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Les illustrations, nombreuses, soigneusement tirées, excitent la curiosité qu'on a de la Ville dont la gloire s'éternise, et donnent plus fort envie de toucher à cette poussière que l'Histoire laisse enfin reposer. Il n'est pas jusqu'à la gêne qu'apportent parmi les photographies des architectures, la fantaisie douteuse des compositions italiennes récentes et le goût particulier que les artistes de ce pays mettent à les laver qui ne fouettent le désir d'aller voir comment se comportent nos contemporains dans l'espace fameux où subsiste le Forum et se dresse la forteresse du Château Saint-Ange et de courir aux impressions qu'on peut éprouver à aller en tramway du Capitole au Vatican. THADEE NATANSON

MÉMENTO BIBLIOGRAPHIQUE

ALBUMS. — Hermann-Paul : Guignols, 60 dessins, Editions de La revue blanche, 6 fr.

3 fr. 50.

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ROMANS ET NOUVELLES. Paul Adam: La Force, Ollendorff, 3 fr. 50. Jean Lorrain: La Dame turque, Nilsson. Enacryos : Amour Etrusque, Borel, Jean Guétary: Les Compagnons de l'Alliance (Une conspiration sous le Premier Empire), 30 gravures, Tours, Mame. · Léon de Tinseau : Les Péchés des autres, Calmann Lévy, 3 fr. 50. — Georges Virrès : En pleine terre (la Glèbe héroïque, 1798-1799), Bruxelles et Paris, Editions de la Lutte, 3 fr. 50. Henri Vignemal: Vain effort, Lemerre, 3 fr. 50. - J.-H. Rosny : Les Ames perdues, Fasquelle, 3 fr. 50.

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POÉSIE. Emile Verhaeren: Les Visages de la Vie, Bruxelles, Deman. Francis Jammies: Quatorze prières, Orthez, Imp. Faget, hors commerce. Eugène Plouchart: Les Equinoxes (avec une préface d'Auguste Dorchain), Lemerre, 2 fr. - C.-A. d'Elgif : Larmes et Sourires, Montpellier, imp. Gustave Firmin et Montane, 1 fr. René-Mary Clerfeyt: La Nature chante et j'écoute (Pastorales, la Voix des Cilés, le Chant du Cœur), Bruxelles, Balat. Valentin Mandelstamm : Rumeur, poésies suivies de Les Choses, l'Amour et la Vie, parade, Vanier, 3 fr. — F. Ménétrier: Les Arcanes, Vanier, 3 fr. — Elie Léage : Chevauchée (avec préface de Ch. Vachier), Bibliothèque de l'Association, 2 fr. 50. Jean Sévère : La Poésie humaine, Bibliothèque de FŒuvre internationale, 3 fr. Jules Moulin: Refuges, Société libre d'édition des gens de lettres,

2 fr. 50.

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G. Fabius de Champville : L'Huitre et les Plaideurs, pièce à

dire, F. de Launay, 1 fr. F. de Launay, 1 fr.

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- G. Fabius de Champville: La Griselle, pièce à dire, Henry Revers et F.-A. Steenackers : L'Exilé, un acte en vers, Bibliothèque de l'Association, 1 fr. Saint-Just Les Loups (avec frontispice, par Henry de Groux), Georges Bellais, 2 fr. - Michel Provins : L'Ecole des Flirts, trois actes précédés d'une Conférence sur l'Amour Moderne et le Flirt, Ollendorff, 2 fr, René Blain des Cormiers: Le Cas de M. Benoit, un acle, 1 fr. 50. Jules Renard : Le Pain de Ménage, Ollendorff, 2 fr. ÉTATS, SOCIÉTÉS, GOUVERNEMENTS.-Marcel Lami : La Débandade (Souvenirs d'un volontaire inutile), Editions de La revue blanche, 3 fr. 50. — Albert Delacour : Les Lettres de Noblesse de l'Anarchie, Editions de La revue blanche. 3 fr. 50. Georges Clemenceau : L'Iniquité, 3 fr 50.– D′ Bonnafy : L'Armée coloniale, Tonnerre, Imp. Bailly. Th. - B.: Expéditions coloniales, la Nouvelle Revue. Tourneux: Jules Guérin, délégué général de la ligue antisémitique, Imp. Tourneux. Anna Lampérière : Le Role social de la Femme (Devoirs, Droits, Éducation), Alcan, 2 fr. 50. Joseph Reinach: Vers la Justice par la Vérité, Stock, 3 fr. 50. - Unus: « Le Syndical de Trahison » (Petits Portraits), Stock, Ph. Dubois : Les Machinations contre le colonel Picquart, Stock, 1 fr. – Capitaine Paul Marin : Le lieutenant-colonel Du Paty do lam, stock, 3 fr. 50.

