La bataille de Rocourt: 1746

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Editions du CEFAL, 2000 - 79 páginas

Le 11 octobre 1746, les troupes françaises du Maréchal de Saxe (environ 120.000 hommes) affrontent à Rocourt les contingents alliés (plus ou moins 90.000 soldats, principalement autrichiens, anglais et hollandais) dirigés par le prince Charles de Lorraine. Durant plusieurs heures, les alliés disputent pied à pied le champ de bataille aux Français. Ceux-ci finissent par contourner la gauche alliée en s’écoulant entre le faubourg Sainte-Walburge et les positions retranchées des alliés à Ans. Lorsque sa droite gagne du terrain, Maurice de Saxe passe à l’attaque au milieu et enlève l’un après l’autre les trois villages formant le centre allié, soit Voroux, Rocourt et Liers. Cette percée est cependant trop tardive : les Français n’arrivent pas à détruire les troupes ennemies avant la tombée de la nuit ; les alliés peuvent même retraiter sans être réellement inquiétés. Les pertes sont importantes : de 4 à 13.000 alliés contre 2 à 10.000 Français. Grâce à sa victoire de Rocourt, la France assure sa mainmise sur les territoires de l’actuelle Belgique. Elle les rendra seulement à la conclusion de la paix générale en 1748.  

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Índice

Introduction
9
Nos régions et les opérations militaires
15
La bataille
29
La fin de la campagne
53
Les quartiers dhiver 17461747
59
La fin de la guerre
75
Página de créditos

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Sobre el autor (2000)

MIGUEL LAMBOTTE est historien (U.Lg, 1985). Après des études de bibliothécaire (ISIS, 1986) puis de documentaliste (ULB, Infodoc, 1988), il entame une carrière de consultant en informatique dans le secteur public. Marié et père de trois enfants, il est aussi le responsable de la bibliothèque communale de Juprelle ; cette bibliothèque est implantée en deux lieux, Voroux qui, le 11 octobre 1746, était au centre du dispositif de défense allié ; et Lantin, d’où, à l’aube de cette même journée, une partie des troupes françaises étaient montées à l’assaut. Pour un historien, quel retour aux sources! Ce livre aurait perdu en saveur sans les talents graphiques du peintre-dessinateur liégeois Jean Dengis qui a traduit visuellement plusieurs épisodes-clés par les illustrations disséminées dans l’ouvrage. Sa collection de gravures d’époque et de photographies diverses a grandement enrichi le livre. 

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