Siècles de Louis XIV: et de Louis XV, Volumen 4Pierre Didot, et Firmin Didot, 1817 |
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... secours aux empereurs , tantôt en se déclarant con- tre eux . Le roi Charles - Emmanuel espérait le Mila- nais ; et il lui fut promis par les ministres de Ver- sailles et de Madrid . Le roi d'Espagne Philippe V , ou plutôt la reine ...
... secours aux empereurs , tantôt en se déclarant con- tre eux . Le roi Charles - Emmanuel espérait le Mila- nais ; et il lui fut promis par les ministres de Ver- sailles et de Madrid . Le roi d'Espagne Philippe V , ou plutôt la reine ...
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... secours , ses armes , avec cinq millions de nos livres , pour lui garantir tout le reste , et donner l'empire à son époux . Des ministres habiles prévirent que si la reine de Hongrie refusait de telles offres , l'Alle- magne serait ...
... secours , ses armes , avec cinq millions de nos livres , pour lui garantir tout le reste , et donner l'empire à son époux . Des ministres habiles prévirent que si la reine de Hongrie refusait de telles offres , l'Alle- magne serait ...
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... secours de cette province déja envahie : il mit le roi de Prusse dans la nécessité de donner bataille à Molvitz , près de la riviere de Neisse . On vit alors ce que valait l'infanterie prus- sienne . La cavalerie du roi , moins forte de ...
... secours de cette province déja envahie : il mit le roi de Prusse dans la nécessité de donner bataille à Molvitz , près de la riviere de Neisse . On vit alors ce que valait l'infanterie prus- sienne . La cavalerie du roi , moins forte de ...
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... secours , entra facilement dans l'Autriche , tandis que la reine Marie - Thérese résistait à peine au roi de Prusse . Il se rend d'abord maître de Passau , ville impériale qui appartient à son évêque , et qui sépare la haute Autriche de ...
... secours , entra facilement dans l'Autriche , tandis que la reine Marie - Thérese résistait à peine au roi de Prusse . Il se rend d'abord maître de Passau , ville impériale qui appartient à son évêque , et qui sépare la haute Autriche de ...
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... secours d'argent ; elle agissait dans l'empire ; elle négociait avec le roi de Sardaigne , et ses provinces lui fournissaient des soldats . Toute la nation anglaise s'anima en sa faveur ; ce peuple n'est pas de ceux qui attendent l ...
... secours d'argent ; elle agissait dans l'empire ; elle négociait avec le roi de Sardaigne , et ses provinces lui fournissaient des soldats . Toute la nation anglaise s'anima en sa faveur ; ce peuple n'est pas de ceux qui attendent l ...
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Siècles de Louis xiv et de Louis xv, Volumen 4 François Marie Arouet de Voltaire,Voltaire Vista completa - 1820 |
Términos y frases comunes
Alberoni alliés Anglais Anson armée assiéger attaque Autrichiens avaient bataille bataillons Baviere bientôt blessés c'était canon cardinal de Fleuri Charles Édouard Charles VII cinquante commencement compagnie comte côté d'Autriche d'Espagne déja devait don Philippe duc d'Orléans duc de Cumberland duc de Montemar Édimbourg enfin ennemis envoya escadrons Espagnols état évêché de Fréjus fallait Flandre flotte Fontenoi général Gênes gouvernement Hollande isle Italie l'Angleterre l'armée l'Écosse l'électeur l'empereur Charles l'empire l'Europe l'infant Londres long-temps Lorraine Louis XV Louisbourg Madrass maison maître Makdonall maréchal de Belle-Isle maréchal de Maillebois maréchal de Saxe Marie-Thérese Mastricht ment Milanais mille hommes n'avait n'était Naples nation nommé officiers paix passer pere peuple Piémont port pouvait premier ministre premiere presque prince Charles prince de Conti prince Édouard pris Prusse régent régiment reine de Hongrie reste royaume Russes Sardaigne secours seul siege Silésie soldats stathouder sur-tout systême tête tion troupes vainqueur vaisseaux de guerre victoire
Pasajes populares
Página 118 - Messieurs des gardes françaises, tirez. » Le comte d'Auteroche, alors lieutenant des grenadiers et depuis capitaine, leur dit à voix haute : « Messieurs, nous ne tirons jamais les premiers ; tirez vous-mêmes...
Página 60 - Bien des gens savent, dit-il, combien j'ai été opposé aux résolutions que nous avons prises, et que j'ai été en quelque façon forcé d'y consentir. Votre Excellence est trop instruite de tout ce qui se passe pour ne pas deviner celui qui mit tout en œuvre pour déterminer le roi à entrer dans une ligue qui était si contraire à mon goût et à. mes principes. » Pour toute réponse, la reine de Hongrie fit imprimer la lettre du cardinal de Fleury.
Página 118 - Français en ôtant leurs chapeaux. Le comte de Chabanes, le duc de Biron, qui s'étaient avancés, et tous les officiers des gardes françaises leur rendirent le salut. Milord Charles Hay, capitaine aux gardes anglaises, cria : « Messieurs des gardes françaises, tirez.
Página 95 - ... cris. Le courrier qui apporta le 19 à Paris la nouvelle de sa convalescence fut embrassé et presque étouffé par le peuple : on baisait son cheval ; on le menait en triomphe. Toutes les rues retentissaient d'un cri de joie : « Le
Página 115 - Il lui servit de premier aide de camp, sacritiant la jalousie du commandement au bien de l'État, et s'oubliant soi-même pour un général étranger et moins ancien. Le maréchal de Saxe sentait tout le prix de cette magnanimité, et jamais on ne vit une union si grande entre deux hommes que la faiblesse ordinaire du coeur humain pouvait éloigner l'un de l'autre.
Página 14 - ... nouveautés. Il établit d'abord une banque en son propre nom, en 1716. Elle devint bientôt un bureau général des recettes du royaume. On y joignit une compagnie du Mississipi, compagnie dont on faisait espérer de grands avantages. Le public, séduit par l'appât du gain, s'empressa d'acheter avec fureur les actions de cette compagnie et de cette banque réunies. Les richesses, auparavant resserrées par la défiance, circulèrent avec profusion. Les billets doublaient, quadruplaient ces...
Página 206 - Alors il fallut se séparer de mademoiselle de Macdonald, et s'abandonner seul à sa destinée. Il marcha dix milles suivi d'un simple batelier. Enfin, pressé de la faim , et prêt à succomber, il se hasarda d'entrer dans une maison dont il savait bien que le maître n'était pas de son parti. « Le fils de votre roi, «lui dit-il, vient vous demander du pain et un habit.
Página 126 - ... étendards et les drapeaux percés de balles, les félicitations réciproques des officiers, qui s'embrassaient, formaient un spectacle dont tout le monde jouissait avec une joie tumultueuse. Le roi était tranquille, témoignant sa satisfaction et sa reconnaissance à tous les...