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Albert Jounet: La Question Sociale (les Harmonistes), la Coopération des Idées. — François Bournand: Les Juifs et nos contemporains (l'Antisémitisme et la Question juive), introduction par Edmond Picard, A. Pierret. - Maria Deraismes Euvres complètes (Tome III, Lettre au clergé français, Polémique religieuse), Alcan, 3 fr. 50. Gustave Le Bon: Psychologie du Socialisme, Alcan, 7 fr. 50. Prague, Stivin. - Lino Ferriani : Delinquante che scrivono (studio di psicologia criminale), Como, Vittorio Omarini, 4 fr. Bouvard et Pécuchet : Un Côté de l'Affaire Dreyfus (Coups de gueule et coups de trique, Petit Manuel du Polémiste ou Recueil d'injures adressées ou reçues par MM. Dieu, Brunetière, Joseph Reinach, Edouard Drumont, Emile Zola, Judet, Rochefort, Quesnay de Beaurepaire, Bard, Jaurès, Gyp, etc.), A. Pierret.— Henri Rainaldy : Escarmouches, Société libre d'édition des gens de Lettres, 3 fr. 50. Derrière les masques (Résumé historique de l'affaire Dreyfus), Nancy. - Sébastien Voirol: En vue du Désarmement (Autour d'un projet), Charles, o fr. 75 Pierre Molé : Exposé impartial de l'Affaire Dreyfus, Stock. I fr. Un ancien officier d'artillerie Le Bordereau est-il d'un artilleur ? (les Erreurs du général de Pellieux), Stock, 1 fr.

D' T.-G. Masaryk : Palacky's Idee des Bæhmischen Volkes,

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VILLES. Rome, d'après le Dr Reinhold Schoener, avec 290 illustrations originales d'Alcardo et Amadeo Terzi, G. Bacarisas, M. Barbasan, E. Benlliure, O. Brioschi, E. Fuchs, F. de Lembach, F. Lionne, S. Macchiati, M Pagani, publié par Emile M. Engel, Librairie Nilsson.

HISTOIRE. — Frédéric Masson: Joséphine de Beauharnais, 1763-1796, Ollendorff, 7 fr. 50

CRITIQUE.

Mau

Alcan

Léon Maillard: Auguste Rodin, statuaire, Floury, 25 fr. rice Maindron : l'Art indien, Bibl. de l'Enseign. des B.-Arts, H. May. ter de Brahm: L'Ostensoir des Ironies, essai de métacritique (1• partie : l'Homme, la Femine et la Famille), Bibliothèque d'art de la Critique, 5 fr. Antoine Albalat : L'Art d'écrire, enseigné en vingt leçons, Colin, 3 fr. 50. Jean S. Barès : L'Ortografe simplifiée et les autres réformes nécessaires, Aus bureaus du Réformiste, 3 fr. •

MUSIQUE. D'aimer, poèmes d'Emile Verhaeren, Max Elskamp, Georges Ramaekers, mis en musique par Ernest Delterre, Bruxelles, La Lutte.

LITTÉRATURE ITALIENNE.

Gabriele d'Annunzio La Gioconda, tragedia, Milano, Fratelli Treves, 4 fr. Tullio Giordana : La Fiamma e l'Ombra, ro manzo, Torino, Roux Frassati, 1 fr. 50.- Romolo Quaglino: Dialoghi d'Esteta, poèmes, Milano, Fratelli Treves, 3 fr. 50. — Luigi Marrocco Diprima : Teresina Molieri, romanzo, Catania, Niccolo Giannotta, 3 fr. 50.

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LITTÉRATURE PORTUGAISE. Guerra Junqueiro: A Musa en Ferias (idilios e satiros), Lisboa, Antonia Maria Pereira, 700 reis. — Guerra Junqueiro : Patria, Porto, Chardron, 800 reis. Guerra Junqueiro: A Velhice do Padre Eterno, Porto, Alvarim Pimenta e Joaquim Antunes Leitao, 1000 reis. — Guerra Junqueiro : Os Simples, Lisboa, A -M. Pereira, 700 reis. Guerra Junqueiro: A Morte de D. Joao, Lisboa, A.-M. Pereira, 800 reis.

