Histoire des paysans, Volumen 1Sandoz et Fischbacher, 1874 |
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... rien , et qu'on ne trouvera rien ( 1 ) » . Cependant , bien qu'on ne veuille pas les compter pour un peuple , ces serfs étaient des hommes , après tout , et ces hommes sont nos pères . Ils existaient , cela suffit pour légitimer notre ...
... rien , et qu'on ne trouvera rien ( 1 ) » . Cependant , bien qu'on ne veuille pas les compter pour un peuple , ces serfs étaient des hommes , après tout , et ces hommes sont nos pères . Ils existaient , cela suffit pour légitimer notre ...
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... rien n'existait et qu'il fallait tout créer . Et puis , comment écrire une histoire sans batailles , sans rois , sans grands guerriers , sans héros , sans noms propres ? .... Une tragédie avec chœurs , mais sans personnages ! ... Et ...
... rien n'existait et qu'il fallait tout créer . Et puis , comment écrire une histoire sans batailles , sans rois , sans grands guerriers , sans héros , sans noms propres ? .... Une tragédie avec chœurs , mais sans personnages ! ... Et ...
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... rien les distances qui depuis longtemps séparaient les divers ordres de la nation . Le paysan était déjà esclave , il resta esclave , seu- lement le joug fut plus pesant . La propriété individuelle n'étant point aussi énergiquement ...
... rien les distances qui depuis longtemps séparaient les divers ordres de la nation . Le paysan était déjà esclave , il resta esclave , seu- lement le joug fut plus pesant . La propriété individuelle n'étant point aussi énergiquement ...
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... Rien ne saurait exprimer la pesanteur du joug que Rome , cette << si épouvantable machine » , suivant l'expression de Montaigne , faisait peser sur les provinces conquises . Sous Auguste , ce fut Licinius , un de ses favoris , qui ...
... Rien ne saurait exprimer la pesanteur du joug que Rome , cette << si épouvantable machine » , suivant l'expression de Montaigne , faisait peser sur les provinces conquises . Sous Auguste , ce fut Licinius , un de ses favoris , qui ...
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... rien d'odieux ni d'injuste , je féliciterais plutôt de leur grandeur les puissants auxquels les pauvres se donnent , s'ils ne vendaient pas ce patronage et si , lorsqu'ils se vantent de défendre les petits , ils faisaient un acte d'hu ...
... rien d'odieux ni d'injuste , je féliciterais plutôt de leur grandeur les puissants auxquels les pauvres se donnent , s'ils ne vendaient pas ce patronage et si , lorsqu'ils se vantent de défendre les petits , ils faisaient un acte d'hu ...
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Términos y frases comunes
affranchis Anglais Anjou avaient bagaudes bandits barons Berry bourgeois Bourgogne Bretagne c'était campagnes cent chap Charles VII chartes château châtelains chevaliers chose clergé commune comte condition corvées Cout coutume crimes d'Anjou deniers devait Dieu dîme Dom Calmet Dom Lobineau Dom Morice domaines donner ecclésiastiques églises enfants esclaves états généraux eût évêques faisait femmes féodalité fiefs fille Froissart fussent gens d'armes gentilshommes gneurs guerre habitants Hist hommes jacquerie Jacques Bonhomme Jean Jeanne jour justice l'Église l'évêque laboureurs laisser légistes lever liberté Louis Louis IX Louis XI main mainmorte maîtres ment misère mort n'avait n'était nobles noblesse Normandie Ordonnances du Louvre pape passer pauvres payer paysans personne peuple Philippe Philippe le Bel piller plat pays pouvait propriété provinces racheter rançon redevances reste révolte rois royale royaume ruine s'il saint seigneuriaux seigneurs serfs servage servitude seulement sire sols sujets suzerain taille terre tiers état tion tyrannie vassaux vilains villages villes XIIIe siècle
Pasajes populares
Página 119 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user, en tout temps, comme de sages économes, c'esl-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Página 403 - Poton de Saintrailles et La Hire fussent deux des principaux et des plus renommés capitaines du parti des François, toutefois ils furent de ce pillage et de cette esconherie , mais ila combattoient les ennemis du royaume.
Página 53 - De condamner cet état, ce serait entrer dans les sentiments que M. Jurieu lui-même appelle ouirés, c'est-à-dire dans les sentiments de ceux qui trouvent toute guerre injuste; ce serait non-seulement condamner le droit des gens où la servitude est admise, comme il paraît par toutes les lois, mais ce serait condamner le Saint-Esprit qui ordonne aux esclaves, par la bouche de saint Paul, de demeurer en leur état, et n'oblige point leurs maîtres à les affranchir...
Página 94 - Tout homme demeurant dans ladite ville paiera, « chaque année, douze deniers et une mine d'avoine « pour prix de son domicile ; et s'il veut avoir une « portion de terre ou de pré, il donnera par ar« pent quatre deniers de rente.
Página 396 - Mêlions tout en la main du diable ; ne nous chault (peu nous importe) que nous devenions. . . Mieux nous vaudrait servir les Sarrasins que les chrétiens., faisons du pis que nous pourrons ; aussi bien ne nous peut-on que tuer ou que pendre... par le faux gouvernement des traîtres gouverneurs , nous faut renier femmes et enfants, et fuir aux bois comme bêtes égarées, non pas depuis un an ou deux, mais il ya jà quatorze ou quinze ans que cette danse douloureuse commença.
Página 119 - Les deniers qui sont dans notre cassette, ceux qui demeurent entre les mains de nos trésoriers, et ceux que nous laissons dans le commerce de nos peuples, doivent être par nous également ménagés.
Página 414 - Je vous dis que Dieu a pitié de vous, de votre royaume et de votre peuple : car saint Louis et Charlemagne sont à genoux devant lui, en faisant...
Página 98 - Les seigneurs ne nous font que du mal , nous « ne pouvons avoir d'eux raison ni justice ; ils ont «tout, prennent tout, mangent tout, et nous « font vivre en pauvreté et en douleur.
Página 321 - Anglois, et, en effet, si ensemble se fussent mis, « ils eussent été plus puissants que les princes et les « nobles, et pour ce fut enjoint par le roi qu'on ces« sât » , après de vives représentations des seigneurs et des nobles , dit le religieux de Saint-Denis.
Página 215 - Reims au moment que le Roi y est amené. Il est là, comme autrefois aux champs de Mars, puis de Mai, applaudissant nécessairement, mais simplement, à ce qui est résolu et accordé par les deux ordres du clergé et de la noblesse. Dès que le Roi est arrivé et placé, l'archevêque de Reims se tourne vers tout ce qui est placé dans le chœur, pour demander le consentement de la nation. Ce n'est plus, depuis bien des siècles, qu'une cérémonie, mais conservée en tous les sacres, et qui, suivant...