Le théatre des grecs, Volumen 6Cussac, 1821 |
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... hélas ! qui vient vers vous . Polynice , >> tournez les yeux à votre tour sur votre frère . >> Cette vue vous disposera à lui parler et à l'en- >> tendre avec plus de tranquillité . Je n'ai plus » qu'un conseil à vous donner . Songez ...
... hélas ! qui vient vers vous . Polynice , >> tournez les yeux à votre tour sur votre frère . >> Cette vue vous disposera à lui parler et à l'en- >> tendre avec plus de tranquillité . Je n'ai plus » qu'un conseil à vous donner . Songez ...
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... hélas ! elle n'en est sortie qu'en emportant toute leur félicité . C'est · elle qui vous transporte , mon fils . Eh ! ne serait - il pas plus honorable pour vous d'aimer cette égalité précieuse qui lie entr'eux les amis , les guerriers ...
... hélas ! elle n'en est sortie qu'en emportant toute leur félicité . C'est · elle qui vous transporte , mon fils . Eh ! ne serait - il pas plus honorable pour vous d'aimer cette égalité précieuse qui lie entr'eux les amis , les guerriers ...
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... hélas ! si vous prenez Thèbes , » ( dieux , écartez ce présage ! ) comment érigerez- » vous des trophées ? Comment offrirez - vous des sa- > crifices ? De quelle inscription marquerez - vous » les dépouilles sur le bord du fleuve qui ...
... hélas ! si vous prenez Thèbes , » ( dieux , écartez ce présage ! ) comment érigerez- » vous des trophées ? Comment offrirez - vous des sa- > crifices ? De quelle inscription marquerez - vous » les dépouilles sur le bord du fleuve qui ...
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... Hélas ! je le sais trop , c'est » une victoire impie et honteuse , mais nécessaire , » que j'ose vous demander . Ces mots ont arraché >> des larmes aux soldats . Ils s'entre - regardaient >> en plaignant la cruelle nécessité où était ...
... Hélas ! je le sais trop , c'est » une victoire impie et honteuse , mais nécessaire , » que j'ose vous demander . Ces mots ont arraché >> des larmes aux soldats . Ils s'entre - regardaient >> en plaignant la cruelle nécessité où était ...
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... hélas ! cet en- › nemi m'est encore cher . Je vous demande pour » dernière faveur , de ne pas me refuser un tom✩ » beau dans ma patrie , et d'apaiser Thèbes ir- >> ritée . L'honneur du tombeau dans le pays thé- » bain me tiendra lieu ...
... hélas ! cet en- › nemi m'est encore cher . Je vous demande pour » dernière faveur , de ne pas me refuser un tom✩ » beau dans ma patrie , et d'apaiser Thèbes ir- >> ritée . L'honneur du tombeau dans le pays thé- » bain me tiendra lieu ...
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Términos y frases comunes
ACTE Adraste affreux ANTIGONE Argiens Argos armée assez bouclier bras Brumoy Cadmus CDIPE CEDIPE char cher chœur citoyens cœur combat confidente Corinthe Corinthiens Corneille crainte Créon Créüse crime cruel d'Argos d'Étéocle d'Euripide d'OEdipe dieux discours dit-il douleur doux ÉGÉE enfans ennemis épouse époux Éson ÉTÉOCLE Euripide exil femmes fille fils frère funeste fureur gémissemens GOUVERNEUR guerriers haine Hélas Hémon heureux hymen infortunée Iolcos j'ai Jason Jocaste Jupiter l'amour l'exil l'hymen Laïus larmes lieux lynice main maison malheureux maux Médée Ménécée mère MESSAGER mort mortel NOURRICE OEdipe oracle outrages palais paraît parricide patrie Pélias père perfide Phéniciennes pleure poëte grec Polynice porte premier prince princesse qu'Euripide Racine reste robe Rotrou sang scène sceptre scholiaste Sénèque sent sentimens seul sœur sort spectateur sujet tendre tendresse terre Théano théâtre Thébaïde Thébains Thèbes TIRÉSIAS tragédie trahi trône Tydée vengeance veut veux vieillard vient Voilà vois yeux
Pasajes populares
Página 251 - Vous ne répondez point! Perfide, je le voi, Tu comptes les moments que tu perds avec moi ! Ton cœur, impatient de revoir ta Troyenne, Ne souffre qu'à regret qu'une autre t'entretienne.
Página 262 - Qu'en nobles sentiments il soit partout fécond , Qu'il soit aisé, solide, agréable, profond, Que de traits surprenants sans cesse il nous réveille; Qu'il coure dans ses vers de merveille en merveille; Et que tout ce qu'il dit, facile à retenir, De son ouvrage en nous laisse un long souvenir. Ainsi la tragédie agit, marche et s'explique.
Página 277 - Forcez l'aveuglement dont vous êtes séduite, Pour voir en quel état le sort vous a réduite. Votre pays vous hait, votre époux est sans foi : Dans un si grand revers que vous reste-t-il?
Página 324 - J'immolerois mes fils! ô trop barbare mère! Ah ! plutôt. . . L'heure approche ; un exil rigoureux , Un divorce cruel va me séparer d'eux; Ils n'adouciront point ma fuite et mes alarmes: S'attachant à leur mère, et tout baignés de larmes, De mes bras, de mon sein on va les détacher; A l'amour maternel on va les arracher.
Página 251 - ... t'entretienne : Tu lui parles du cœur , tu la cherches des yeux. Je ne te retiens plus , sauve-toi de ces lieux : Va lui jurer la foi que tu m'avais jurée ; Va profaner des dieux la majesté sacrée. Ces dieux , ces justes dieux n'auront pas oublié Que les mêmes serments avec moi t'ont lié. Porte aux pieds des autels ce cœur qui m'abandonne; Va , cours : mais crains encor d'y trouver Hermione. SCENE VI. PYRRHUS, PHŒNIX. . PH Œ NI X. Seigneur , vous entendez.
Página 262 - Heureux qui, dans ses vers, sait, d'une voix légère, Passer du grave au doux, du plaisant au sévère!
Página 251 - Perfide, je le voi : Tu comptes les moments que tu perds avec moi! Ton cœur, impatient de revoir ta Troyenne, Ne souffre qu'à regret qu'une autre t'entretienne. Tu lui parles du cœur, tu la cherches des yeux. Je ne te retiens plus, sauve-toi de ces lieux; Va lui jurer la foi que tu m'avais jurée; Va profaner des dieux la majesté sacrée : Ces dieux, ces justes dieux n'auront pas oublié Que les mêmes serments avec moi t'ont lié. Porte au pied des autels ce cœur qui m'abandonne : Va, cours;...
Página 289 - Alecton. Sur un autel sanglant l'affreux bûcher s'allume, La foudre dévorante aussitôt le consume ; Mille noires vapeurs obscurcissent le jour; Les astres de la nuit interrompent leur course; Les fleuves étonnés remontent vers leur source ; Et Pluton même tremble en son obscur séjour. Sa voix redoutable Trouble les enfers; Un bruit formidable Gronde dans les airs; Un voile effroyable Couvre...
Página 141 - Crispe, il n'est que trop vrai, la plus belle couronne N'a que de faux brillants dont l'éclat l'environne; Et celui dont le ciel pour un sceptre fait choix, Jusqu'à ce qu'il le porte, en ignore le poids. Mille et mille douceurs y semblent attachées, Qui ne sont qu'un amas d'amertumes cachées...
Página 277 - MÉDÉE Oui, tu vois en moi seule et le fer et la flamme, Et la terre, et la mer, et l'enfer, et les deux, Et le sceptre des rois, et le foudre des Dieux.