Annales du Musée et de l'Ecole moderne des beaux-arts, Volumen 21 |
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... Pharnace eût en effet mérité ce courroux ? Pharnace aurait - il part à ce désordre extrême ? M ON I M E. Pharnace ? ô ciel ! Pharnace ! Ah ! qu'entends - je moi - même ? Ce n'est donc pas assez que ce funeste jour A tout ce que j'aimais ...
... Pharnace eût en effet mérité ce courroux ? Pharnace aurait - il part à ce désordre extrême ? M ON I M E. Pharnace ? ô ciel ! Pharnace ! Ah ! qu'entends - je moi - même ? Ce n'est donc pas assez que ce funeste jour A tout ce que j'aimais ...
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... Pharnace eût en effet mérité ce courroux ? Pharnace aurait - il part à ce désordre extrême ? MONIM E. Pharnace ? ô ciel ! Pharnace ! Ah ! qu'entends - je moi - même ? Ce n'est donc pas assez que ce funeste jour A tout ce que j'aimais m ...
... Pharnace eût en effet mérité ce courroux ? Pharnace aurait - il part à ce désordre extrême ? MONIM E. Pharnace ? ô ciel ! Pharnace ! Ah ! qu'entends - je moi - même ? Ce n'est donc pas assez que ce funeste jour A tout ce que j'aimais m ...
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... Pharnace , ai - je adressé ma plainte ? Sous quel appui tantôt mon cœur s'est - il jeté ? Quel amour ai - je enfin sans colère écouté ? XIPHARÈS . O ciel quoi , je serais ce bienheureux coupable Que vous avez pu voir d'un regard ...
... Pharnace , ai - je adressé ma plainte ? Sous quel appui tantôt mon cœur s'est - il jeté ? Quel amour ai - je enfin sans colère écouté ? XIPHARÈS . O ciel quoi , je serais ce bienheureux coupable Que vous avez pu voir d'un regard ...
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... Pharnace presse Monime d'accepter sa main et de le suivre dans ses états . Xipharès , aimé en secret de Monime , est présent à cet entretien . Monime refuse de s'embarquer avec Pharnace ; elle lui rappelle son hymen avec Mithridate , et ...
... Pharnace presse Monime d'accepter sa main et de le suivre dans ses états . Xipharès , aimé en secret de Monime , est présent à cet entretien . Monime refuse de s'embarquer avec Pharnace ; elle lui rappelle son hymen avec Mithridate , et ...
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... Pharnace a ré- vélé les desseins de son père , et qui , effrayés du seul nom de Rome , refusent de s'embarquer avec leur roi pour venger sur les Romains leur commune injure . MITHRIDAT E. Ah ! le traître ! Courez , qu'on appelle son ...
... Pharnace a ré- vélé les desseins de son père , et qui , effrayés du seul nom de Rome , refusent de s'embarquer avec leur roi pour venger sur les Romains leur commune injure . MITHRIDAT E. Ah ! le traître ! Courez , qu'on appelle son ...
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Términos y frases comunes
acte Ier Agamemnon Aman amant amour Andre Mantegna Andromaque Anges Arcas Assuérus Athalie Axiane Bajazet Bas sc Bas-relief Bassan Bérénice Britannicus Bruno Calchas Chaudet int Chloé ciel cloître cœur Compl composition Croix cruel d'Iphigénie Daphnis déja desirer Dessin Devilliers l'ainé sc Didot dieux douleur Ecole bolonaise Ecole flamande Ecole florentine Ecole hollandaise Ecole romaine Ecole vénitienne Esther Etéocle fille fils Francesco François frère Galerie du Musée Gérard Gerard int Girodet gloire goût Hermione Hippolyte int Devilliers int Normand Iphigénie Ire Coll Jean Jésus-Christ Joas Jocaste Junie l'amour L'artiste l'Enfant Jésus madame Mantegna Marie de Médicis Mithridate Moitte Monime mort Néron Normand sc Oreste ouvrages Paul Véronèse Paysage peintre père Peyron Pharnace Phèdre Planche pleurs Polynice Porus prince Prud'hon Psyché Pyrrhus Rome Roxane sainte Sainte-Famille sang scène seigneur Serangeli Sueur sujet tableau Titus tragédie Tre Coll Vénus Vierge Virgile Xipharès XVII yeux
Pasajes populares
Página 101 - Loin du trône nourri, de ce fatal honneur Hélas! vous ignorez le charme empoisonneur; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple, obéissent aux rois; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Página 55 - Venge-toi, punis-moi d'un odieux amour. Digne fils du héros qui t'a donné le jour, Délivre l'univers d'un monstre qui t'irrite. La veuve de Thésée ose aimer Hippolyte! Crois-moi, ce monstre affreux ne doit point t'échapper.
Página 78 - Toute pleine du feu de tant de saints prophètes, Allez, osez au roi déclarer qui vous êtes. ESTHER. Hélas! ignorez-vous quelles sévères lois Aux timides mortels cachent ici les rois? Au fond de leur palais leur majesté terrible Affecte à leurs sujets de se rendre invisible...
Página 78 - Vous ne répondez point?... Perfide, je le voi, Tu comptes les moments que tu perds avec moi.
Página 102 - Phœdime, il fallait me pleurer Quand d'un titre funeste on me vint honorer, Et lorsque m'arrachant du doux sein de la Grèce, Dans ce climat barbare on traîna ta maîtresse. Retourne maintenant chez ces peuples heureux ; Et, si mon nom encor s'est conservé chez eux, Dis-leur ce que tu vois ; et de toute ma gloire, Phœdime, conte-leur la malheureuse histoire.
Página 101 - Corrompant de vos mœurs l'aimable pureté, Ils vous feront enfin haïr la vérité, Vous peindront la vertu sous une affreuse image. Hélas! ils ont des rois égaré le plus sage.
Página 55 - Crois-moi, ce monstre affreux ne doit point t'échapper. Voilà mon cœur. C'est là que ta main doit frapper. Impatient déjà d'expier son offense, Au-devant de ton bras je le sens qui s'avance. Frappe. Ou si tu le crois indigne de tes coups, Si ta haine m'envie un supplice si doux, Ou si d'un sang trop vil ta main serait trempée, Au défaut de ton bras prête-moi ton épée.
Página 78 - Adieu, déjà je sens dans un nuage épais Nager mes yeux éteints et fermés pour jamais. Adieu, mon cher Orphée, Eurydice expirante En vain te cherche encor de sa main défaillante. L'horrible mort, jetant son voile autour de moi, M'entraîne loin du jour, hélas ! et loin de toi. Elle dit, et soudain dans les airs s'évapore; Orphée en vain l'appelle, en vain la suit encore, II n'embrasse qu'une ombre ; et l'horrible nocher De ces bords désormais lui défend d'approcher. Alors, deux fois privé...
Página 78 - Ah ! fallait-il en croire une amante insensée ? Ne devais-tu pas lire au fond de ma pensée? Et ne voyais-tu pas , dans mes emportements , Que mon cœur démentait ma bouche à tous moments? Quand je l'aurais voulu , fallait-il y souscrire? N'as-tu pas dû cent fois te le faire redire?
Página 78 - Dans ton perfide sang je puis tout expier, Et ta mort suffira pour me justifier. N'en doute point, j'y cours, et dès ce moment même... Bajazet, écoutez : je sens que je vous aime; Vous vous perdez.