Revue de Lyon: Politique, littérature, industrie ... no. 1-[24]; 15 juillet 1849-[1850]

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L. Boitel, 1849 - 784 pages
 

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Fréquemment cités

Page 307 - Ce n'est pas une spéciale considération, ny deux, ny trois, ny quatre, ny mille : c'est je ne sçay quelle quinte essence de tout ce meslange, qui, ayant saisi toute ma volonté, l'amena se plonger et se perdre dans la sienne; qui, ayant saisi toute sa volonté, l'amena se plonger et se perdre en la mienne, d'une faim, d'une concurrence pareille. Je dis perdre, à la vérité, ne nous reservant rien qui nous fut propre, ny qui fut ou sien, ou mien.
Page 13 - Il est vrai que la penderie me paraît maintenant un rafraîchissement : j'ai une tout autre idée de la justice, depuis que je suis en ce pays ; vos galériens me semblent une société d'honnêtes gens qui se sont retirés du monde pour mener une vie douce.
Page 220 - Les dépenses énoncées en l'article précédent seront à la charge des personnes placées-, à défaut, à la charge de ceux auxquels il peut être demandé des aliments , aux termes des art. 205 et suivants du code civil. S'il ya contestation sur l'obligation de fournir des aliments, ou sur leur quotité, il sera statué par le tribunal compétent, à la diligence de l'administrateur désigné en exécution des articles 31 et 32.
Page 329 - Que celui qui a des oreilles écoute ce que l'Esprit dit aux sept Églises ! Au vainqueur je permettrai de manger de l'arbre de vie, qui est dans le paradis de Dieu.
Page 14 - Les mutins de Rennes se sont sauvés il ya longtemps ; ainsi les bons pâtiront pour les méchants ; mais je trouve tout fort bon, pourvu que les quatre mille hommes de guerre qui sont à Rennes, sous MM.
Page 636 - Seigneur, seront dépouillés et détruits, vos fêtes abolies, votre nom blasphémé, votre culte proscrit. Mais qu'entends-je? grand Dieu ! que vois-je? aux saints cantiques qui faisaient retentir ces voûtes sacrées en votre honneur succèdent des chants lubriques et profanes ! et toi, divinité infâme du paganisme, impudique Vénus, tu viens ici même prendre...
Page 307 - ... je crois par quelque ordonnance du ciel : nous nous embrassions par nos noms. Et à notre première rencontre, qui fut par hasard en une grande fête et compagnie...
Page 307 - ... par quelque ordonnance du ciel; nous nous embrassions par nos noms. Et à notre première rencontre, qui fut par hasard en une grande fête et compagnie de ville...
Page 220 - ... finances, aux dépenses ordinaires du département auquel l'aliéné appartient, sans préjudice du concours de la commune du domicile de l'aliéné, d'après les bases proposées par le conseil général, sur l'avis du préfet, et approuvées par le gouvernement. — Les hospices seront tenus...
Page 307 - Si on me presse de dire pourquoi je l'aimais, je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant : « Parce que c'était lui, parce que c'était moi...

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