Petite encyclopédie poétique; ou, Choix de poésies dans tous les genres, Volumen 13Capelle et Cie., 1805 |
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... rois sert beaucoup à l'avancement des arts : or , on sait que David fut toute sa vie grand musicien . S'il est permis de juger de ce que l'on ne connaît pas distinctement , je crois que cette musique était fort simple , et que sa beauté ...
... rois sert beaucoup à l'avancement des arts : or , on sait que David fut toute sa vie grand musicien . S'il est permis de juger de ce que l'on ne connaît pas distinctement , je crois que cette musique était fort simple , et que sa beauté ...
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... rois , ó mon appui , ó mon doux ornement ! il y en a qui se plai- sent d'avoir amassé en courant la poussière olym- pique , et que la borne évitée par les roues brûlantes , et la palme illustre , élève aux dieux maîtres des Lerres ...
... rois , ó mon appui , ó mon doux ornement ! il y en a qui se plai- sent d'avoir amassé en courant la poussière olym- pique , et que la borne évitée par les roues brûlantes , et la palme illustre , élève aux dieux maîtres des Lerres ...
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... rois . Saül règne : il n'est plus ; un berger le remplace ; L'espoir des nations doit sortir de sa race . Le plus vaillant des rois du plus sage est suivi . Accourez , accourez , descendans de Lévi , Et du temple éternel venez marquer l ...
... rois . Saül règne : il n'est plus ; un berger le remplace ; L'espoir des nations doit sortir de sa race . Le plus vaillant des rois du plus sage est suivi . Accourez , accourez , descendans de Lévi , Et du temple éternel venez marquer l ...
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Soient gravés de ta main au livre où sont écrits Les noms prédestinés des rois que tu chéris ! Tu m'écoutes ; ma voix ne t'est point étrangère : Je suis la Piété , cette fille si chère , Qui t'offre de ce roi les plus tendres soupirs ...
Soient gravés de ta main au livre où sont écrits Les noms prédestinés des rois que tu chéris ! Tu m'écoutes ; ma voix ne t'est point étrangère : Je suis la Piété , cette fille si chère , Qui t'offre de ce roi les plus tendres soupirs ...
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... roi le visage sévère ; Des éclairs de ses yeux l'œil était ébloui , Et sa voix m'a paru comme un tonnerre horrible . Comment ce courroux si ... rois est ainsi dans ta main . ÉLISE . Ah ! que je crains , mes sœurs POÉSIES SACRÉES . 51.
... roi le visage sévère ; Des éclairs de ses yeux l'œil était ébloui , Et sa voix m'a paru comme un tonnerre horrible . Comment ce courroux si ... rois est ainsi dans ta main . ÉLISE . Ah ! que je crains , mes sœurs POÉSIES SACRÉES . 51.
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 34 - De ce jour à jamais auguste et renommé, Quand, sur ton sommet enflammé, Dans un nuage épais le Seigneur enfermé Fit luire aux yeux mortels un rayon de sa gloire. Dis-nous pourquoi ces feux et ces éclairs, Ces torrents de fumée, et ce bruit dans les airs, Ces trompettes et ce tonnerre. Venait-il renverser l'ordre des éléments ? Sur ses antiques fondements Venait-il ébranler la terre ? UNE AUTRE.
Página 41 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide. 1145 De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé. Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes?
Página 57 - Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n'accomplis jamais ; Je veux ; mais, ô misère extrême ! Je ne fais pas le bien que j'aime Et je fais le mal que je hais.
Página 37 - Tel en un secret vallon, Sur le bord d'une onde pure, Croît à l'abri de l'aquilon Un jeune lis, l'amour de la nature.
Página 35 - O justice, ô bonté suprême ! Que de raisons, quelle douceur extrême D'engager à ce Dieu son amour et sa foi ! UNE voix, seule. D'un joug cruel il sauva nos aïeux, Les nourrit au désert d'un pain délicieux ; II nous donne ses lois, il se donne lui-même : Pour tant de biens, il commande qu'on l'aime.
Página 58 - Dieu par la contemplation de ses ouvrages. -L/Es cieux instruisent la terre A révérer leur auteur : Tout ce que leur globe enserre Célèbre un Dieu créateur. Quel plus sublime cantique Que ce concert magnifique De tous les célestes corps! Quelle grandeur infinie ! Quelle divine harmonie Résulte de leurs accords ! De sa. puissance immortelle Tout parle , tout nous instruit ; Le jour au jour la révèle , La nuit l'annonce à la nuit.
Página 33 - Tout l'univers est plein de sa magnificence ; Qu'on l'adore, ce Dieu; qu'on l'invoque à jamais: Son empire a des temps précédé la naissance ; Chantons, publions ses bienfaits.
Página 40 - Sagesse éternelle! Mais, si tu les soutiens, qui peut les ébranler? Du tombeau, quand tu veux, tu sais nous rappeler; Tu frappes et guéris, tu perds et ressuscites. Ils ne s'assurent point en leurs propres mérites, Mais en ton nom sur eux. invoqué tant de fois, En tes serments jurés au plus saint de leurs rois, En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée.
Página 52 - Qui s'entr'ouvrait sous mes pas ; Son secours me fortifie Et me fait trouver la vie Dans les horreurs du trépas.
Página 50 - J'ai vu mes tristes journées Décliner vers leur penchant : Au midi de mes années Je touchais à mon couchant. La mort, déployant ses ailes, Couvrait d'ombres éternelles La clarté dont je jouis ; Et, dans cette nuit funeste, Je cherchais en vain le reste De mes jours évanouis. Grand Dieu ! votre main réclame I f ' Les dons que j'en ai reçus ; Elle vient couper la trame Des jours qu'elle m'a tissus.