Des erreurs et des préjugés répandus dans les dix-huitième et dix-neuvième siècles, Volumen 2J. G. Dentu, 1828 |
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... reste comme les loups , les renards , les cerfs qui << habitent les forêts . » Helvétius se mit à l'œuvre . Montesquieu avait fait l'Esprit des lois , et son livre était devenu le bréviaire des souverains . L'ambitieux Helvétius voulut ...
... reste comme les loups , les renards , les cerfs qui << habitent les forêts . » Helvétius se mit à l'œuvre . Montesquieu avait fait l'Esprit des lois , et son livre était devenu le bréviaire des souverains . L'ambitieux Helvétius voulut ...
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... reste de ses jours . Rien n'égalait l'activité de sa correspondance et de ses travaux littéraires . Il ani- mait sans cesse le zèle de ses frères . « Je fais comme ( 1 ) Brown , prédicateur dont les sermons sont estimés en Ecosse ...
... reste de ses jours . Rien n'égalait l'activité de sa correspondance et de ses travaux littéraires . Il ani- mait sans cesse le zèle de ses frères . « Je fais comme ( 1 ) Brown , prédicateur dont les sermons sont estimés en Ecosse ...
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... reste de ses frères n'en voulait pas plus que lui . L'infâme avait pour défenseurs des gens peu endurans . Les plus braves apôtres tremblaient devant les réquisitoires des Joly de Fleury et des Séguier . La Sorbonne avait ses Riballier ...
... reste de ses frères n'en voulait pas plus que lui . L'infâme avait pour défenseurs des gens peu endurans . Les plus braves apôtres tremblaient devant les réquisitoires des Joly de Fleury et des Séguier . La Sorbonne avait ses Riballier ...
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... reste de la lettre respirait l'insouciance la plus déplo– rable , et finissait ainsi : Ces mots sont mon dernier hommage ; Je pars pour arriver au trou Les parlemens et le clergé s'étaient persuadés que l'exemple terrible ( 45 )
... reste de la lettre respirait l'insouciance la plus déplo– rable , et finissait ainsi : Ces mots sont mon dernier hommage ; Je pars pour arriver au trou Les parlemens et le clergé s'étaient persuadés que l'exemple terrible ( 45 )
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... reste de la nation . On lui reprochait les fureurs de la ligue , les attentats commis contre la personne de Henri IV , un fanatisme invincible , la destruction de Port - Royal , la guerre sanglante des Cévennes , une soif de domi ...
... reste de la nation . On lui reprochait les fureurs de la ligue , les attentats commis contre la personne de Henri IV , un fanatisme invincible , la destruction de Port - Royal , la guerre sanglante des Cévennes , une soif de domi ...
Términos y frases comunes
aérostat âme assignats avaient ballon Berbiguier bonnet rouge bouche de fer c'était catholique célèbre CHAPITRE ciel citoyen clergé club cœur congrégations Convention Convention nationale croix culte curé d'Eslon démon devant dévotion docteur donner écrits enfans esprits Etats eût évêques fanatisme farfadets femmes fluide universel foule frères frères Montgolfier Gallardon gens Gerle Gluck hommes jacobins jésuites jeune jonglerie jour l'abbé l'âme l'Assemblée l'Eglise l'esprit l'Etat l'évêque lettres liberté livres long-temps Louis XIV Lyon magnétisme magnétisme animal main Marmontel Martin ment mère de Dieu Mesmer ministre miracles mœurs Mont-Rouge Montgolfier mort n'avait n'était Nativité nommé paradis passer Père Liguori peuple philosophie Piccini Pilatre de Rosier ples poëte porte pouvait premier prêtres prince prophète Prusse public Raison religieux religion rent reste révérend Père révolution rien rois s'était saint sans-culottes serait seul sibylles société sœur sortes suiv superstition temples tête teur théophilanthropie tion trouva Vadier venait Villamagna visions Voltaire voulut
Pasajes populares
Página 282 - Seigneur, dans cet aveu dépouillé d'artifice, J'aime à voir que du moins vous vous rendiez justice, Et que, voulant bien rompre un nœud si solennel. Vous vous abandonniez au crime en criminel. Est-il juste, après tout, qu'un conquérant s'abaisse...
Página 283 - Réserve à d'autres yeux la gloire de vous plaire, Achevez votre hymen, j'y consens; mais, du moins, Ne forcez pas mes yeux d'en être les témoins. Pour la dernière fois je vous parle peut-être ; Différez-le d'un jour, demain vous serez maître Vous ne répondez point?...
Página 89 - Je soussigné, déclare qu'étant attaqué depuis quatre jours d'un vomissement de sang à l'âge de quatre-vingt-quatre ans, et n'ayant pu me traîner à l'église, et M. le Curé de Saint-Sulpice ayant bien voulu ajouter à ses bonnes œuvres celle de m'envoyer M. l'abbé Gauthier prêtre, je me suis confessé à lui; et que si Dieu dispose de moi, je meurs dans la sainte religion...
Página 316 - Descends, ô Liberté ! fille de la Nature ; Le peuple a reconquis son pouvoir immortel. Sur les pompeux débris de l'antique imposture, Ses mains relèvent ton autel.
Página 329 - Citoyens républicains, il est enfin arrivé ce jour à jamais fortuné que le peuple français consacre à l'Être suprême. Jamais le monde qu'il a créé ne lui offrit un spectacle aussi digne de ses regards. Il a vu régner sur la terre la tyrannie, le crime et l'imposture ; il voit dans ce moment une nation entière, aux prises avec tous les oppresseurs du genre humain, suspendre le cours de ses travaux héroïques pour élever sa pensée et ses vœux -vers le grand...
Página 326 - Divinité n'existe pas, ô toi qui te passionnes pour cette aride doctrine et qui ne te passionnas jamais pour la patrie ? Quel avantage trouves-tu à persuader à l'homme qu'une force aveugle préside à ses destinées et frappe au hasard le crime et la vertu...
Página 315 - Nous n'avons point offert nos sacrifices à de vaines images, à des idoles inanimées. Non, c'est un chef-d'œuvre de la. nature que nous avons choisi pour la représenter, et cette image sacrée a enflammé tous les cœurs. Un seul vœu, un seul cri s'est fait entendre de toutes parts. Le peuple a dit : Plus de prêtres, plus d'autres dieux que ceux que la nature nous offre.
Página 42 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent. La lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion; et alors ce sera un beau tapage. Les jeunes gens sont bien heureux; ils verront de belles choses.
Página 317 - Qu'à tes pieds, 6 déesse, ils tombent désormais. Bientôt sur le cercueil des tyrans de la terre Les peuples vont jurer la paix. Guerriers, libérateurs, race puissante et brave...
Página 91 - Celui que dans Athène eût adoré la Grèce , Que dans Rome à sa table Auguste eût fait asseoir, Nos Césars d'aujourd'hui n'ont pas voulu le voir, Et monsieur de Bcaumont lui refuse une messe.