Oeuvres complètes, Volumen 16Lefèvre, 1831 |
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... chrétiens et des philosophes . On peut dire en effet que , s'il étoit prouvé que la parole est révélée et non inventée , on auroit une preuve physique de l'existence de Dieu , et Dieu n'auroit pu donner le verbe à l'homme sans lui ...
... chrétiens et des philosophes . On peut dire en effet que , s'il étoit prouvé que la parole est révélée et non inventée , on auroit une preuve physique de l'existence de Dieu , et Dieu n'auroit pu donner le verbe à l'homme sans lui ...
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... chrétiens qui , s'apercevant au milieu d'un combat que leurs adversaires étoient désar- més , jetoient à l'écart leurs armes , pour ne pas remporter une victoire trop aisée . Bossuet , passant ensuite aux preuves historiques , et ...
... chrétiens qui , s'apercevant au milieu d'un combat que leurs adversaires étoient désar- més , jetoient à l'écart leurs armes , pour ne pas remporter une victoire trop aisée . Bossuet , passant ensuite aux preuves historiques , et ...
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... Chrétiens . Les peuples païens ont été des barbares . Il faut entendre le mot barbare dans le sens de l'auteur . Les arts pour lui ne constituent pas un peuple civilisé , mais un peuple policé . Il n'attache le mot de civilisation qu ...
... Chrétiens . Les peuples païens ont été des barbares . Il faut entendre le mot barbare dans le sens de l'auteur . Les arts pour lui ne constituent pas un peuple civilisé , mais un peuple policé . Il n'attache le mot de civilisation qu ...
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... Chrétiens . Le perfectionnement de la société politique en Europe a été de faire passer les hommes de l'état domestique à l'état public et fixe des peuples civilisés qui composent la chré- tienté . Le lecteur doit s'apercevoir ici qu'il ...
... Chrétiens . Le perfectionnement de la société politique en Europe a été de faire passer les hommes de l'état domestique à l'état public et fixe des peuples civilisés qui composent la chré- tienté . Le lecteur doit s'apercevoir ici qu'il ...
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... chrétiens se prosternent au pied des autels : le foible pour prier le Dieu de force , le coupable pour implorer le Dieu de miséricorde , l'innocent pour chanter le Dieu de bonté . Un paysage paroît - il nu , triste et désert , placez ...
... chrétiens se prosternent au pied des autels : le foible pour prier le Dieu de force , le coupable pour implorer le Dieu de miséricorde , l'innocent pour chanter le Dieu de bonté . Un paysage paroît - il nu , triste et désert , placez ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 26 - They, looking back, all the eastern side beheld Of Paradise, so late their happy seat, Waved over by that flaming brand; the gate With dreadful faces thronged and fiery arms. Some natural tears they dropped, but wiped them soon; The world was all before them, where to choose Their place of rest, and Providence their guide. They, hand in hand, with wandering steps and slow, Through Eden took their solitary way.
Página 28 - Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence sans prendre la peine de penser.
Página 258 - Suave, mari magno turbantibus aequora ventis, E terra magnum alterius spectare laborem ; Non quia vexari quemquamst iucunda voluptas, Sed quibus ipse malis careas quia cernere suave est.
Página 236 - Croyez-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au public ces occupations, Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme, Le nom que dans la cour vous avez d'honnête homme, Pour prendre, de la main d'un avide imprimeur, Celui de ridicule et misérable auteur.
Página 31 - Au banquet de la vie, infortuné convive, J'apparus un jour, et je meurs. Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs. Salut, champs que j'aimais, et vous, douce verdure, Et vous, riant exil des bois ! Ciel, pavillon de l'homme^ admirable nature, Salut pour la dernière fois ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté sacrée, Tant d'amis sourds à mes adieux ! Qu'ils meurent pleins de jours, que leur mort soit pleurée, Qu'un ami leur ferme les yeux.
Página 274 - Objet particulier de tous les mépris, il baisse la tête sans se plaindre ; il souffre toutes les avanies sans demander justice ; il se laisse accabler de coups sans soupirer ; on lui demande sa tête : il la présente au cimeterre. Si quelque membre de cette société proscrite vient à mourir, son compagnon ira, pendant la nuit, l'enterrer furtivement dans la vallée de Josaphat, à l'ombre du temple de Salomon.
Página 30 - Ah fields belov'd in vain, Where once my careless childhood stray'd, A stranger yet to pain ! I feel the gales, that from ye blow, A momentary bliss bestow, As waving fresh their gladsome wing, My weary soul they seem to sooth, And, redolent of joy and youth, To breathe a second spring.
Página 274 - Jérusalem, et rien ne peut le décourager, rien ne peut l'empêcher de tourner ses regards vers Sion. Quand on voit les Juifs dispersés sur la terre, selon la parole de Dieu, on est surpris, sans doute; mais, pour être frappé d'un étonnement surnaturel, il faut les retrouver à Jérusalem, il faut voir ces légitimes maîtres de la Judée esclaves et étrangers dans leur propre pays : il faut les voir attendant, sous toutes les oppressions, un roi qui doit les délivrer.
Página 164 - Les déserts ont pris sous notre culte un caractère plus triste, plus vague, plus sublime : le dôme des forêts s'est exhaussé ; les fleuves ont brisé leurs petites urnes, pour ne plus verser que les eaux de l'abîme du sommet des montagnes : le vrai Dieu, en rentrant dans ses œuvres, a donné son immensité à la nature.
Página 34 - MADAME cependant a passé du matin au soir, ainsi que l'herbe des champs. Le matin elle fleurissait ; avec quelles grâces, vous le savez : le soir, nous la vîmes séchée...