Premiere [-neuvieme] lettre a Monsieur de Voltaire, Volúmenes 7-9Chez Jean Neaulme., 1775 |
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... affez de grande Poéfie ; fans parler de tous les vices de ftile dont il eft rempli . Or , fi vous croyez qu'un Poëme épique peut fe paffer de toutes ces qualités - là , vous pou- vez hardiment appeller la Henriade le chef- d'œuvre des ...
... affez de grande Poéfie ; fans parler de tous les vices de ftile dont il eft rempli . Or , fi vous croyez qu'un Poëme épique peut fe paffer de toutes ces qualités - là , vous pou- vez hardiment appeller la Henriade le chef- d'œuvre des ...
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... affez con- trit : Je vous avoue qu'on ne peut guère avancer des principes plus hafardés ; & que je retrouve dans tout cela cette Littérature décriée qui avoit fi mal réuffi aux détrac- teurs de l'antiquité mais enfin M. D. V. peut s ...
... affez con- trit : Je vous avoue qu'on ne peut guère avancer des principes plus hafardés ; & que je retrouve dans tout cela cette Littérature décriée qui avoit fi mal réuffi aux détrac- teurs de l'antiquité mais enfin M. D. V. peut s ...
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... la Henriade , fournit tout au plus la valeur de deux Chants dans tout le Poëme . Que voulez - vous dire , repliqua mon adversaire ? Est - ce que notre Poëte n'aug roit pas pris affez de matière pour le corps de ' à M. de Voltaire . 27.
... la Henriade , fournit tout au plus la valeur de deux Chants dans tout le Poëme . Que voulez - vous dire , repliqua mon adversaire ? Est - ce que notre Poëte n'aug roit pas pris affez de matière pour le corps de ' à M. de Voltaire . 27.
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Jean Marie Bernard Clément. roit pas pris affez de matière pour le corps de fon Ouvrage ? Vous ne pouvez pour- tant pas l'ignorer ; rien n'eft plus recom- mandé par toutes les bonnes Poétiques , que d ... affez de matière pour le corps ...
Jean Marie Bernard Clément. roit pas pris affez de matière pour le corps de fon Ouvrage ? Vous ne pouvez pour- tant pas l'ignorer ; rien n'eft plus recom- mandé par toutes les bonnes Poétiques , que d ... affez de matière pour le corps ...
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... affez d'invention pour foutenir cette unité . car fon début , ou la propofition de fon Poëme , ne nous annonce que Henri IV ; & l'on fait que le fujet d'un Poëme doit être contenu dans fa propofition . Il ne nous dit point je chante ces ...
... affez d'invention pour foutenir cette unité . car fon début , ou la propofition de fon Poëme , ne nous annonce que Henri IV ; & l'on fait que le fujet d'un Poëme doit être contenu dans fa propofition . Il ne nous dit point je chante ces ...
Términos y frases comunes
affez affiégés ainfi auffi auffi-tôt auroit avoit beau beautés Bourbon c'eft C'eſt chant chofe Ciel circonftances Coligny combat comparaiſon Coriolan d'Aumale d'Homère defcription Defpréaux deſcription devoit Dieux Difcorde difcours dire efprit Eft-ce Enée eſt étoit eût expreffion faifi falloit fang fans fecond fecours felon femble fent feroit fervir feul fimple fituation foible foit foldats fon fils fon Héros fon Poëme fonge font fous fouvent ftile fublime fuite fuivi fujet fur-tout fureur goût grace Guerriers Henri Henri IV Henriade Homère image imité intéreffant l'admirateur l'Auteur l'efprit l'Enéide l'Epopée l'Hiftoire l'Iliade laiffe Ligueurs Lucain Lutrin Mayenne merveilleux mieux monftre Mornay mort n'eft n'eſt n'étoit narration paffage paffer paffions paroît Patrocle peindre peinture penfées Philofophe plaifir plufieurs Poéfie Poëme épique Poëte poétique pouvoit préfente prefque puiffe raifon récit refte répondis-je rien Rollon s'eft Saint Louis ſes ſon Télémaque traits trifte Valois Virgile voit Voltaire yeux ככ כל
Pasajes populares
Página 181 - Sur tous mes frères morts se faisant un passage; Et de sang tout couvert échauffant le carnage Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans la flamme étouffés sous le fer expirants.
Página 311 - Le peuple saint en foule inondait les portiques ; Et tous, devant l'autel avec ordre introduits, De leurs champs dans leurs mains portant les nouveaux fruits, Au Dieu de l'univers consacraient ces prémices : Les prêtres ne pouvaient suffire aux sacrifices.
Página 269 - Elle remplit de fes gémiflements les bois & les montagnes qui font auprès du fleuve ; elle noya fes yeux de larmes, arracha fes beaux cheveux; elle oublia les guirlandes de fleurs qu'elle avoit accoutumé de cueillir, & accufa le Ciel d'injuftice. Comme elle ne...
Página 10 - O mont de Sinaï, conserve la mémoire De ce jour à jamais auguste et renommé, Quand, sur ton sommet enflammé, Dans un nuage épais le Seigneur enfermé Fit luire aux yeux mortels un rayon de sa gloire. Dis-nous pourquoi ces feux et ces éclairs, Ces torrents de fumée, et ce bruit dans les airs, Ces trompettes et ce tonnerre. Venait-il renverser l'ordre des éléments ? Sur ses antiques fondements Venait-il ébranler la terre ? UNE AUTRE.
Página 143 - L'air mugit, le jour fuit, une épaisse vapeur Couvre d'un voile affreux les vagues en fureur ; La foudre, éclairant seule une nuit si profonde...
Página 253 - La terre en retentit, leurs lances sont rompues : Comme en un ciel brûlant deux effroyables nues Qui, portant le tonnerre et la mort dans leurs flancs, Se heurtent dans les airs et volent sur les vents ; De leur mélange affreux les éclairs rejaillissent ; La foudre en est formée, et les mortels frémissent.
Página 249 - Mars commençoit, par le bruit des armes et par l'appareil frémissant de la guerre, à semer la rage dans tous les cœurs. La campagne étoit pleine de piques hérissées, semblables aux épis qui couvrent les sillons fertiles dans le temps des moissons.
Página 292 - Ainsi l'honneur des prés, les fleurs, présent de Flore, Filles du blond Soleil et des pleurs de l'Aurore, Si la faux les atteint, perdent en un moment De leurs vives couleurs le plus rare ornement. La troupe des chasseurs, au héros accourue, Par des cris redoublés lui fait ouvrir la vue : II cherche encore un coup la lumière des cieux, II pousse un long soupir, il referme les yeux, Et le dernier moment qui retient sa belle âme" S'emploie au souvenir de l'objet qui l'enflamme.
Página 322 - Du salpêtre en fureur l'air s'échauffe et s'allume Et des coups redoublés tout le rivage fume. Déjà du plomb mortel plus d'un brave est atteint Sous les fougueux Coursiers l'onde écume et se plaint. De tant de coups affreux la tempête orageuse Tient un temps sur les eaux la fortune douteuse, Mais Louis d'un regard sait bientôt la fixer.
Página 270 - Philoctète eut reçu le coup , qu'il tira sa flèche contre Amphimaque; elle lui perça le cœur. Aussitôt ses beaux yeux noirs s'éteignirent, et furent couverts des ténèbres de la mort...