Oeuvres complètes de Voltaire, Volumen 26Imprimerie de la Société littéraire-typographique, 1784 |
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... Guife fauva les autres du fupplice qu'ils méritaient ; mais que Maynier d'Oppède mourut dans les douleurs caufées par les remords , & pires que le fupplice . LE СНАРITRE ХХ . Du Parlement fous Henri II . E commencement du régne de Henri ...
... Guife fauva les autres du fupplice qu'ils méritaient ; mais que Maynier d'Oppède mourut dans les douleurs caufées par les remords , & pires que le fupplice . LE СНАРITRE ХХ . Du Parlement fous Henri II . E commencement du régne de Henri ...
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... Guife avait été déclaré lieutenant - général de l'Etat , & en cette qualité il précédait le connétable , & lui écrivait en fupérieur . Le cardinal de Lorraine , qui avait la première place dans le confeil , voulut , pour se rendre ...
... Guife avait été déclaré lieutenant - général de l'Etat , & en cette qualité il précédait le connétable , & lui écrivait en fupérieur . Le cardinal de Lorraine , qui avait la première place dans le confeil , voulut , pour se rendre ...
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... Guife qu'aux fciences . St André & Minard , préfidens aux enquêtes , pour- fuivirent la mort d'Anne du Bourg . Comme il était dans le facerdoce , il fut d'abord jugé par l'évêque de Paris du Bellay , affifté de l'inquifiteur Mouchy : 94 ...
... Guife qu'aux fciences . St André & Minard , préfidens aux enquêtes , pour- fuivirent la mort d'Anne du Bourg . Comme il était dans le facerdoce , il fut d'abord jugé par l'évêque de Paris du Bellay , affifté de l'inquifiteur Mouchy : 94 ...
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... fut pas non plus par les fiens . François de Guife & le cardinal de Lor- raine , fon frère , tous deux étrangers , mais tous deux devenus 1 devenus pairs du royaume , l'un par fon duché de 96 CONDAMNATION DE DU FAUR .
... fut pas non plus par les fiens . François de Guife & le cardinal de Lor- raine , fon frère , tous deux étrangers , mais tous deux devenus 1 devenus pairs du royaume , l'un par fon duché de 96 CONDAMNATION DE DU FAUR .
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Voltaire. devenus pairs du royaume , l'un par fon duché de Guife , l'autre par fon archevêché de Reims étaient les maîtres abfolus de l'Etat , fous le jeune & faible François II qui avait époufé leur nièce Marie Stuart . Les princes du ...
Voltaire. devenus pairs du royaume , l'un par fon duché de Guife , l'autre par fon archevêché de Reims étaient les maîtres abfolus de l'Etat , fous le jeune & faible François II qui avait époufé leur nièce Marie Stuart . Les princes du ...
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Oeuvres complètes de Voltaire, Volumen 26 Voltaire (pseud. van François-Marie Arouet) Vista completa - 1792 |
Términos y frases comunes
accufé affaffiné affemblées affez ainfi Anglais arrêt auffi avaient bracmanes brames Briffon c'eft c'eſt c'était caffer cardinal cardinal de Lorraine cardinal de Richelieu caufe cents chambre chancelier Charles chofes compagnie compofée comte confeil confeillers confervé déclaré DIEU difait duc d'Orléans duc de Mayenne efprits enfuite eſt évêques facré fans féance feconde fecret fefait feigneurs femblait fervir feul fiècles fiége figné foit foldats font fouba fous fouvent fouverain françaiſe François Ier fuivant fujets fupplice furtout général grand'chambre guerre Guife Henri Henri III Henri IV hommes Indiens jéfuites jufqu'à juftice juges juſtice l'Eglife l'Etat l'Inde laiffé Lalli lingam long-temps Louis Louis XII magiftrats maifon mille miniftre n'eft n'était nation néceffaire nommé ordonna paffer pairs pape parlemens parlement perfonne peuple plufieurs Pondichéri préfent prefque premier préfident prince de Condé princes du fang raïa refte régent religion requête Rome royaume ſes ſon Tamerlan Vishnou
Pasajes populares
Página 350 - trop étendu du parlement de Paris , qui obligeait les citoyens de venir de cent cinquante lieues fe confumer devant lui en frais qui fouvent excédaient le capital. Le fécond était la vénalité des charges de judicature, vénalité qui avait introduit la forte taxation des épices. Pour réformer ces deux abus , fix parlemens
Página 12 - rendraient juftice deux fois l'an à Paris, vers Pâques, & vers la Touflaint. C'était une cour de juftice fuprême , telle que la cour du banc du roi en Angleterre, la chambre impériale en Allemagne, le confeil de Caftille ; c'était un renouvellement de l'ancienne cour Palatine. Voici comme s'exprime Philippe le Bel
Página 505 - parmi les plus vieilles fables des bracmanes. Il ya même , ce me femble , plus de fagacité dans le dénouement de l'aventure indienne que dans celui de la grecque. Un indou d'une force extraordinaire avait une trèsbelle femme ; il en fut jaloux, la battit & s'en alla. Un égrillard de dieu , non pas un Brama ou un Vishnou,
Página 320 - de ne fe plus mêler d'affaires qui ne les regardent pas. Le parlement répond au roi qu'il ne peut obtempérer. Ce mot obtempérer fit à la cour un fingulier effet. Toutes les femmes demandaient ce que ce mot voulait dire, & quand elles furent qu'il fignifiait obéir, elles firent plus de bruit que les
Página 10 - le grand maître des arbalétriers. Ces petits parlemens n'étaient point regardés comme les anciens parlemens de la nation ; on les appelait parloirs du roi, parloirs au roi ; c'étaient des confeils que le roi tenait, quand il voulait , pour juger des affaires où les baillis trouvaient trop de difficulté. Tout changea bien autrement fous Philippe IV, furnommé
Página 364 - aux chiens qui hurlent quand ils entendent de loin d'autres chiens hurler. Enfin les cris de Pondichéri ayant animé le miniftère de Verfailles , le vainqueur de Madrafs , le feul qui dans cette guerre eut foutenu l'honneur du pavillon français , fut enfermé à la Baftille par lettre de cachet. Il languit dans
Página 109 - du royaume. Le roi, quoique jeune, mais inftruit par fa mère , répondit : Je vous ordonne de ne pas agir avec un roi majeur, comme vous avez fait pendant fa minorité; ne vous' mêlez pas des affaires dont il ne vous appartient pas de connaître;
Página 506 - les forces de la nature humaine : l'homme aux cinquante ne peut être qu'un dieu qui s'eft moqué de nous. Le dieu avoua tout , 8c s'en. retourna au ciel en riant. De pareils contes dont l'Inde fourmille, ont du moins cela de bon qu'ils peuvent tenir une nation entière dans une doucejoie , ainfi que les métamorphofes recueillies
Página 128 - le champ préfent de mille écus d'or. Le pape Grégoire XIII fit incontinent tirer le canon du château S' Ange ; on alluma le foir des feux de joie dans toute la ville de Rome. Le lendemain le pape accompagné de tous les cardinaux alla rendre grâces à DIEU dans l'églife de
Página 296 - Le général des jéfuites exigea, pour article préliminaire des deux contrats , qu'on reçût la bulle en France comme un article de foi. C'était un ridicule digne des ufages introduits dans une partie de l'Europe, que le mariage de deux grands princes dépendît d'une difpute fur la grâce efficace ; mais enfin on ne put obtenir le