Port-Royal, Volume 1Hachette, 1867 - 3253 pages |
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... juge , là où elle n'avait pas triom- phé , avait été une grande cause d'ébranlement . Les railleurs et les douteurs , comme Rabelais ou Montaigne , bien qu'encore isolés , levaient la tête en plus d'un en- droit . L'intelligence vraie ...
... juge , là où elle n'avait pas triom- phé , avait été une grande cause d'ébranlement . Les railleurs et les douteurs , comme Rabelais ou Montaigne , bien qu'encore isolés , levaient la tête en plus d'un en- droit . L'intelligence vraie ...
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... juge ; le Père Bernard , l'autre capucin plus emporté , était présent . Le Père Pacifique , bien que plus spirituel et mis plus tard au rang des Bien- heureux , cherchait à concilier humainement , à ajour- à ne rien vouloir d'impossible ...
... juge ; le Père Bernard , l'autre capucin plus emporté , était présent . Le Père Pacifique , bien que plus spirituel et mis plus tard au rang des Bien- heureux , cherchait à concilier humainement , à ajour- à ne rien vouloir d'impossible ...
Page 104
... juge bons et salutaires au pied de la raison , en répudiant tout à côté , en retran- chant les moyens ascétiques minutieux ou durs , qu'on jugerait déraisonnables et excessifs . Tout s'y tient ; la charité sort de l'austérité et y ...
... juge bons et salutaires au pied de la raison , en répudiant tout à côté , en retran- chant les moyens ascétiques minutieux ou durs , qu'on jugerait déraisonnables et excessifs . Tout s'y tient ; la charité sort de l'austérité et y ...
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... juge la plus belle . Le dix - huitième siècle lui rendit aussi pleine justice , tout dix - huitième siècle qu'il était . Voltaire , dans ce Commentaire , grammaticalement si léger , sur Corneille , met pourtant le doigt sur les grands ...
... juge la plus belle . Le dix - huitième siècle lui rendit aussi pleine justice , tout dix - huitième siècle qu'il était . Voltaire , dans ce Commentaire , grammaticalement si léger , sur Corneille , met pourtant le doigt sur les grands ...
Page 135
... juge cette naissante religion dans un sentiment qui est de sympathie et d'impar- tialité : Je te dirai bien plus , mais avec confidence : La secte des Chrétiens n'est pas ce que l'on pense ; On les hait , la raison je ne la connais ...
... juge cette naissante religion dans un sentiment qui est de sympathie et d'impar- tialité : Je te dirai bien plus , mais avec confidence : La secte des Chrétiens n'est pas ce que l'on pense ; On les hait , la raison je ne la connais ...
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Expressions et termes fréquents
âmes Antoine Arnauld assez avoit beau Bossuet c'était Camus cardinal catholique charité chose chrétienne Citeaux cloître cœur confesseur Corneille Cyran d'Andilly dévotion Dieu Dioclétien dire disait dix-septième siècle doctrine écrit écrivait esprit étoit évêque Fénelon fille François de Sales Henri IV homme j'ai Jansénisme Jansénius Jésuites Jésus-Christ jeune Angélique jour Journée du Guichet juge l'abbaye l'abbé l'abbesse l'âme l'Église l'esprit l'évêque laisser Lancelot lettre livre lui-même madame Arnauld madame d'Estrées madame Le Maître maison Marion Maubuisson ment mère Agnès mère Angélique monastère monde mort n'avait Néarque parler paroles Pascal passer Pauline pénitence pensée Père poëte Polyeucte Port-Royal pourtant premier presque prêtre Racine réforme religieuses religion reste Richelieu rien Rome Rotrou s'en s'était sacrement saint Augustin saint François Saint Genest Saint-Cyran semble sens sentiment serait Séricourt seul Sévère Singlin solitaires sorte spirituelle sujet surtout théologie tion trouve Utrecht vérité Vincent Vincent de Paul voilà vrai Zamet
Fréquemment cités
Page 136 - Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 123 - Il est toujours tout juste et tout bon; mais sa grâce Ne descend pas toujours avec même efficace; Après certains moments que perdent nos longueurs, Elle quitte ces traits qui pénètrent les cœurs; Le nôtre s'endurcit, la repousse, l'égare : Le bras qui la versait en devient plus avare, Et cette sainte ardeur qui doit porter au bien Tombe plus rarement, ou n'opère plus rien.
Page 558 - On ne montre pas sa grandeur pour être à une extrémité, mais bien en touchant les deux à la fois, et remplissant tout l'entre-deux.
Page 411 - L'intrépidité d'un homme incrédule, mais mourant, ne peut le garantir de quelque trouble, s'il raisonne ainsi : Je me suis trompé mille fois sur mes plus palpables intérêts, et j'ai pu me tromper encore sur la religion. Or, je n'ai plus le temps ni la force de l'approfondir, et je meurs...
Page 133 - Chez nos dévots aïeux, le théâtre abhorré Fut longtemps dans la France un plaisir ignoré. De pèlerins, dit-on, une troupe grossière En public à Paris y monta la première; Et, sottement zélée en sa simplicité, Joua les Saints, la Vierge et Dieu, par piété.
Page 174 - D'un astre impérieux doit suivre les caprices! Et Delphes , malgré nous , conduit nos actions Au plus bizarre effet de ses prédictions? L'âme est donc toute esclave? Une loi souveraine Vers le bien ou le mal incessamment l'entraîne, Et nous ne recevons ni crainte ni désir De cette liberté qui n'a rien à choisir? Attachés sans relâche à cet ordre sublime, Vertueux sans mérite et vicieux...
Page 126 - Vous remplissez un cœur qui vous peut recevoir : De vos sacrés attraits les âmes possédées Ne conçoivent plus rien qui les puisse émouvoir.
Page 174 - D'un tel aveuglement daignez me dispenser. Le ciel, juste à punir, juste à récompenser, Pour rendre aux actions leur peine ou leur salaire, Doit nous offrir son aide, et puis nous laisser faire.
Page 412 - Les premiers jours du printemps ont moins de grâce que la vertu naissante d'un jeune homme...
Page 154 - Ont acquis dans la scène un légitime bruit, Et de qui certes l'art comme l'estime est juste , Portent les noms fameux de Pompée et d'Auguste; Ces poèmes sans prix , où son illustre main D'un pinceau sans pareil a peint l'esprit romain, Rendront de leurs beautés votre oreille idolâtre, Et sont aujourd'hui l'âme et l'amour du théâtre.