idem, op. 20 et 27, ibid. 8o Romance variée pour clarinette et orchestre, op. 9, ibid. 9o Pot-pourri idem, op. 21, ibid. 10° Thême varié avec quatuor, ibid. 11o Études pour clarinette, liv. 1 et 2, op. 33, ibid. 12o Thême varié pour basson et orchestre, op. 29, Leipsick, Breitkopf et Hærtel. 13° Six pièces pour 4 cors, ibid. 14° Six trios pour trois Mayence, Schott. 15o Divertissement pour piano et clarinette, op. 32, Rudolstadt, Müller.

cors.

MULLER (D.), compositeur allemand sur qui je n'ai d'autres renseignemens que les titres de ses ouvrages; en voici la liste : 1o 3 Lieder beim Grabe Jesu (Trois chants sur la tombe de Jésus), à 3 voix, 2 violons, 2 clarinettes, 2 cors, basse et orgue, op. 14, Augsbourg, Lotter. 2o Deux litanies à 3 et 4 voix, orgue, et 2 clarinettes, 2 cors et trombone ad libitum, 2e édition, ibid. 3° Messe (en rẻ) à 3 ou 4 voix, 2 viɔlons et orgue, avec instrumens à vent ad libitum, ibid. 4o Requiem à 3 voix, 2 violons et orgue obligés, 2 cors ad libitum, ibid. 5° Vêpres allemandes à 2 ou 3 voix et orgue, ibid. 6o Vesperæ breves choris ruralibus accomodate a canto, alto et basso, 2 viol. 2 cornibus vel clav, tymp. et organo, ibid. 7o Quelques recueils de variations pour le piano. 8o Litanies de la Vierge à 2 ou 3 voix, avec 2 violons et orgue obligé, et instrument à vent ad libitum, op. 12, ibid. 9o Dixit et Magnificat à 4 voix, orchestre et orgue, op. 22,

Augsbourg, Gombart. 10 Pange lingua pour voix de basse et orgue, op. 23, ibid. 11o O Deus amor meus, graduel à 4 voix, violon solo, 2 violons, alto, basse, orgue obl., et instruments à vent, op. 34, Munich, Falter. 12° Tantum ergo à 3 ou 4 voix, orchestre et orgue, op. 37. Augsbourg, Kranzfelder. 13° Messe à 3 ou 4 voix, orchestre et orgue, op. 39, ibid. 14o Pange lingua à 4 voix et orgue, op. 56, Augsbourg, Gombart.

MULLER (JOSEPH), docteur et direc teur du gymnase à Glatz, précédemment directeur du gymnase à Conitz, dans la Prusse occidentale, actuellement vivant, est auteur d'un livre qui a pour titre : Leitfaden beim Gesangunterricht für Schuler der Gymnasien entworfen (Guide pour l'étude du chant à l'usage des élèves des gymnases). Berlin, Hirschwald, 1825, in-4o de 75 pages.

MULLER (GUILLAUME-ADOLPHE), chantre de l'église de la ville, à. Borna, près de Leipsick, et professeur de l'école des garçons, est né à Dresde en 1793. Il s'est fait connaître avantageusement par les ouvrages suivans: 1o Musikalisches Blumenkærbchen (Petite corbeille de fleurs musicales), recueil de pièces faciles pour le piano, 2 petits volumes divisés en deux parties. Meissen, Goedsche. 2o Musikalisches Blumenkranz (Couronne de fleurs musicales), recueil de pièces faciles pour le piano, ibid. 3o Musikalisches Fruchtkorb (Corbeille de fruits musicaux), idem, ibid. 4o Erste Lehrmeister im Klavier oder Fortepianospiel (l'Instituteur primaire du piano), pièces faciles à 3, 4 et 2 mains, à l'usage des commençans, ibid. 5o Der Lehrmeister im Orgelspiel beim effentlichen Gottesdienste (Le maître dans l'art de jouer de l'orgue pour l'office divin), op. 22, ibid. 6o Six chorals arrangés avec préludes et des conclusions pour l'orgue, ibid. 7° Fantaisie et fugue pour l'orgue, op. 57, Leipsick, Breitkopf et Hærtel. 8° Conclusions pour l'orgue, op. 86. Quedlinbourg, Basse. 9° Conclusions

pages.

à 4 mains pour l'orgue, ibid. 10° 25 Mélodies chorales avec la basse chiffrée, arrangées avec trois harmonies différentes pour chacune. Meissen, Goedsche. 11° Die Orgel ihre, Einrichtung und Beschaffenheit, sowohl als das zweekmæssige Spiel derselben. Ein unenbehrlichen Handbuch für Cantoren, Organisten, Schullehrer, Seminaristen und alle Freunde des Orgelspiels (l'orgue, sa disposition, sa qualité, ainsi que la manière de le bien jouer). Meissen, Gœdsche, in-8°, 1822; 2e édition, ibid., 1823, S8 pages in-8°; 3e idem., ibid. in-8° de 108 MULLER (CHARLES-FRÉDÉRIC), né le 17 novembre 1796, à Nimègue, de parens allemands, se livra de bonne heure à l'étude de la musique sous la direction de sa mère, cantatrice distinguée de cette époque. A l'âge de 16 ans il était déjà connu dans plusieurs villes de l'Allemagne comme un bon pianiste. Bientôt après il fut engagé comme chef d'orchestre dans la troupe dramatique de Loewe. Les événemens de la guerre l'obligèrent, en 1813, à entrer comine volontaire dans les bataillons qui se levèrent spontanément en Allemagne. La campagne terminée, il alla se fixer à Berlin, où il recommença ses études musicales d'une manière plus sérieuse. Il y trouva des moyens d'existence suffisants dans les leçons qu'il donna, et parvint à former de bons élèves. Vers 1818, il c mença à se livrer à la composition: ses ouvrages, bien qu'ils ne soient pas considérés comme des compositions d'un ordre élevé, ont cependant obtenu du succès. Parmi les plus importans, on cite: 1o Grand rondo capricioso pour violon et violoncelle, op. 25. Berlin, Trautwein, 1° (bis) Trio facile idem, op. 34, ibid. 2o Duo pour piano et violon, sur des thêmes de Freyschütz, op. 35, Be: lin, Lischke. 3° Des fantaisies et rondos pour piano à quatre mains, op. 18, 19, 23, 28, Berlin et Hanovre. 4° Sonate pour piano seul, op. 13. Leipsick, Probst. 5o 6 idem, Leipsick, Breitkopf et Hærtel. 6o Rondo brillant

com

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