SE TROUVENT AUSSI chez l'éditeur, rue christine, N.o 3, A PARIS; ET CHEZ LES PRINCIPAUX LIBRAIRES DE FRANCE ET DE L'ÉTRANGER. DE L'IMPRIMERIE DE I. JACOB, A VERSAILLES. DU CHANCELIER D'AGUESSEAU. NOUVELLE ÉDITION, AUGMENTÉE DE PIÈCES ÉCHAPPÉES AUX PREMIERS ÉDITEURS, PAR M. PARDESSUS, PROFESSEUR A LA FACULTÉ DE DROIT DE PARIS. TOME HUITIEME, CONTENANT DES MEMOIRES SUR DIVERS SUJETS. PARIS, FANTIN ET COMPAGNIE, LIBRAIRES, H. NICOLLE, A LA LIBRAIRIE STEREOTYPE, RUE DE SEINE, N.o 12% DE PELAFOL, RUE DES GRANDS-AUGUSTINS, N.o 21. M. DCCC. XIX. DES DIFFÉRENS OUVRAGES CONTENUS DANS LE TOME HUITIÈME. 2.c 3.e Pag. 17 1.er Mém. Pour prouver que le Bourbonnois est Pour établir que la terre de Breval est un domaine de la couronne. Pour prouver que la vicomté de Martigues est un ancien domaine de la maison des Baux, qui relevoit en plein fief du comté de Provence. 33 4.e 5.e 6.€ Sur le droit de la grand'chambre du parlement de Paris, de connoître Pour prouver que les fiefs et les offices crime de lèse-majesté appartiennent au roi, sans charge de dettes. . . Où l'on prouve que le roi peut dis- poser des charges de ceux qui ont 62 ΙΟΙ |