Histoire du Bas-Empire, Volumen 16Firmin Didot, 1834 |
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Términos y frases comunes
Alexis Andronic Antioche armée Arméniens armes assiégés attaquer avaient Axuch ayant Barbares bataille Branas Bulgares c'était camp Cantacuzène cheval Chron Cilicie Cinn Comnène comte comte d'Édesse comte de Tripoli Conrad Constantin Constantinople Contostéphane courage Cypre d'Alexis d'Andronic d'Édesse d'Isaac Danube déja députés dessein donna dronic Ducange empereur ennemis envoya Étienne faisait fille fils flotte force Frédéric frère graces Grecs guerre Guillaume habitants Hongrie Hongrois Isaac Jean Jean l'Ange Jérusalem jours l'Ange l'armée l'église l'em l'empe l'empereur grec laissa Latins Léon long-temps lui-même mains maître Manuel Mleh mort murailles n'avait n'était Nicet nommé nuel paix palais passer patriarche Patzinaces père pereur peuple Philippopoli porter prince d'Antioche princesse prison prisonniers prit protosébaste ravages reçut reste retour reur Roger s'était Saladin sauver secours seigneurs Sicile Siciliens siége soldats sorte stantinople Stypiote succès sultan d'Icone tête Théodore Thessalonique Thoros trône troupes trouva Turks vaisseaux Vatace Vénitiens vint XXVIII Zeugmine
Pasajes populares
Página 190 - Le sénat fit sentir à Emilius de quel avantage serait pour la république une victoire complète, et au contraire de combien de malheurs une défaite serait suivie. On l'exhorta de prendre bien son temps pour une action décisive , et de s'y conduire avec cette valeur et cette prudence qu'on admirait en lui, en un mot, d'une manière digne du nom romain. Dès que les consuls furent arrivés au camp, ils firent assembler les troupes, leur déclarèrent les intentions du sénat, et leur dirent, pour...
Página 457 - Liban, repousser les musulmans au-delà de l'Euphrate, anéantir même leur empire , et qu'il aurait sous ses ordres un peuple de satrapes , gouverneurs d'autant de royaumes , et plus puissants que les plus puissants monarques. Enivré de ces chimères, il ne sentait pas les maux présents; et, battu par les ennemis , méprisé de ses sujets, il triomphait d'avance des grands succès qu'il se figurait dans les ombres de l'avenir. Les Bulgares et les Valaques, glorieux à meilleur AH n93. droit de...
Página 185 - ... qu'ils ont cessé d'être méprisés par les patriciens». Ces discours firent tant d'impression, que, quoique Varron est Varron eût cinq compétiteurs , dont trois étaient patri- cons™î! ciens , deux de familles plébéiennes , mais illustrées depuis long-temps, on le créa seul consul, afin qu'il présidât aux assemblées dans lesquelles on lui donnerait un collègue. La noblesse jeta alors les yeux sur Paul Emile, qui oniuîdouue avait été consul avec M. Livius l'année qui précéda...
Página 404 - Ni sa voix ni son exemple ne peuvent les rassurer. Désespéré de leur lâcheté, il court luimême à Conrad. La mort de ce brave guerrier eût décidé la victoire. Il lui lance son javelot, qui ne fait que lui effleurer l'épaule. Conrad, empoignant sa pique à deux mains, la lui porte au visage , et le renverse à bas de son cheval. Comme Branas demandait quartier ; ne crains rien , lui dit Conrad , il ne t'en coûtera que la tête, et aussitôt il le fait expédier par ses gardes. L'empereur,...
Página 373 - ... tyrannie. On lui meurtrit les joues à coups de poing , on lui arracha la barbe , on lui fit sauter les dents hors de la bouche. Les femmes surtout dont il avait fait mourir ou aveugler les maris, signalaient leur vengeance.
Página 457 - Bulgares avaient repris les hostilités et ravageaient les provinces voisines du Danube. L'empereur qui régnait alors était Isaac II. Il s'était assuré, sur la foi de certains flatteurs, une victoire facile ; il ne trouva qu'un échec honteux. « En partant de la ville, il s'était vanté qu'il y rentrerait tout rayonnant de gloire : abusé par les prétendus devins qui se jouaient de sa crédulité, il s'était persuadé que la Providence divine avait abrégé le règne d'Andronic... et qu'elle...
Página 383 - Il s'était tellement rendu maître de toutes les entrées , que personne n'approchait de l'empereur sans son agrément, et il ne le donnait qu'à ses créatures. Cet écolier se soutint dans le ministère par sa fidélité à remettre à l'empereur tout ce qu'il avait l'industrie d'attirer à lui.
Página 112 - Taurns, disparurent et les abandonnèrent à la merci des Turcs, qui, voltigeant autour d'eux avec leur cavalerie légère, les accablant de traits et échappant à la poursuite, réduisirent cette grande armée en tel état qu'il n'en restait pas la dixième partie (2.) Pendant ce temps le roi de France était arrivé à...
Página 184 - ... avait exercé sous son père les ministères les plus vils de cette profession, se trouvant un bien assez considérable, osa aspirer à une plus haute fortune. Il s'attacha au barreau et aux assemblées du peuple; et, à force de prendre le parti et de plaider les causes des plus méprisables citoyens contre les premiers de la république, dont il attaquait en même temps la fortune et la réputation , il vint à bout de se faire connaître, et se fraya un chemin aux charges de la république....
Página 189 - Il parla de Varron avec beaucoup de ménagement et « de retenue , si ce n'est qu'il avoua « qu'il avait peine « à concevoir comment un général , avant que de con...