La Revue blanche, Volumen 5Revue blanche, 1968 |
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... vent , car , à peine on dirait qu'il effleure l'azur sombre des flots , miroitant d'argent , où ne demeure que si peu d'écume . D'où vient donc que la nuit reste lucide et quelle lumière prolonge la douceur du crépuscule ? De quel éclat ...
... vent , car , à peine on dirait qu'il effleure l'azur sombre des flots , miroitant d'argent , où ne demeure que si peu d'écume . D'où vient donc que la nuit reste lucide et quelle lumière prolonge la douceur du crépuscule ? De quel éclat ...
Página 118
... vent berçait Un jour que j'errais dans un de ces grands parcs où rêvent des parfums , je vous aperçus à travers une dentelle de magnolias que le vent berçait . Vous étiez à votre fenêtre toute blanche d'oiselets et de papillons et je ...
... vent berçait Un jour que j'errais dans un de ces grands parcs où rêvent des parfums , je vous aperçus à travers une dentelle de magnolias que le vent berçait . Vous étiez à votre fenêtre toute blanche d'oiselets et de papillons et je ...
Página 307
... vent pleure A Henri Gregh . Comme le vent pleure dans la maison ce matin ! Il m'a éveillé , avant l'heure . C'est du haut en bas une plainte lugubre , incessante , infinie . Par toutes les cheminées , par toutes les portes , par toutes ...
... vent pleure A Henri Gregh . Comme le vent pleure dans la maison ce matin ! Il m'a éveillé , avant l'heure . C'est du haut en bas une plainte lugubre , incessante , infinie . Par toutes les cheminées , par toutes les portes , par toutes ...
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