Oeuvres complètes, Volumen 16Lefèvre, 1831 |
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... parle le moins de religion , où on la respecte le plus , où l'on agite le moins de ces questions oiseuses qui troublent les empires , soit l'Angleterre . Il me semble qu'on doit chercher le secret des . mœurs des Anglois dans l'origine ...
... parle le moins de religion , où on la respecte le plus , où l'on agite le moins de ces questions oiseuses qui troublent les empires , soit l'Angleterre . Il me semble qu'on doit chercher le secret des . mœurs des Anglois dans l'origine ...
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... parle à la nuit et aux étoiles , et l'on ne se sent point ému . Je ne pourrois dire où gît cette tristesse , qu'un poëte fait sortir des tableaux de la nature ; mais il est certain qu'il la retrouve à chaque pas . Il unit son ame au ...
... parle à la nuit et aux étoiles , et l'on ne se sent point ému . Je ne pourrois dire où gît cette tristesse , qu'un poëte fait sortir des tableaux de la nature ; mais il est certain qu'il la retrouve à chaque pas . Il unit son ame au ...
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... parle de ma- dame Henriette . « MADAME cependant a passé du matin au soir , ainsi que « l'herbe des champs . Le matin elle fleurissoit ; avec quelles « graces , vous le savez : le soir nous la vimes séchée , et « ces fortes expressions ...
... parle de ma- dame Henriette . « MADAME cependant a passé du matin au soir , ainsi que « l'herbe des champs . Le matin elle fleurissoit ; avec quelles « graces , vous le savez : le soir nous la vimes séchée , et « ces fortes expressions ...
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... parle de Shakspeare . Il reproche à Rymer et à Voltaire d'avoir dit que le tragique anglois ne conserve pas assez la vraisemblance des mœurs . « Ce sont là , dit - il , les petites chicanes de petits esprits : « un poëte néglige la ...
... parle de Shakspeare . Il reproche à Rymer et à Voltaire d'avoir dit que le tragique anglois ne conserve pas assez la vraisemblance des mœurs . « Ce sont là , dit - il , les petites chicanes de petits esprits : « un poëte néglige la ...
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... parle de morale ou de politique , soit qu'il déplore ou qu'il prévoie les malheurs des États , il a mille sentiments ... parler que du grand écrivain , com- bien elle est belle cette troisième scène du qua- trième acte de Macbeth ...
... parle de morale ou de politique , soit qu'il déplore ou qu'il prévoie les malheurs des États , il a mille sentiments ... parler que du grand écrivain , com- bien elle est belle cette troisième scène du qua- trième acte de Macbeth ...
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Términos y frases comunes
admirable anglois aujourd'hui auroit avoient avoit avons beau beauté bientôt Boileau Boissy-d'Anglas Bonald Bossuet C'étoit canot chant charme chose chrétiens cœur comte de Forbin connoissance connoître consoler critique déja désert Dieu dom Bouquet duc de Bourgogne écrivains Édouard III enfants esprit étoient étoit Fénelon fleuve fleuve Mackenzie François François Ier gens de lettres gloire goût Grèce heureux Homère hommes Jean Chandos Jérusalem Jésus-Christ jour l'ame l'auteur l'esprit l'histoire l'homme l'océan littérature long-temps Louis XIV Mackenzie madame de Staël Malesherbes malheurs MÉLANGES LITTÉRAIRES ment Michaud mœurs monde montagnes montagnes Rocheuses monuments mort Muses n'avoit nation nature naturel noble ouvrage paroît passé patrie pensée Père de Ligny peuple philosophie pleurs poëme poëte politique pourroit pouvoit premier prince qu'un quelquefois raison religieux religion reste rivière Rollin ruines saint sauvages scène semble sentiments seroit seul Shakspeare siècle société sort style talent terre tion tombeau trouve vérité vertus Voltaire voyage voyageur
Pasajes populares
Página 26 - They, looking back, all the eastern side beheld Of Paradise, so late their happy seat, Waved over by that flaming brand; the gate With dreadful faces thronged and fiery arms. Some natural tears they dropped, but wiped them soon; The world was all before them, where to choose Their place of rest, and Providence their guide. They, hand in hand, with wandering steps and slow, Through Eden took their solitary way.
Página 28 - Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence sans prendre la peine de penser.
Página 258 - Suave, mari magno turbantibus aequora ventis, E terra magnum alterius spectare laborem ; Non quia vexari quemquamst iucunda voluptas, Sed quibus ipse malis careas quia cernere suave est.
Página 236 - Croyez-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au public ces occupations, Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme, Le nom que dans la cour vous avez d'honnête homme, Pour prendre, de la main d'un avide imprimeur, Celui de ridicule et misérable auteur.
Página 31 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme^ admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée, Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux.
Página 274 - Objet particulier de tous les mépris, il baisse la tête sans se plaindre ; il souffre toutes les avanies sans demander justice ; il se laisse accabler de coups sans soupirer ; on lui demande sa tête : il la présente au cimeterre. Si quelque membre de cette société proscrite vient à mourir, son compagnon ira, pendant la nuit, l'enterrer furtivement dans la vallée de Josaphat, à l'ombre du temple de Salomon.
Página 30 - Ah fields belov'd in vain, Where once my careless childhood stray'd, A stranger yet to pain ! I feel the gales, that from ye blow, A momentary bliss bestow, As waving fresh their gladsome wing, My weary soul they seem to sooth, And, redolent of joy and youth, To breathe a second spring.
Página 274 - Jérusalem, et rien ne peut le décourager, rien ne peut l'empêcher de tourner ses regards vers Sion. Quand on voit les Juifs dispersés sur la terre, selon la parole de Dieu, on est surpris, sans doute; mais, pour être frappé d'un étonnement surnaturel, il faut les retrouver à Jérusalem, il faut voir ces légitimes maîtres de la Judée esclaves et étrangers dans leur propre pays : il faut les voir attendant, sous toutes les oppressions, un roi qui doit les délivrer.
Página 164 - Les déserts ont pris sous notre culte un caractère plus triste, plus vague, plus sublime : le dôme des forêts s'est exhaussé ; les fleuves ont brisé leurs petites urnes, pour ne plus verser que les eaux de l'abîme du sommet des montagnes : le vrai Dieu, en rentrant dans ses œuvres, a donné son immensité à la nature.
Página 34 - MADAME cependant a passé du matin au soir, ainsi que l'herbe des champs. Le matin elle fleurissait ; avec quelles grâces, vous le savez : le soir, nous la vîmes séchée...