Oeuvres de Fénelon: précédés d'une notice sur sa vie et sur ses écrits, Volumen 8Dufour, 1826 |
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... foible que moi : mais , sans m'étonner de sa force prodigieuse , ni de son air sauvage et brutal , je poussai ma lance contre sa poitrine , et je lui fis vomir ' , en expirant , des torrens d'un sang noir . Il pensa m'écraser dans sa ...
... foible que moi : mais , sans m'étonner de sa force prodigieuse , ni de son air sauvage et brutal , je poussai ma lance contre sa poitrine , et je lui fis vomir ' , en expirant , des torrens d'un sang noir . Il pensa m'écraser dans sa ...
Página 68
... foible , pauvre et souf- frant comme eux ; prends plaisir à les soulager ; aime ton peuple ; déteste la flatterie , et sache que tu ne seras grand qu'autant que tu seras mo- déré et courageux pour vaincre tes passions . Ces paroles ...
... foible , pauvre et souf- frant comme eux ; prends plaisir à les soulager ; aime ton peuple ; déteste la flatterie , et sache que tu ne seras grand qu'autant que tu seras mo- déré et courageux pour vaincre tes passions . Ces paroles ...
Página 115
... foible , et assez vain pour vous laisser tromper par des louanges disproportionnées à vos actions . Après ces paroles , ils allèrent au lieu où la déesse les attendoit . Elle sourit en les voyant , et cacha , sous une apparence de joie ...
... foible , et assez vain pour vous laisser tromper par des louanges disproportionnées à vos actions . Après ces paroles , ils allèrent au lieu où la déesse les attendoit . Elle sourit en les voyant , et cacha , sous une apparence de joie ...
Página 146
... foible santé . Ma jeunesse et ma vi- gueur m'ôtoient toute excuse ; je jetai néanmoins un coup d'œil sur Mentor découvrir sa pen- sée , et j'aperçus qu'il souhaitoit que je combat- tisse . J'acceptai donc l'offre qu'on me faisoit : je ...
... foible santé . Ma jeunesse et ma vi- gueur m'ôtoient toute excuse ; je jetai néanmoins un coup d'œil sur Mentor découvrir sa pen- sée , et j'aperçus qu'il souhaitoit que je combat- tisse . J'acceptai donc l'offre qu'on me faisoit : je ...
Página 202
... foible mortel qui est captif dans votre île ! pour- quoi le laissez - vous sortir ? O malheureux Amour , répondit - elle , je ne veux plus écouter tes perni- cieux conseils : c'est toi qui m'as tirée d'une douce et profonde paix , pour ...
... foible mortel qui est captif dans votre île ! pour- quoi le laissez - vous sortir ? O malheureux Amour , répondit - elle , je ne veux plus écouter tes perni- cieux conseils : c'est toi qui m'as tirée d'une douce et profonde paix , pour ...
Términos y frases comunes
Aceste Adraste aimé alliés Antiope assez auroit avez avoient avoit beauté c'étoit Calypso cher choses Chypre cœur connoître courage craint Crète Crétois cruelle d'Idoménée Dauniens déesse dieux disoit disoit-il divinité douce douleur doux Edit Égypte enfans ennemis êtes étoient étoit faisoit falloit fils d'Ulysse flatteurs fleurs foible foiblesse gloire Grecs guerre Hazaël héros heureux Hippias hommes Idoménée île Ithaque j'avois j'étois jamais jeune joie Jupiter l'amour l'île laisse larmes long-temps main malheurs maque maux méchans Mentor Minerve Minos modération mort n'avoit Narbal nation Néoptolème Neptune Nestor nymphes paix parler paroissoit paroît paroles passions patrie peine pendant père peuples Phalante Phéaciens Phéniciens Philoclès Philoctète Pisistrate plaisirs poëme Polydamas pouvoit prince Protésilas Pygmalion qu'à rien rivage rois royaume sage sagesse Salente sang sentir seroit Sésostris seul siége de Troie souffrir Télémaque terre Timocrate Troie troupes Ulysse vaisseau Vénus vérité vertu vieillard visage voisins vouloit voyoit yeux
Pasajes populares
Página 492 - ... c'est plutôt une gloire céleste qu'une lumière; elle pénètre plus subtilement les corps les plus épais que les rayons du soleil ne pénètrent le plus pur cristal ; elle n'éblouit jamais: au contraire, elle fortifie les yeux et porte dans le fond de l'âme je ne sais quelle sérénité...
Página 493 - Ils sont plongés dans cet abîme de délices comme les poissons dans la mer ; ils ne veulent plus rien , ils ont tout sans rien avoir, car ce goût de lumière pure apaise la faim de leur cœur; tous leurs désirs sont rassasiés, et leur plénitude...
Página 319 - D'ailleurs, un roi connaît beaucoup moins que les particuliers les hommes qui l'environnent : on est toujours masqué auprès de lui; on épuise toutes sortes d'artifices pour le tromper. Hélas! cher Télémaque, vous ne l'éprouverez que trop. On ne trouve point dans les hommes ni les vertus ni les talents qu'on y cherche. On a beau les étudier et les approfondir, on s'y mécompte tous les jours.
Página 616 - J'ai dit à Philoclès tout ce qu'il doit faire pour vous soulager, et pour n'abuser jamais de votre confiance; je puis vous répondre de lui : les dieux vous l'ont donné comme ils m'ont donné à Télémaque. Chacun doit suivre courageusement sa destinée ; il est inutile de s'affliger. Si jamais vous aviez besoin de mon secours, après que j'aurai rendu Télérnaque à son père et à son pays , je reviendrais vous voir.
Página 583 - L'autre mal presque incurable est le luxe. Comme la trop grande autorité empoisonne les rois, le luxe empoisonne toute une nation. On dit que ce luxe sert à nourrir les pauvres aux dépens des riches; comme si les pauvres ne pouvaient pas gagner leur vie plus utilement, en multipliant les fruits de la terre, sans amollir les riches par des raffinements de volupté.
Página 253 - J'en conçois clairement la cause ; c'est que vous avez beaucoup souffert dans vos malheurs : mais vous avez bien gagné en souffrant, puisque vous avez acquis la sagesse. On doit se consoler aisément des rides qui viennent sur le visage , pendant que le cœur s'exerce et se fortifie dans la vertu. Au reste , sachez que les rois s'usent toujours plus que les autres hommes.
Página 632 - Il est vrai — répondit Mentor — que le roi n'est roi que pour avoir soin de son peuple, comme un berger de son troupeau, ou comme un père de sa famille; mais trouvez-vous, mon cher Télémaque, qu'il soit malheureux d'avoir du bien à faire à tant de gens?
Página 646 - Cette divinité ne touche pas du pied à terre; elle coule légèrement dans l'air, comme un oiseau le fend de ses ailes: elle tient de sa puissante main une lance brillante, capable de faire trembler les villes et les nations les plus guerrières; Mars même en serait effrayé.
Página 482 - ... rayons perçants de la vérité vont venger la vérité, qu'il a négligé de suivre. Tout ce qu'il a aimé lui devient odieux, comme étant la source de ses maux, qui ne peuvent jamais finir.
Página 93 - ... villages qui se touchent presque ; enfin par la douceur de son climat : car les montagnes mettent cette côte à l'abri des vents brûlants du midi ; elle est rafraîchie par le vent du nord, qui souffle du côté de la mer. Ce pays est au pied du Liban...