Collection complette des oeuvres de Mr. de Voltaire, Volumen 1;Volumen 17Cramer, 1757 |
Términos y frases comunes
accufé affaffiné affez affiege ainfi Angleterre Anglois auffi aujourdhui battu c'eft C'eſt Cardinal chaffé Chine Chinois Chrêtiens Colbert compofé confervé Conftantinople d'Angleterre dépofé difputes efprit Empereur époufe eſt Evêques fans favant fecours fecret feizieme fervi fes ouvrages feul fiecle fiege fon caractere fon état fon fils fon pere fon tems font fous Louis quatorze fouvent Fran François premier Frederic ftile fuiv fujets guerre H. G. Tome VII Henri huit Henri quatre Hiftoire hommes ibid Jean Jéfuites l'efprit l'Eglife l'Europe l'Hiftoire laiffé Ligue loix longtems Louis douze Louis XIV Madame de Maintenon maffacrés Mahomet maifon Maréchal Mazarin meurt Miniftre mort n'eft Naples paffa paix Pape penfer perfécutés perfonne Philippe fecond Philippe le Bel Philofophie plufieurs Poëfie Poëte Pologne prefque prife prifonnier Prince puiffance refte Religion Richelieu Rois Rome s'eft Suede ſuiv Tamerlan tems de Charlemagne Théatre toûjours Turcs ufage Venife
Pasajes populares
Página 13 - L'archevêque de Cambrai (qui le croirait !) parodia ainsi un air de Lulli : Jeune, j'étais trop sage, Et voulais trop savoir; Je ne veux en partage Que badinage, Et touche au dernier âge Sans rien prévoir.
Página 122 - Il prit un tour très-adroit pour mettre le ministre dans ses intérêts; il fit faire en peu de jours une nouvelle édition de son livre ' , dans laquelle on retrancha ou on adoucit tout ce qui pouvait être condamné par un cardinal et par un ministre.
Página 25 - L'homme peut-être qui , dans les temps grossiers qu'on nomme du moyen âge, mérita le plus du genre humain, fut le pape Alexandre III. Ce fut lui qui, dans un concile, au xne siècle, abolit autant qu'il le put la servitude.
Página 163 - Je me vis toujours pauvre et tâchai de paraître ; Je vécus dans la peine attendant le bonheur, Et mourus sur un coffre en attendant mon maître.
Página 30 - Il résulte de ce tableau que tout ce qui tient intimement à la nature humaine se ressemble d'un bout de l'univers à l'autre ; que tout ce qui peut dépendre de la coutume est différent, et que c'est un hasard s'il se ressemble. L'empire de la coutume est bien plus vaste que celui de la nature; il s'étend sur les mœurs, sur tous les usages; il répand la variété sur la...