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NOUVEAUX PÉRIODIQUES. L'Anticlerical, hebdomadaire; directeurs : Michel Zevaco et Jacques Prolo; le no : 0 fr. 10; Paris, rue des Canettes, 7. de France; Aix-en-Provence, A. Dragon, et Paris, Brasseur; le n° : 1 fr. Mouvement Socialiste, bi-mensuel; directeur : Hubert Lagardelle; le n° : o fr. 40; Paris, rue Cujas, 17. Germinal, revue mensuelle d'Art et de Sociologie; le no o fr. 50; Lyon, rue des Archers, 10. La Chanson nouvelle, politique, satirique et d'actualité, par Jacques Durudeau ; Levallois-Perret, ruc Voltaire, 37. Le Camarade, chronique quotidienne; le n°: o fr. 05; Paris, rue Canlaincourt, 50. · Mir Iskousstva (le Monde Artiste,; Pétersbourg, Liteinaja, 45. — La Vogue, revuc mensuelle de littérature, d'art et d'actualité; le numéro o fr. 60; Paris, rue des Ecoles, 54.

Le gérant : Paul LaGrue.

La Guerre économique

I

INTRODUCTION

Coup d'œil d'ensemble sur la situation économique. Révolutions, classements et déclassements. Expansion du champ de l'industrie. - La grande industrie, le développement de la productivité et la prolétarisation progressive. Conséquences sociales de l'évolution. La guerre économique sous ses divers aspects. Regain de protectionnisme et fermeture des frontières. Le colonialisme. Ouvriers nationaux et ouvriers étrangers. La politique des Etats el leur condition industrielle et commerciale. questions de nationalités et la concurrence. Origines des conflits contemporains. Organisation nouvelle du monde : les grandes fédérations.

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Les

Le XIX siècle aura vu la plus prodigieuse poussée d'activité humaine dont l'histoire fasse mention. Ce qui lui donne le mieux son caractère d'unité et de continuité, en dépit de la diversité des courants d'idées qui l'ont traversé et des multiples révolutions qui l'ont fragmenté, c'est encore le développement, sans arrêt ni régression, de la production industrielle. Pour réfuter sans phrases les détracteurs de la science, on n'aurait qu'à leur opposer quelques simples statistiques. En confrontant le chiffre des échanges du globe en 1799 et le chiffre atteint cent ans après, on dresserait un bilan qui serait l'apothéose de l'esprit scientifique et de ses découvertes.

Ce n'est pas ce bilan que nous entendons établir en ce travail : nous voudrions, à l'heure où le siècle va se clore sur la plus grande et la plus somptueuse Exposition qui ait été organisée, préciser la condition économique des principaux Etats des deux hémisphères. Nous nous efforcerons de montrer quels changements sont intervenus dans l'équilibre général, depuis l'Exposition de 1889 et quelles énormes zônes d'action la grande industrie a conquises en ces dernières années. La tâche que nous nous sommes tracée est, si possible, plus haute encore. C'est une idée féconde de la doctrine socialiste que les phénomènes économiques agissent et réagissent sans cesse sur les autres phénomènes de la vie des peuples. Ils sont le facteur déterminant, la substance même des autres manifestations d'activité. L'histoire des cinq continents, les relations des Etats à l'étape présente se ramènent en grande partic aux faits qui constituent l'objet de cette étude. Peut-être trouvera-t-on dans certains chiffres,

arides par eux-mêmes, l'explication de certains revirements diplomatiques qui s'accomplissent sous nos yeux. Peut-être aussi éclaireront-ils l'évolution sociale qui travaille l'humanité et qui prend, de jour en jour, plus de netteté, plus d'importance, aux regards mêmes des plus prévenus.

Il est incontestable qu'en ces dix ou quinze dernières années unc transformation profonde s'est accomplie dans la hiérarchie des nations productrices. Telle, qui marchait sur le front, s'est vuc rejetće subitement en arrière par la croissance rapide et presque vertigineuse de ses rivales. Telle autre, qui avait acquis une primauté à ses yeux intangible, se sent menacée, et recherche avec fièvre les causes de ses appréhensions. La France, qui avait si longtemps occupé le second rang, et qui, de 1860 à 1875, avait si énergiquement et si heureusement poursuivi une carrière commerciale triomphante, a été soudain refoulée par l'Allemagne et par l'Amérique. Ses échanges, qui avaient excédé huit milliards, sont tombés à sept milliards et demi, et parfois même, dans la dernière période quinquennale, au-dessous de sept. L'Angleterre, elle aussi, a été tout â coup arrêtée en son essor et ses exportations n'atteignent même plus les chiffres d'autrefois. Nous aurons, au cours des articles que nous consacrerons à ces puissances, à déterminer les motifs de cette décadence et de cette stagnation. C'est l'Empire germanique, c'est l'Union américaine qui, par une contre-partic logique, ont bénéficié de la révolution économique. L'un, à peine unifié, s'est empressé de se couvrir d'usines, de cheminées, de voies ferrées et de canaux; l'autre, dès le lendemain de guerre de Sécession, a tiré parti de ses inépuisables ressources naturelles, qui lui vaudront la prééminence matérielle dans l'humanité. Les transformations qui se sont produites dans l'aspect du globe sont autrement vastes par ailleurs. Ce serait singulièrement les méconnaître que de les ramener, en tout et pour tout, à quelques classements et déclassements. Phénomène de second plan encore, en dépit de son importance considérable, que l'éveil de la Russic à la fabrication moderne et à la civilisation capitaliste. Le grand trait distinctif de ce temps, ce sera à coup sûr l'ouverture à l'industrie et à l'échange, de contrées jusque-là sommeillantes dans la torpeur d'une barbarie prolongée.

