Revue trimestrielle, Volumes 27 à 28H. Samuel., 1860 |
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... sciences qu'on appelle législation , administration , éco- » nomie politique , etc. Si les Belges du temps de ma >> jeunesse avaient pu s'initier , comme les Anglais , par » exemple , à tout ce qui se rapporte au gouvernement » d'un ...
... sciences qu'on appelle législation , administration , éco- » nomie politique , etc. Si les Belges du temps de ma >> jeunesse avaient pu s'initier , comme les Anglais , par » exemple , à tout ce qui se rapporte au gouvernement » d'un ...
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... science des affaires , autant qu'aux spé- culations philosophiques au milieu de ces précieux décrets qu'il cite avec un juste orgueil , nous en rencon- trons un du 21 octobre 1830 « prohibant l'exportation » des grains et farines de ...
... science des affaires , autant qu'aux spé- culations philosophiques au milieu de ces précieux décrets qu'il cite avec un juste orgueil , nous en rencon- trons un du 21 octobre 1830 « prohibant l'exportation » des grains et farines de ...
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... science sociale , Bruxelles , 1848 , in - 8 ° ; Catéchisme social , Bruxelles , 1850 , in - 18 ; Catéchisme rationnel , Bruxelles , 1854 , in - 8 ° , et enfin son Dictionnaire rationnel qu'il acheva dans l'année de sa mort et qui parut ...
... science sociale , Bruxelles , 1848 , in - 8 ° ; Catéchisme social , Bruxelles , 1850 , in - 18 ; Catéchisme rationnel , Bruxelles , 1854 , in - 8 ° , et enfin son Dictionnaire rationnel qu'il acheva dans l'année de sa mort et qui parut ...
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... science de chacun » et qui ait pour chacun « une incon- testable et inévitable sanction 1. » On peut remarquer ici que toutes les philosophies , toutes les religions aussi admettent l'existence d'une << raison absolue » ( oyos , verbum ...
... science de chacun » et qui ait pour chacun « une incon- testable et inévitable sanction 1. » On peut remarquer ici que toutes les philosophies , toutes les religions aussi admettent l'existence d'une << raison absolue » ( oyos , verbum ...
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... science de l'humanité ) , ont créé en Europe et en Amérique des asiles très - vastes , et quel- quefois si gigantesques que l'imagination s'effraye lors- qu'on les contemple . « Quelle terrible maladie ! Quelle puissance de répression ...
... science de l'humanité ) , ont créé en Europe et en Amérique des asiles très - vastes , et quel- quefois si gigantesques que l'imagination s'effraye lors- qu'on les contemple . « Quelle terrible maladie ! Quelle puissance de répression ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 5 - Hampden, that, with dauntless breast, The little tyrant of his fields withstood, Some mute inglorious Milton here may rest, Some Cromwell guiltless of his country's blood. Th' applause of list'ning senates to command, The threats of pain and ruin to despise ; To scatter plenty o'er a smiling land, And read their...
Page 81 - Italiens se moquent dans leurs contes, et souvent même sur le théâtre, des prêtres auxquels ils sont d'ailleurs entièrement asservis. Mais ce n'est point sous un point de vue philosophique qu'ils attaquent les abus de la religion; ils n'ont pas, comme quelques-uns de nos écrivains, le but de réformer les défauts dont ils plaisantent : ce qu'ils veulent seulement, c'est s'amuser d'autant plus que le sujet est plus sérieux. Leurs opinions sont, dans le fond , assez opposées à tous les genres...
Page 103 - , demanda le prince. — « Seigneur », répondit le cocher, « cet homme est un de ceux qu'on nomme bhikshous, il a renoncé à toutes les joies du désir et il mène une vie très austère ; il s'efforce de se dompter lui-même et s'est fait religieux.
Page 102 - La santé, dit le jeune prince, est donc comme « le jeu d'un rêve, et la crainte du mal a donc cette « forme insupportable ! Quel est l'homme sage qui, « après avoir vu ce qu'elle est, pourra désormais « avoir l'idée de la joie et du plaisir ? » « Le prince détourna son char, et rentra dans la ville, sans vouloir aller plus loin.
Page 111 - On ne peut mieux assimiler le genre humain qu'à un homme qui, fuyant un éléphant furieux , est descendu dans un puits ; il s'est accroché à deux rameaux qui en couvrent l'orifice, et ses pieds se sont posés sur quelque chose qui forme une saillie dans l'intérieur du même puits : ce sont quatre serpens qui sortent leurs têtes hors de leurs repaires; il aperçoit, au fond du puits, un dragon qui, la gueule ouverte , n'attend que l'instant de sa chute pour le dévorer. Ses regards se portent...
Page 124 - Çâkyas pour leur apprendre cette triste nouvelle. On résolut de s'opposer par la force à la fuite du prince. On se distribua la garde des portes, et tandis que les jeunes gens faisaient sentinelle, les plus anciens d'entre les vieillards se répandaient en grand nombre dans toutes les parties de la ville pour y semer l'alarme et avertir les habitants. Le roi...
Page 124 - Si je ne puis éviter la crainte de la vieilce lesse , de la maladie et de la mort , ni le déclin , reprit « le jeune homme ; si vous ne pouvez , Seigneur , « m'accorder ces quatre choses principales , veuillez du « moins, ô roi, m'en accorder une autre qui n'est pas « moins importante : faites qu'en disparaissant d'ici-bas je « ne sois plus sujet aux vicissitudes de la transmigra
Page 100 - Une autre fois encore, il se rendait par la porte de l'ouest au jardin de plaisance, quand sur la route il vit un homme mort, placé dans une bière et recouvert d'une toile. La foule de ses parents tout en pleurs l'entourait, se lamentant avec de longs gémissements, s'arrachant les cheveux, se couvrant la tête de poussière, et se frappant la poitrine en poussant de grands cris. Le prince, prenant encore le cocher à témoin de ce douloureux spectacle, s'écria: „Ah!
Page 123 - Puis, rempli de respect et de soumission pour son père , il alla le trouver cette nuit même , et lui dit : « Seigneur, voici que le temps de mon apparition dans « le monde est arrivé ; n'y faites point obstacle et n'en « soyez point chagrin. Souffrez, ô roi, ainsi que votre « famille et votre peuple , souffrez que je m'éloigne. » Le roi , les yeux remplis de larmes , lui répondit : « Que faut-il , ô mon fils, pour te faire changer de des...
Page 98 - Un jour qu'avec une suite nombreuse il sortait par la porte orientale pour se rendre au jardin de Loumbinî auquel s'attachaient tous les souvenirs de son enfance, il rencontra sur sa route un homme vieux, cassé, décrépit ; ses veines et ses muscles étaient saillants sur tout son corps ; ses dents étaient branlantes ; il était couvert de rides, chauve, articulant à peine des sons rauques et désagréables ; il était tout incliné sur son bâton ; tous ses membres, toutes ses jointures tremblaient.