Cours d'opérations de chirurgie, démontrées au jardin royalChez les Freres t'Serstevens, 1708 - 615 páginas |
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Términos y frases comunes
affez aifément aiguille ainfi auffi auffi-tôt avoit bafe bandage bande befoin biftouri bleffé bras c'eft c'eſt canule caufe cautere chair Chirurgie Chirurgien chofes compreffe corps couper cuiffes deffus dents derniere differentes dilatation doigts doit douleur dure-mere efpeces emplâtre enfuite eſt étoient étoit faffe faifant faignée fang fans faudroit fçavoir fcrotum fe fervir fe font feconde fecours felon fent feparer feroit ferrer fert ferviteur feulement fiftule fignes foient foit fortir foulager fous fouvent fujet gien gland groffe groffeur guerifon guerir hernies incifion incifions inftrumens j'ay jufqu'à jufques l'artére l'autre l'incifion l'inteftin l'opera l'operation l'os l'urine laiffer lancette ligature malade mammelon maniere matrice Medecins membrane moyen n'eft neceffaire obferver operation paffer panfer peau perfonnes petite playe plufieurs plumaceaux plûtôt pofe polype pouffe pourquoy prefent preffe prefque premiere prépuce puiffe raifon refte remedes tefticule tems tion toûjours trépan troifiéme tumeur ufage vagin vaiffeaux veffie veine ventre
Pasajes populares
Página 220 - ... fort mystérieux et qu'il fît secret de tout. La grande réputation qu'il s'était acquise dans sa province fit souhaiter de le voir à la cour. Il y arriva environ l'année 1680. Il eut quelques conférences avec le roi , à qui il déclara son secret , priant instamment sa majesté de ne le rendre public qu'après sa mort. » Sa majesté lui tint parole , quoiqu'elle fût fâchée de voir le public frustré de ce secours. Mais sans manquer à ce qu'elle avait promis au prieur , elle trouva...
Página 427 - ... obligé de faire une de ces saignées difficiles ; il ne doit « point pareillement arracher les dents, coigner des clouds, (1) Traité des maladies les plus fréquentes.
Página 283 - Barcge aux dépens du Roy, sous la conduite de M. Gervais, chirurgien ordinaire de sa Majesté. Il fit des injections de ces eaux dans leurs fistules pendant un tems considérable ; il les y traita de la manière qu'il crut convenable pour leur rendre la santé, et il les ramena tout aussi avancez dans leur guérison que quand ils étoient partis pour y aller. Une femme vint dire à la Cour qu'étant allée aux eaux de Bourbon pour une maladie particulière, elle s'étoit trouvé guérie par leur...
Página 283 - ... du Roy, sous la conduite de M. Gervais, chirurgien ordinaire de sa Majesté. Il fit des injections de ces eaux dans leurs fistules pendant un tems considérable; il les y traita de la manière qu'il crut convenable pour leur rendre la santé, et il les ramena tout aussi avancez dans leur guérison que quand ils étoient partis pour y aller. Une femme vint dire à la Cour qu'étant allée aux eaux de Bourbon pour une maladie particulière, elle s'étoit trouvé guérie par leur usage d'une fistule...
Página 241 - ... trois ou quatre onces de vif-argent pardessus, prétendant qu'il coulerait plus vite que les balles. Il y avait quatre médecins, dont M. Falconet était du nombre. Dionis leur fit sentir les suites fâcheuses que pouvait avoir cette pratique , en leur représentant que la portion des boyaux qui avait été enfermée dans la tumeur, ayant dû être dilatée par les matières qu'elle avait...
Página 10 - La patience eft une fuite de fa confiance , car il faut que le malade fouffrc fans murmurer tout ce que le Chirurgien lui veut faire , ne doutant nullement que tout le traitement qu'il en reçoit ne l'approche de plus en plus...
Página 283 - ... santé, et il les ramena tout aussi avancez dans leur guérison que quand ils étoient partis pour y aller. Une femme vint dire à la Cour qu'étant allée aux eaux de Bourbon pour une maladie particulière, elle s'étoit trouvé guérie par leur usage d'une fistule qu'elle avoit avant que d'y aller. On envoya à Bourbon un des chirurgiens du Roy, avec quatre autres malades qui revinrent dans le même état qu'ils étoient quand ils partirent. Un Jacobin s'adressa à Monsieur de Louvois, et luy...
Página 177 - ... circulaires qui feparent en partie le gland de la verge , on eft obligé de faire avec la pointe de la lancette H, de petites incitions à la membrane interne du prépuce pour débrider l'endroit par où il ferre trop le gland ; on fait autant de ces petites incifions qu'il en faut pour laiflcr la liberté au prépuce de defcendre par deflus le gland; ce qui n'cft pas difficile pour lors , en prenant la verge de la manière que je viens de dire.
Página 509 - Sa réputation se répandit dans sa province et vola jusqu'à Paris, d'où les malades accoururent en foule à Chaudrais, où l'on fut obligé de faire bâtir des maisons pour se loger. Ceux qui n'avaient que des maladies légères guérissaient par l'usage de ses remèdes, qui ne consistaient qu'en plantes pulvérisées, ou racines desséchées; mais les maladies rebelles et enracinées ne cédaient point à ses remèdes.
Página 512 - Il demanda son congé quelques jours après, et l'ayant obtenu, il partit le plus tôt qu'il put, dans la résolution de ne plus s'exposer à une si rude épreuve.