la

L'Extrême-Orient va devenir, il est déjà devenu en certains points, l'un des plus grands centres de l'activité humaine. Dans cette gigantesque oflicine de l'Asie, où d'innombrables populations grouillaient sans besoins et sans vie, l'influence européenne a pénétré comme un coin, faisant tout craquer autour d'elle. Sept cents millions d'Indous. de Chinois et de Japonais, entrainés dans l'orbite des Etats d'Occident, ont commencé à révolutionner les conditions de la production. Dès la première heure, la menace a paru si évidente que, d'un bout à l'autre de l'Europe et de l'Amérique du Nord, le péril jaune a été dénoncé comme un suprême danger.

Après l'Extrême-Orient asiatique. l'Afrique, hier mystérieuse, aujourd'hui sillonnée en tous sens par les explorateurs, les colonnes militaires, les missions scientifiques et administratives, viendra à son tour aggraver la concurrence internationale, en versant ses produits sur les marchés.

Avant longtemps. les deux hémisphères ne seront plus qu'une usine continue, brùlant nuit et jour de l'activité des travailleurs, consommant, expectorant, par toutes ses cheminées, le souffle des prolétaires saisis, broyés en l'engrenage. Entre les vieux Etats de la veille et les terres conquises et défoncées par cux, une sorte de nivellement s'opérera. Les dernières solitudes sauvages où les PeauxRouges, les Cafres et les Papous chassaient librement les bêtes fauves, les grands espaces où les tribus gaspillaient les ressources de la vie primitive, s'éclaireront de la lueur des hauts-fourneaux, retentiront des fracas des marteaux-pilons. L'organisation industrielle aura couvert les cinq continents.

L'énorme développement de productivité qui caractérise cette fin de siècle a coïncidé avec une économie nouvelle des modes de production. Partout la petite industrie a fléchi devant la grande industrie qui s'est brutalement substituée à elle. Les minces capitaux ne suffisent plus à parer à toutes les nécessités du temps. Il faut des accumulations colossales d'argent pour payer les outillages mécaniques des grandes usines du Lancashire, de la Prusse rhénane, de notre agglomération du Nord, des centres surpeuplés de l'Union américaine. L'abaissement des prix sous l'effet de la concurrence, de l'afflux des marchandises exotiques, n'est plus compatible avec le coût à peu près irréductible des petits ou même des moyens établissements. Nous verrons, dans un instant, sous quels aspects divers se présente la guerre économique d'Etat à Etat. Ses conséquences sociales à l'intérieur de chaque contrée se font sentir avec une intensité grandissante, avec une rapidité qui dépasse toute prévision.

Dans tous les pays qui ont reçu l'empreinte de la grande industrie, la prolétarisation de la petite bourgeoisie s'est accomplie ou s'accomplit encore sans un instant de répit. Les derniers tampons, qui subsistaient entre la classe dirigeante contemporaine et la foule des travailleurs, sont en voie de disparition. En face de nos Louvre et de nos Bon Marché, notre moyen commerce gémit et s'effondre. On mesure la puissance de destruction et de déclassement des raffineries, des distilleries à gros capital et surtout la force d'émiettement des trusts ou syndicats qui triomphent en Amérique depuis tant d'années et qui déjà ont franchi l'Océan.

Mais si son contingent s'accroit d'un côté, la condition du prolétariat s'aggrave de l'autre. Ce n'est pas tant des réductions de salaire qu'il peut se plaindre, que des effroyables crises de surproduction et de chômage, qui sont le fléau décisif du régime actuel. Le développement de la productivité a entraîné, avec le surmenage matériel et

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