Oeuvres complètes, Volumen 16Lefèvre, 1831 |
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... exprimé , cette tristesse , qui se nourrit du spectacle de la nature , et qui , douce ou majes- tueuse , suit le cours naturel des sentiments . Com- bien Milton est supérieur au chantre des Nuits , dans LITTÉRAIRES . 25.
... exprimé , cette tristesse , qui se nourrit du spectacle de la nature , et qui , douce ou majes- tueuse , suit le cours naturel des sentiments . Com- bien Milton est supérieur au chantre des Nuits , dans LITTÉRAIRES . 25.
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... cours de ce fleuve qu'il n'a pas visitée soit cependant marquée sur sa carte , etc. etc. Malgré ces nombreux défauts , le mérite du jour- nal de M. Mackenzie est fort grand ; mais il a besoin de commentaires , soit pour donner une idée ...
... cours de ce fleuve qu'il n'a pas visitée soit cependant marquée sur sa carte , etc. etc. Malgré ces nombreux défauts , le mérite du jour- nal de M. Mackenzie est fort grand ; mais il a besoin de commentaires , soit pour donner une idée ...
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... cours du fleuve prend une direction à l'ouest et dans « un espace de vingt - quatre milles ; son lit se rétrécit gra- « duellement , et finit par n'avoir qu'un demi - mille de large . .... < « < Depuis le lac jusque là , les terres du ...
... cours du fleuve prend une direction à l'ouest et dans « un espace de vingt - quatre milles ; son lit se rétrécit gra- « duellement , et finit par n'avoir qu'un demi - mille de large . .... < « < Depuis le lac jusque là , les terres du ...
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... cours des eaux , d'autres Indiens appelés Indiens - Lièvres , et enfin plus bas encore , en approchant de la mer , la nation des Esquimaux . « Pendant le peu de temps que nous restàmes avec « cette petite peuplade , les naturels ...
... cours des eaux , d'autres Indiens appelés Indiens - Lièvres , et enfin plus bas encore , en approchant de la mer , la nation des Esquimaux . « Pendant le peu de temps que nous restàmes avec « cette petite peuplade , les naturels ...
Página 90
... cours , et nous trouvons mainte- nant leurs tombeaux près de la mer , à l'embou- chure de ce même fleuve ; emblème frappant du cours de nos années , depuis ces fontaines de joie où se plonge notre enfance , jusqu'à cet océan de l ...
... cours , et nous trouvons mainte- nant leurs tombeaux près de la mer , à l'embou- chure de ce même fleuve ; emblème frappant du cours de nos années , depuis ces fontaines de joie où se plonge notre enfance , jusqu'à cet océan de l ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 26 - They, looking back, all the eastern side beheld Of Paradise, so late their happy seat, Waved over by that flaming brand; the gate With dreadful faces thronged and fiery arms. Some natural tears they dropped, but wiped them soon; The world was all before them, where to choose Their place of rest, and Providence their guide. They, hand in hand, with wandering steps and slow, Through Eden took their solitary way.
Página 28 - Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence sans prendre la peine de penser.
Página 258 - Suave, mari magno turbantibus aequora ventis, E terra magnum alterius spectare laborem ; Non quia vexari quemquamst iucunda voluptas, Sed quibus ipse malis careas quia cernere suave est.
Página 236 - Croyez-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au public ces occupations, Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme, Le nom que dans la cour vous avez d'honnête homme, Pour prendre, de la main d'un avide imprimeur, Celui de ridicule et misérable auteur.
Página 31 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme^ admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée, Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux.
Página 274 - Objet particulier de tous les mépris, il baisse la tête sans se plaindre ; il souffre toutes les avanies sans demander justice ; il se laisse accabler de coups sans soupirer ; on lui demande sa tête : il la présente au cimeterre. Si quelque membre de cette société proscrite vient à mourir, son compagnon ira, pendant la nuit, l'enterrer furtivement dans la vallée de Josaphat, à l'ombre du temple de Salomon.
Página 30 - Ah fields belov'd in vain, Where once my careless childhood stray'd, A stranger yet to pain ! I feel the gales, that from ye blow, A momentary bliss bestow, As waving fresh their gladsome wing, My weary soul they seem to sooth, And, redolent of joy and youth, To breathe a second spring.
Página 274 - Jérusalem, et rien ne peut le décourager, rien ne peut l'empêcher de tourner ses regards vers Sion. Quand on voit les Juifs dispersés sur la terre, selon la parole de Dieu, on est surpris, sans doute; mais, pour être frappé d'un étonnement surnaturel, il faut les retrouver à Jérusalem, il faut voir ces légitimes maîtres de la Judée esclaves et étrangers dans leur propre pays : il faut les voir attendant, sous toutes les oppressions, un roi qui doit les délivrer.
Página 164 - Les déserts ont pris sous notre culte un caractère plus triste, plus vague, plus sublime : le dôme des forêts s'est exhaussé ; les fleuves ont brisé leurs petites urnes, pour ne plus verser que les eaux de l'abîme du sommet des montagnes : le vrai Dieu, en rentrant dans ses œuvres, a donné son immensité à la nature.
Página 34 - MADAME cependant a passé du matin au soir, ainsi que l'herbe des champs. Le matin elle fleurissait ; avec quelles grâces, vous le savez : le soir, nous la vîmes séchée...